Triste d’apprendre la disparition d’Alan Parker, un des chefs de file du nouveau cinéma anglais des années 70, qui a démarré par la pub, et qui a dynamité le cinéma américain de cette période avec des films chocs comme « Midnight Express », « Pink Floyd : the wall » et bien sur « Fame » ou encore « Angel Heart ». Sans parler de « Birdy » qui avait étonné le Festival de Cannes 1985. Il y a toujours eu la cinéphilie qui aimait Alan Parker et celle qui ne l’aimait pas. Nous, on l’a toujours aimé, on aime pour toujours!
