Jurassic World Renaissance : Explication de la fin

Sorti en salles le 2 juillet 2025, Jurassic World: Renaissance marque un nouveau tournant dans la saga, entre promesses de renouveau et menaces sous-jacentes. Sa fin, ouverte et dense, prépare clairement le terrain pour une suite – peut-être même une nouvelle trilogie. Décryptage.

Un ADN convoité… et trahi

Au terme du film, la mission de l’équipage – récupérer l’ADN de trois espèces majeures (le Mosasaurus, le Titanosaurus et le Quetzalcoatlus) – semble atteinte. Mais la trahison de Martin Krebs change la donne : il s’empare seul des séquences génétiques et abandonne ses coéquipiers sur l’île d’Ela St. Hubair. Sa fuite est de courte durée : il meurt, brutalement, tué par le D-Rex. Le reste de l’équipage, lui, parvient à fuir l’île.

L’ADN devient open source… mais à quel prix ?

Plutôt que de vendre l’ADN aux puissants laboratoires de Parkagenics, le Dr Henry Lumis et Azora Bennett prennent une décision radicale : le rendre accessible à tous. Une utopie en apparence. Car l’ADN prélevé sur Ela St. Hubair – un lieu peuplé de créatures mutantes et hostiles – est peut-être instable, voire dangereux. Un podcast entendu en fond suggère que ces séquences pourraient, mal utilisées, provoquer davantage de chaos que de progrès.

Les mutants : une menace dormante

Peu explorés dans ce premier opus, les mutants – dont le D-Rex – sont laissés en liberté sur l’île. Certains fans spéculent déjà qu’ils pourraient jouer un rôle clé dans la suite, notamment comme porteurs potentiels d’un remède à la mystérieuse « maladie DX ». Une hypothèse qui renforcerait l’intérêt d’un retour futur à Ela St. Hubair.

Dolores, Disease X et la chute possible de l’humanité

Parmi les éléments les plus inquiétants : Dolores, un bébé Aquilops ramené sur le continent. Inoffensif en apparence, il pourrait être le vecteur du virus DX, une maladie fictive issue des romans Jurassic Park. Transmissible à l’homme, cette infection à prions provoquerait des effets dévastateurs. Un simple contact ou une morsure pourrait suffire à déclencher une pandémie mondiale.

Parkagenics et Monsieur Parker : les nouveaux visages du mal

Enfin, l’ombre de Parkagenics plane sur tout le récit. L’entreprise semble être une version modernisée de Biosyn, la multinationale des premiers films. Mentionné brièvement, « Monsieur Parker » pourrait être une réécriture du personnage de Lewis Dodgson, figure emblématique des romans. Sa présence annonce une confrontation future entre les survivants et une industrie génétique sans éthique.


Conclusion :
La fin de Jurassic World: Renaissance ne clôt pas, elle ouvre. Entre virus potentiel, ADN instable et corporations menaçantes, tout est en place pour un second volet plus sombre, plus politique, et sans doute plus tragique. La renaissance pourrait bien annoncer l’apocalypse.

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