Melissa, 32 ans, surveillante pénitentiaire expérimentée, s’installe en Corse avec ses deux jeunes enfants et son mari. L’occasion d’un nouveau départ.
Chronique : Le film « Borgo » de Stéphane Demoustier, avec Hafsia Herzi, Moussa Mansaly et Florence Loiret Caille, propose une plongée intense dans le milieu carcéral à travers le prisme d’une surveillante pénitentiaire, Melissa, incarnée par Hafsia Herzi. Âgée de 32 ans et forte d’une expérience significative, Melissa déménage en Corse avec ses deux jeunes enfants et son mari, cherchant un nouveau départ. Elle rejoint un centre pénitentiaire qui détonne par son fonctionnement atypique : la rumeur veut que ce soient les prisonniers qui surveillent les gardiens, renversant ainsi la dynamique habituelle de pouvoir.
La singularité de ce lieu se révèle à travers l’intégration de Melissa, facilitée par Saveriu, un jeune détenu influent qui la prend sous son aile. Cette protection, cependant, ne vient pas sans prix. La sortie de prison de Saveriu marque le début d’une relation complexe entre lui et Melissa, lorsqu’il lui demande un service qui déclenche une série d’événements troubles, mettant en lumière les liens ambigus et parfois dangereux qui peuvent se tisser entre les gardiens et les détenus.
« Borgo » se distingue par sa capacité à explorer les nuances de ces interactions, tout en questionnant les notions de pouvoir, de protection et de dette morale. La performance d’Hafsia Herzi est centrale, capturant avec finesse la complexité de son personnage, partagé entre son rôle professionnel et les affaires personnelles qui commencent à empiéter sur sa vie. La mise en scène de Demoustier, soutenue par une photographie qui saisit à la fois la beauté rude de la Corse et l’atmosphère oppressante de la prison, contribue à créer un thriller psychologique captivant.
Ce film s’inscrit dans une tradition de cinéma français qui n’hésite pas à aborder des sujets sociaux profonds avec une approche réaliste et nuancée, offrant ainsi un regard frais sur le système pénitentiaire et les dilemmes éthiques auxquels sont confrontés ceux qui y travaillent. « Borgo » invite le spectateur à réfléchir sur la complexité des relations humaines dans un contexte où les frontières entre le bien et le mal, le surveillant et le surveillé, sont constamment brouillées.
Victor, jeune magicien en pleine ascension, élève seul sa fille Lison. C’est sans compter Jacques, son fantasque beau-père, qui se mêle contre son avis de l’éducation de la petite. Un tandem improbable qui aura pour arbitre Nina, l’amie d’enfance de Victor, au caractère bien trempé.
Chronique : Dans le film « Comme par Magie », réalisé par Christophe Barratier et mettant en vedette Kev Adams, Gérard Jugnot et Claire Chust, nous sommes transportés dans l’univers magique et plein de rebondissements de Victor, un jeune magicien en pleine ascension, qui élève seul sa fille Lison. L’intrigue se complique lorsque Jacques, son fantasque beau-père, décide de s’immiscer dans l’éducation de la petite, malgré les objections de Victor. Une comédie familiale riche en surprises et en émotions se dessine, avec Nina, l’amie d’enfance de Victor, comme arbitre de cette relation chaotique.
Le réalisateur Christophe Barratier, déjà connu pour des succès tels que « Les Choristes » et « La Guerre des Boutons », nous offre ici une histoire captivante qui mêle habilement le monde de la magie à celui des relations familiales. Le film débute en nous présentant Victor, un magicien talentueux en pleine ascension, interprété de manière convaincante par Kev Adams. Sa vie semble parfaitement ordonnée jusqu’à ce que Gérard Jugnot entre en scène dans le rôle de Jacques, un beau-père fantasque et envahissant qui bouleverse l’équilibre précaire de la vie de Victor.
Gérard Jugnot excelle dans son rôle de Jacques, apportant une touche d’humour et de folie à l’histoire. Sa dynamique avec Kev Adams est l’un des points forts du film, et leur duo improbable déclenche des moments hilarants et touchants tout au long du récit. Claire Chust incarne Lison, la fille de Victor, apportant une douce innocence au film et ajoutant une dimension émotionnelle à l’histoire.
Nina, jouée par une actrice au caractère bien trempé, ajoute une couche supplémentaire de tension et de comédie à l’intrigue. Son rôle en tant qu’arbitre entre Victor et Jacques met en lumière les conflits familiaux de manière humoristique tout en soulignant la complexité des relations intergénérationnelles.
Le scénario, écrit par Christophe Barratier et Stéphane Keller, offre une narration fluide et divertissante, avec une série de rebondissements inattendus qui maintiennent l’attention du public tout au long du film. La magie est également une composante essentielle de l’histoire, avec des tours impressionnants qui ajoutent une touche de mystère et d’émerveillement à l’intrigue.
Réalisateur : Christophe Barratier Format : PAL, Couleur Durée : 1 heure et 29 minutes Date de sortie : 20 mars 2024 Acteurs : Kev Adams, Gérard Jugnot, Claire Chust, Charlotte Des Georges, Claudette Walker Sous-titres : : Français Langue : Français (Dolby Digital 5.1) Studio : Orange Studio ASIN : B0CPGMKN96
Paris, 1985. Vanessa a treize ans lorsqu’elle rencontre Gabriel Matzneff, écrivain quinquagénaire de renom.
Chronique : Adapté du livre de Vanessa Springora, « Le Consentement » est un film réalisé par Vanessa Filho qui explore les thèmes délicats de l’emprise et de l’abus. Avec un casting de qualité, comprenant Jean-Paul Rouve, Kim Higelin et Laetitia Casta, le film offre un regard perspicace et émouvant sur une histoire vraie marquée par la manipulation et la résilience.L’histoire se déroule sur plusieurs décennies, avec Vanessa Springora décrivant son expérience d’être séduite à l’âge de quatorze ans par un écrivain renommé bien plus âgé qu’elle. Le film nous plonge dans la spirale d’emprise destructrice qui a marqué sa vie pendant de nombreuses années, ainsi que les retombées émotionnelles qui en ont résulté.Au-delà de cette histoire personnelle, « Le Consentement » met en lumière les dérives d’une époque et d’un monde littéraire qui, souvent aveuglé par le talent et la notoriété, a permis à de tels abus de prospérer. Le film aborde des thèmes sensibles tels que l’abus de pouvoir, la vulnérabilité des victimes, et la nécessité de briser le silence qui entoure ces situations.Le casting du film est exceptionnel, avec Kim Higelin offrant une performance émouvante et poignante dans le rôle de Vanessa. Jean-Paul Rouve incarne de manière convaincante l’écrivain prédateur, apportant une profondeur troublante au personnage.
« Le Consentement » est un film important qui donne une voix aux victimes d’abus et qui souligne la nécessité de mettre fin à l’emprise destructrice exercée par des personnes en position de pouvoir. Il nous rappelle l’importance de la parole et de la dénonciation pour la guérison des victimes et la prévention de futurs abus. »Le Consentement » est un film puissant et nécessaire qui aborde des sujets délicats avec une sensibilité et une authenticité inégalées. Il incite à la réflexion, à la discussion, et à l’action, dans le but de protéger les plus vulnérables et de mettre un terme à l’emprise et à l’abus, quel que soit le statut ou la notoriété de l’agresseur. Une œuvre qui ne laisse personne indifférent et qui mérite d’être vue et discutée.
Réalisateur : Vanessa Filho Durée : 1 heure et 59 minutes Date de sortie : 21 février 2024 Acteurs : Kim Higelin, Jean-Paul Rouve, Laetitia Casta, Élodie Bouchez, Jean Chevalier Langue : Français (DTS-HD 5.1) Studio : Blaq Out ASIN : B0CP7VFBS1
Né dans une famille aisée, Henri Grouès a été à la fois résistant, député, défenseur des sans-abris, révolutionnaire et iconoclaste.
Chronique : Frédéric Tellier nous offre une plongée saisissante dans l’extraordinaire vie de l’Abbé Pierre avec son dernier film, porté par des performances remarquables de Benjamin Lavernhe, Emmanuelle Bercot, et Michel Vuillermoz. « L’Abbé Pierre – Une vie de combats » explore avec finesse et émotion les multiples facettes de cet homme au destin exceptionnel.
Le film retrace le parcours de Henri Grouès, issu d’une famille aisée, qui a embrassé de nombreuses vies en tant que résistant, député, défenseur des sans-abris, révolutionnaire et iconoclaste. Des couloirs de l’Assemblée Nationale aux bidonvilles de la banlieue parisienne, la caméra de Tellier capte l’énergie implacable de l’Abbé Pierre dans son engagement envers les plus vulnérables.
Benjamin Lavernhe incarne magistralement l’Abbé Pierre, apportant une profondeur et une humanité à ce personnage iconique. Emmanuelle Bercot livre une performance puissante dans le rôle d’une femme qui a partagé les combats et les doutes de l’Abbé. Michel Vuillermoz complète ce trio impressionnant avec une interprétation mémorable.
L’aspect intime de la vie de l’Abbé Pierre est dévoilé avec sensibilité, montrant ses fragilités, ses doutes et ses souffrances, jusqu’ici méconnus du grand public. Les moments forts de sa vie, tels que la création d’Emmaüs et son appel de l’hiver 54, sont présentés avec une puissance émotionnelle qui laisse une marque indélébile.
Frédéric Tellier capte le tumulte intérieur de l’Abbé Pierre, un homme qui a douté de son action chaque jour malgré sa renommée internationale. Le scénario, révélant les mille vies et combats de l’Abbé, explore la révolte face à la misère et les défis rencontrés dans la lutte contre les injustices.
« L’Abbé Pierre – Une vie de combats » transcende le genre biographique en offrant une expérience cinématographique riche en émotion et en réflexion. Avec une réalisation remarquable et des performances exceptionnelles, le film rend hommage à cet homme exceptionnel et rappelle au public l’impact durable de l’Abbé Pierre sur l’histoire et la conscience sociale.
Image :
Le film « L’Abbé Pierre – Une vie de combats », dirigé par Frédéric Tellier, offre une expérience visuelle remarquable. Les images transportent le spectateur à travers l’histoire fascinante de l’Abbé Pierre avec une grande précision. La photographie du film est soigneusement travaillée, capturant la période et les décors d’une manière authentique et évocatrice. Les costumes et les décors sont d’une qualité exceptionnelle, contribuant à l’immersion totale dans l’époque et la vie de l’Abbé Pierre.
Son :
La bande sonore du film est puissante et émotionnelle, accompagnant parfaitement le récit. Les musiques et les effets sonores ajoutent de la profondeur aux moments clés du film, renforçant les émotions ressenties par les personnages et le public. Les dialogues sont clairs et bien équilibrés, permettant au spectateur de suivre l’histoire sans effort.
Bonus :
Interviews de l’équipe : Les interviews de Frédéric Tellier, Benjamin Lavernhe, Emmanuelle Bercot et Laurent Desmard, Président de la Fondation Abbé Pierre, offrent un aperçu précieux de la création du film et de son importance historique. Ces entretiens apportent des informations intéressantes sur les défis rencontrés lors de la réalisation du film et sur l’engagement de l’Abbé Pierre envers les personnes dans le besoin.
Scènes coupées : Les scènes coupées permettent au spectateur de découvrir des moments supplémentaires de l’histoire de l’Abbé Pierre qui n’ont pas été incluses dans la version finale du film. C’est une occasion unique d’explorer davantage la vie et les combats de cet homme extraordinaire.
Classé : Tous publics Réalisateur : Frédéric Tellier Format : Couleur, PAL Durée : 2 heures et 11 minutes Date de sortie : 7 mars 2024 Acteurs : Benjamin Lavernhe, Emmanuelle Bercot, Michel Vuillermoz, Antoine Laurent, Alain Sachs Langue : Français (Dolby Digital 5.1) Studio : M6 Vidéo ASIN : B0CMW22LQ8
Depuis qu’il a perdu sa femme, Andrew Blake n’a plus le cœur à rien. Un ultime élan le pousse à quitter Londres pour retourner en France, dans la propriété où il l’avait rencontrée.
Chronique : « Complètement cramé ! » est une comédie douce-amère réalisée par Gilles Legardinier, qui réunit un casting de renom, avec John Malkovich, Fanny Ardant et Emilie Dequenne. Le film nous transporte dans un voyage émotionnel et humoristique, explorant la reconstruction de soi après une perte tragique.
L’histoire suit Andrew Blake, un homme brisé par la perte de sa femme, qui décide de retourner en France, dans la propriété où il l’a rencontrée. Ce périple nostalgique ne se déroule pas du tout comme prévu, car pour rester au domaine de Beauvillier, Andrew se retrouve à jouer le rôle de majordome à l’essai. Là, il fait la rencontre d’un groupe de personnages hauts en couleur, chacun avec son lot de bizarreries et de problèmes. De Mme Beauvillier, la maîtresse des lieux aux comportements énigmatiques, à Odile, la cuisinière au caractère bien trempé, en passant par Philippe, l’intendant excentrique qui vit en ermite, et Manon, la jeune femme de ménage dont le destin prend un tournant inattendu, Andrew se retrouve au cœur d’un univers aussi déconcertant que le sien.
La force de ce film réside dans la manière dont il explore les thèmes de la résilience, de l’amitié et de la renaissance. Les performances des acteurs, en particulier John Malkovich, qui apporte une profondeur émotionnelle à son personnage, contribuent à rendre chaque personnage attachant et mémorable.
« Complètement cramé ! » parvient à équilibrer habilement l’humour et la mélancolie, créant ainsi une expérience cinématographique à la fois divertissante et touchante. La réalisation de Gilles Legardinier capte avec finesse les émotions des personnages et le paysage magnifique du domaine de Beauvillier, offrant une atmosphère envoûtante.
« Complètement cramé ! » est une comédie chaleureuse et émouvante qui vous emporte dans un voyage de redécouverte de soi, de réparation des cœurs brisés et de la magie des nouvelles amitiés. C’est un film qui parle de la vie, de la perte, et de la façon dont nous pouvons trouver la lumière même dans les moments les plus sombres. Une histoire d’espoir et de renouveau, portée par un casting exceptionnel, qui réchauffera le cœur de chaque spectateur.
Image :
Complètement cramé ! offre une esthétique visuelle raffinée qui séduit dès les premières images. La photographie du film capture parfaitement les paysages bucoliques de la campagne française, offrant des plans panoramiques époustouflants des vastes terrains de la propriété de Beauvillier. Les couleurs sont riches et chaleureuses, créant une atmosphère visuellement apaisante qui correspond bien au ton du film. Les détails minutieux de la propriété, des intérieurs élégants aux jardins luxuriants, ajoutent une profondeur visuelle à l’histoire.
Le réalisateur a su jouer habilement avec la lumière pour refléter les émotions des personnages. Les scènes nocturnes sont particulièrement bien réalisées, créant une ambiance douce et introspective. L’attention aux détails dans les costumes et les décors contribue également à immerger le public dans l’univers du film.
Son :
La bande sonore de Complètement cramé ! complète parfaitement l’expérience visuelle. La musique, composée par un talentueux compositeur, est subtile et émotionnelle, ajoutant une couche supplémentaire à la profondeur des personnages et des situations. Les thèmes musicaux sont mélodieux et évocateurs, créant une ambiance immersive qui soutient le récit.
Le mixage sonore est impeccable, permettant au spectateur de s’immerger complètement dans le monde du film. Les dialogues sont clairs et bien équilibrés, ce qui est essentiel compte tenu de l’importance des interactions entre les personnages pour le développement de l’histoire.
Bonus :
Bonus Vidéo : Le bonus vidéo de Complètement cramé ! est une vraie pépite pour les fans du film. Il comprend des interviews exclusives avec les acteurs principaux, le réalisateur Gilles Legardinier et l’équipe de production. Ces interviews offrent un aperçu fascinant des coulisses du tournage, des défis rencontrés par les acteurs et des motivations derrière le choix de ce projet par Gilles Legardinier.
Clip Making Of : Le making of du film permet de découvrir les étapes de création, de la préproduction au tournage. On y voit les acteurs en plein travail, les séances de répétition et les moments de détente sur le plateau. Ce clip donne un aperçu précieux du processus créatif qui a abouti à la réalisation de Complètement cramé !.
Galerie Photos : La galerie photos offre un voyage visuel à travers le film. Elle regroupe des images des scènes les plus marquantes, des portraits des acteurs sur le plateau, ainsi que des clichés des magnifiques décors. Une manière parfaite de revivre l’atmosphère du film à travers des images captivantes.
Dossier de Presse : Le dossier de presse est un complément informatif précieux. Il inclut des informations détaillées sur le film, les biographies des acteurs et de l’équipe, ainsi que des éléments contextuels sur le travail de Gilles Legardinier. C’est une ressource idéale pour les journalistes et les amateurs du film qui souhaitent en savoir plus sur sa création.
Classé : Tous publics Audio description : : Français Réalisateur : Gilles Legardinier Format : PAL, Couleur Durée : 1 heure et 46 minutes Date de sortie : 13 mars 2024 Acteurs : John Malkovich, Fanny Ardant, Émilie Dequenne, Philippe Bas, Eugénie Anselin Sous-titres : : Anglais Langue : Français (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 2.0) Studio : Universal Pictures France ASIN : B0CQPMSQ5X
Comment la vie de Lydia, sage-femme très investie dans son travail, a-t-elle déraillé ?
Chronique : Iris Kaltenbäck fait une entrée remarquée dans le monde cinématographique avec son premier film, « Le Ravissement », une œuvre saisissante qui plonge au cœur de la vie tourmentée de Lydia, une sage-femme dévouée dont les choix inattendus ébranlent son existence et celle de son entourage.
Le récit, inspiré de faits réels, navigue habilement entre les décombres émotionnels de la rupture amoureuse de Lydia, la grossesse de sa meilleure amie Salomé, et la rencontre troublante avec Milos, un potentiel nouvel amour. C’est une spirale de mensonges qui s’ensuit, entraînant chaque personnage dans une valse de transformations et de révélations inattendues.
Iris Kaltenbäck se démarque par une réalisation maîtrisée, capturant avec finesse les nuances psychologiques de ses personnages. Le thriller psychologique qu’elle déploie offre une exploration profonde de la psyché humaine, soulevant des questions sur la nature des choix, des conséquences et des rédemptions.
Le trio d’acteurs exceptionnels propulse le film vers l’excellence. Hafsia Herzi, véritable étoile du cinéma français avec « La Graine et le Mulet », incarne Lydia avec une justesse époustouflante, nous entraînant dans les abysses émotionnels de son personnage complexe. Alexis Manenti, révélé dans « Les Misérables », offre une performance déboussolante de sincérité, tandis que Nina Meurisse, connue pour « Les Algues Vertes », imprègne son rôle d’une émotion déconcertante.
Au-delà de l’intrigue captivante, « Le Ravissement » se distingue par sa sensibilité artistique. Kaltenbäck orchestre une symphonie visuelle et sonore qui amplifie l’impact émotionnel du film. La subtilité de la direction, associée à la composition atmosphérique, crée une expérience cinématographique riche et mémorable.
« Le Ravissement » annonce la venue d’une réalisatrice très prometteuse dans le paysage cinématographique. Iris Kaltenbäck a su transcender les frontières du thriller psychologique, offrant un premier film magistral qui dévoile une profondeur narrative, une maîtrise technique, et un talent indéniable.
Image et Son :
« Iris Kaltenbäck livre une expérience cinématographique d’une beauté poignante avec « Le Ravissement ». La réalisation habile capture chaque nuance émotionnelle, plongeant le spectateur dans l’intimité troublée de Lydia. La photographie subtile et les choix sonores judicieux créent une atmosphère immersive, renforçant l’impact émotionnel de chaque scène. L’harmonie entre l’image et le son confère au film une qualité visuelle et auditive exceptionnelle, faisant de chaque moment une expérience sensorielle captivante. »
BONUS :
Court-métrage « Le Vol des Cigognes » de Iris Kaltenbäck : Ce court-métrage supplémentaire offre un regard complémentaire sur le talent de la réalisatrice, explorant peut-être de nouveaux territoires narratifs ou esthétiques. Une opportunité fascinante de plonger plus profondément dans la créativité d’Iris Kaltenbäck.
Scènes Coupées : La présence de scènes coupées offre une fenêtre sur le processus créatif, permettant aux spectateurs de découvrir les choix narratifs alternatifs et les moments qui ont été laissés au montage. Un ajout appréciable pour les cinéphiles avides de comprendre l’évolution de l’histoire.
Entretien avec Iris Kaltenbäck et Hafsia Herzi : Ce bonus promet une plongée enrichissante dans les coulisses du film. Les discussions entre la réalisatrice et l’actrice principale offrent des perspectives uniques sur la genèse du projet, les défis rencontrés, et la collaboration artistique. Un véritable trésor pour les amateurs de cinéma et les curieux qui souhaitent en savoir plus sur le processus créatif derrière « Le Ravissement ».
Classé : Tous publics Dimensions du produit (L x l x h) : 13,4 x 1,5 x 19 cm; 79 grammes Réalisateur : Iris Kaltenbäck Format : Couleur, PAL, Cinémascope Durée : 1 heure et 33 minutes Date de sortie : 20 février 2024 Acteurs : Hafsia Herzi, Alexis Manenti, Nina Meurisse, Younes Boucif, Radmila Karabatic Sous-titres : : Français Langue : Français (Dolby Digital 5.1) Studio : Diaphana
Inspiré d’un fait réel, le film raconte l’histoire de Patty et Drake qui viennent d’acheter la maison de leurs rêves à San Francisco.
Chronique : John Schlesinger nous plonge dans une aventure cinématographique palpitante avec « Fenêtre sur Pacifique », mettant en scène un triangle d’acteurs exceptionnels : Melanie Griffith, Matthew Modine et Michael Keaton. Inspiré de faits réels, le film offre une vision terrifiante du rêve immobilier qui tourne au cauchemar.
Patty et Drake, interprétés avec brio par Griffith et Modine, décident de louer une chambre de leur nouvelle maison à San Francisco pour soulager leurs finances. Carter Hayes, joué par un Michael Keaton captivant, semble être le locataire idéal. Cependant, dès son emménagement, une atmosphère oppressante s’installe, et le film explore de manière magistrale les méandres inquiétants de la confiance brisée.
Schlesinger excelle dans la création d’une tension croissante, utilisant l’architecture même de la maison pour intensifier l’angoisse. Les performances impressionnantes du trio principal apportent une crédibilité émotionnelle à l’histoire, transformant la vie quotidienne en un thriller domestique dérangeant.
Le réalisateur, maître du suspense, explore subtilement les thèmes de la paranoïa, de l’intrusion et de la vulnérabilité face à des forces malveillantes. Le scénario intelligent, combiné à une direction artistique soignée, transforme la maison de rêve en un labyrinthe cauchemardesque.
« Fenêtre sur Pacifique » captive également par son exploration des nuances psychologiques des personnages, créant une connexion émotionnelle avec le spectateur. Melanie Griffith incarne brillamment une héroïne complexe, tandis que Michael Keaton offre une performance mémorable en antagoniste ambigu.
Image et Son :
« Fenêtre sur Pacifique », sous la réalisation de John Schlesinger, séduit autant par sa maîtrise visuelle que par son enveloppe sonore immersive. La direction artistique captivante explore les nuances des espaces domestiques, créant une atmosphère qui évolue du rêve au cauchemar. La photographie, jouant subtilement avec la lumière et l’ombre, intensifie l’angoisse et souligne la tension narrative. La composition sonore, méticuleusement orchestrée, enrichit chaque scène, plongeant le spectateur au cœur de l’intrigue. L’alliance harmonieuse de l’image et du son dans « Fenêtre sur Pacifique » crée une expérience cinématographique enveloppante et mémorable.
Bonus – Entretien avec Samuel Blumenfeld (22 min) :
Le bonus « Entretien avec Samuel Blumenfeld » s’avère être une pépite cinéphile, ajoutant une couche d’appréciation supplémentaire à l’expérience du film. La profondeur de l’analyse de Blumenfeld, critique de cinéma éclairé, offre un regard perspicace sur les choix artistiques de « Fenêtre sur Pacifique ». Ses commentaires détaillés sur la direction artistique, la photographie, et la composition sonore élargissent la compréhension du spectateur, transformant la simple vision du film en une exploration enrichissante des coulisses.
Blumenfeld nous guide à travers les méandres des intentions du réalisateur, soulignant comment chaque élément visuel et sonore contribue à l’impact émotionnel. Son expertise offre une dimension supplémentaire à l’appréciation des subtilités artistiques, éduquant le spectateur sur les intrications du langage cinématographique.
Rapport de forme : 1.85:1 Classé : Tous publics Réalisateur : John Schlesinger Format : Couleur Durée : 1 heure et 42 minutes Date de sortie : 6 mars 2024 Acteurs : Melanie Griffith, Matthew Modine, Michael Keaton, Mako, Nobu McCarthy Sous-titres : : Français Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 2.0) Studio : ESC Editions
Pour fêter son dix-septième anniversaire, Mari, accompagnée d’une amie, décide de se procurer de la marijuana. Lorsque Junior, un jeune marginal, se propose de leur en fournir, elles acceptent, sans se douter que le dealer fait partie d’une bande de sadiques meurtriers dirigée par le terrifiant Krug. Leur calvaire va bientôt commencer.
Chronique : Wes Craven, architecte du genre horrifique, laisse une empreinte indélébile dans le paysage cinématographique avec « La Dernière Maison sur la Gauche ». Dans ce tour de force, Craven explore les recoins les plus sombres de la psyché humaine, livrant un thriller psychologique d’une intensité rare, propulsé par les performances captivantes de Sandra Cassell et Lucy Grantham.
L’intrigue débute par l’innocente quête de Mari pour fêter son dix-septième anniversaire, se procurant de la marijuana avec une amie. Cependant, leur rencontre avec Junior, un dealer associé à une bande de criminels menée par le redoutable Krug, catapulte le film dans un territoire cauchemardesque. Ce qui commence comme une quête adolescente dégénère rapidement en une nuit d’horreur insondable, confrontant les personnages et les spectateurs à une violence aussi brutale que psychologique.
Les performances de Sandra Cassell et Lucy Grantham sont poignantes, incarnant avec une crédibilité troublante la terreur et la vulnérabilité de leurs personnages face à des agresseurs impitoyables. Leur jeu transcende l’écran, établissant une connexion émotionnelle profonde avec le public.
Wes Craven, en maestro du suspense, opte pour une réalisation subversive et audacieuse. La mise en scène provocante, combinée à des choix narratifs surprenants, élève le film au-delà des conventions du genre, créant une œuvre qui dépasse le simple frisson pour devenir une méditation poignante sur la nature de la violence et de la vengeance.
La bande sonore percutante, les séquences visuelles brutales et les choix esthétiques provocateurs forment un tableau cinématographique intense. Craven parvient à créer une ambiance oppressante, où la terreur émane autant des actes sauvages que des implications psychologiques, laissant le public dans un état de malaise durable.
« La Dernière Maison sur la Gauche » s’affirme ainsi comme une pièce maîtresse du cinéma d’horreur, redéfinissant les codes du genre avec sa brutalité sans concession et son exploration subtile des tourments psychologiques. Wes Craven, en insufflant une nouvelle dimension à l’horreur, crée un classique qui continue de hanter les esprits et d’influencer les générations suivantes d’amateurs du cinéma de terreur.
BLU-RAY 1 : Le Film en Version UNRATED
Cette édition propose une expérience ultime du film en version UNRATED, dévoilant toute l’audace et l’impact brut de l’œuvre culte de Wes Craven. Jean-Baptiste Thoret nous offre une présentation éclairante, tandis que l’entretien approfondi « Les femmes dans le rape-and-revenge » avec Célia Sauvage, Clara Sebastiao, et Violaine de Charnage offre un regard perspicace sur les implications sociétales du film. Le making-of « Ce n’est que du cinéma » et les commentaires audio du réalisateur et du producteur ajoutent des couches riches à cette édition immersive.
BLU-RAY 2 : Le Film dans son montage Krug & Company Cut
Cette seconde galette propose une exploration approfondie du montage alternatif Krug & Company Cut, offrant une perspective unique sur le processus créatif de Wes Craven. Les entretiens avec Alexandre Aja et la conférence de Stéphane Du Mesnildot enrichissent la compréhension de l’héritage de Wes Craven. Le reportage sur l’influence du réalisateur sur trois cinéastes français et l’interview d’archive avec Wes Craven offrent des regards passionnants sur l’impact durable du film.
BLU-RAY 3 : Le Film en Version VHS
Cette troisième partie propose une expérience immersive en version VHS, transportant les spectateurs dans l’atmosphère authentique de l’époque. L’analyse approfondie de Jean-Baptiste Thoret, le reportage sur la première projection non censurée, et l’interview de l’équipe du film sur les scènes choquantes offrent des perspectives uniques. Le court-métrage inachevé de Wes Craven et les scènes coupées ajoutent une dimension fascinante à cette édition complète.
En conclusion, cette édition Blu-ray est une plongée exhaustive dans l’univers complexe et provocateur de « La Dernière Maison sur la Gauche ». Avec ses versions alternatives, ses entretiens approfondis, et ses documents d’archive, elle célèbre l’héritage du réalisateur Wes Craven et offre aux cinéphiles une expérience inédite et enrichissante de ce classique du cinéma d’horreur.
Rapport de forme : 1.85:1 Classé : 16 ans et plus Réalisateur : Wes Craven Format : Couleur Durée : 1 heure et 24 minutes Date de sortie : 21 février 2024 Acteurs : Sandra Cassell, Lucy Grantham, Martin Kove, Ray Edwards, David Hess Sous-titres : : Français Studio : ESC Editions ASIN : B0CLWJC8C7
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Miss Novak rejoint un lycée privé où elle initie un cours de nutrition avec un concept innovant, bousculant les habitudes alimentaires.
Chronique : Jessica Hausner nous offre un thriller psychologique captivant avec « Club Zero », un film qui navigue habilement entre l’innovation éducative et les recoins les plus obscurs de la psyché humaine. Porté par un casting exceptionnel composé de Mia Wasikowska, Sidse Babett Knudsen et Amir El-Masry, le film nous entraîne dans une toile complexe de mystère, de manipulation et de conséquences inattendues.
Mia Wasikowska incarne avec brio Miss Novak, une enseignante qui, à première vue, semble apporter une approche novatrice à l’éducation nutritionnelle dans un lycée privé. Le cours, cependant, évolue rapidement vers un territoire plus sombre, où certains élèves, sans susciter de suspicions parmi les adultes, succombent à l’emprise de Miss Novak et rejoignent le mystérieux Club Zéro.
L’histoire, à la fois intrigante et dérangeante, explore la dynamique complexe entre éducation, émancipation et manipulation. Les performances impeccables du casting principal ajoutent des couches de subtilité à des personnages qui oscillent entre la fascination et la méfiance. Sidse Babett Knudsen et Amir El-Masry apportent une profondeur supplémentaire à l’ensemble, créant une tension palpable à mesure que l’histoire se dévoile.
Le réalisme austère de la mise en scène de Jessica Hausner souligne l’atmosphère énigmatique du film, tout en mettant en lumière les questionnements pertinents sur les limites éthiques de l’éducation. Les scènes de nutrition, bien que parfois troublantes, contribuent à l’impact viscéral du récit, renforçant le malaise croissant au sein du public.
Le mystère entourant le Club Zéro est dévoilé avec une maîtrise narrative, mélangeant tension psychologique et réflexion sociale. L’avertissement concernant la sensibilité des spectateurs est justifié, car le film explore des thèmes dérangeants avec une franchise saisissante.
Rapport de forme : 1.85:1 Classé : Tous publics Réalisateur : Jessica Hausner Format : PAL Durée : 1 heure et 46 minutes Date de sortie : 7 février 2024 Acteurs : Mia Wasikowska, Sidse Babett Knudsen, Amir El-Masry, Elsa Zylberstein, Camilla Rutherford Sous-titres : : Français Langue : Anglais (Dolby Digital 5.1) Studio : Blaq Out
Amoureuse de peinture et de poésie, Mireille s’accommode de son travail de serveuse à la cafétéria des Beaux-Arts de Charleville tout en vivant de petits larcins et de trafic de cartouches de cigarettes.
Chronique : Yolande Moreau nous entraîne dans une aventure cinématographique riche en émotions avec « La Fiancée du Poète », une œuvre où l’amour, l’art et la redécouverte de soi s’entremêlent de manière envoûtante. Sous la direction talentueuse de Moreau et porté par des performances exceptionnelles de Sergi López, Grégory Gadebois et la réalisatrice elle-même, le film explore les méandres de l’existence de Mireille, une âme en quête perpétuelle de beauté.
Mireille, incarnée avec une profondeur touchante par Yolande Moreau, jongle entre sa vie de serveuse à la cafétéria des Beaux-Arts de Charleville et ses passions ardentes pour la peinture et la poésie. Lorsqu’elle hérite de la majestueuse maison familiale des bords de la Meuse, les défis financiers surgissent, la forçant à prendre une décision audacieuse : accueillir trois locataires. Ces hommes, interprétés avec brio par Sergi López et Grégory Gadebois, s’immiscent dans sa vie, apportant avec eux des dynamiques uniques qui perturbent la quiétude de Mireille, tout en la préparant inconsciemment au retour de son amour de jeunesse, le poète.
Le scénario complexe et délicieusement tissé de Yolande Moreau explore les intrications des relations humaines, de l’art comme exutoire créatif et de la recherche personnelle. Mireille devient une héroïne complexe, à la fois fragile et puissante, dévoilant sa véritable essence à mesure que l’histoire progresse.
Les performances de Sergi López et Grégory Gadebois ajoutent des couches de subtilité au récit, créant des interactions mémorables et des moments de tension qui captivent le spectateur. Leur présence énergique et nuancée renforce l’équilibre émotionnel du film, oscillant entre la légèreté et la profondeur.
La direction artistique offre une esthétique visuelle splendide, capturant la beauté des paysages des bords de la Meuse qui servent de toile de fond à cette histoire poétique. La bande sonore, délicate et émouvante, accompagne chaque scène avec subtilité, intensifiant l’impact émotionnel du film.
« La Fiancée du Poète » se dresse comme une exploration captivante de l’amour sous ses multiples facettes, de la passion artistique comme guide intérieur, et de la capacité infinie de l’être humain à se redécouvrir. Yolande Moreau, en tant que réalisatrice et actrice principale, offre une œuvre sincère et captivante, un hommage vibrant à l’art, à la vie et à la quête éternelle de l’amour.
Image :
La direction artistique de « La Fiancée du Poète » émerveille par la beauté captivante de ses images. Chaque plan est soigneusement composé, révélant une palette de couleurs qui évoque à la fois la douceur de la romance et la mélancolie des défis de la vie. Les paysages des bords de la Meuse se transforment en une toile vivante, offrant des cadres pittoresques qui transcendent le simple décor pour devenir des éléments narratifs à part entière. Yolande Moreau, en tant que réalisatrice, capture avec finesse l’essence visuelle de l’amour et de l’art, créant ainsi une expérience visuelle enchanteresse.
Les décors, qu’il s’agisse de la cafétéria des Beaux-Arts de Charleville ou de la maison familiale des bords de la Meuse, sont imprégnés d’une atmosphère à la fois chaleureuse et énigmatique. Les détails minutieux renforcent l’immersion du spectateur dans l’univers poétique du film. Chaque cadre semble être une peinture vivante, où la beauté visuelle sert à amplifier les émotions et les thèmes du récit.
Son :
La bande sonore de « La Fiancée du Poète » est une partition délicate qui accompagne magistralement chaque moment du film. Composée avec finesse, elle souligne les nuances émotionnelles des scènes, de la tendresse d’une rencontre à la tension palpable d’un moment crucial. Les notes mélodieuses renforcent l’impact des dialogues et des silences, créant une harmonie parfaite entre l’image et le son.
Les choix musicaux s’adaptent avec subtilité aux différents tons du film, oscillant entre des mélodies douces lors des moments intimes et des compositions plus dynamiques pour accentuer les moments de conflit. Les thèmes récurrents tissent un fil narratif musical, liant les scènes et les émotions de manière cohérente.
Le son ambiant, qu’il s’agisse du murmure paisible de la Meuse ou des bruits animés de la cafétéria, contribue à l’immersion du spectateur dans l’univers du film. Les séquences poétiques où le poète déclame ses vers sont particulièrement puissantes, offrant une symphonie de mots qui se mêle harmonieusement à la trame sonore.
Bonus
Le Pitch du Film par Yolande Moreau, Esteban et Thomas Guy : Dans cette séquence bonus, les créateurs du film nous plongent dans les arcanes de la genèse de « La Fiancée du Poète ». Yolande Moreau, avec sa verve artistique, nous dévoile les sources d’inspiration qui ont façonné le scénario, tandis qu’Esteban et Thomas Guy partagent leurs expériences en tant que contributeurs majeurs à l’histoire. L’interaction dynamique entre ces esprits créatifs offre un éclairage captivant sur la naissance de ce chef-d’œuvre cinématographique.
Les Personnages du Film par Yolande Moreau : Cette séquence approfondit le processus de création des personnages, mettant en lumière la vision et les motivations de Yolande Moreau en tant que réalisatrice et actrice principale. Chaque personnage est disséqué avec une profondeur émotionnelle, révélant les nuances qui les rendent si attachants et complexes. Un incontournable pour les amateurs de psychologie des personnages.
La Rencontre de Yolande Moreau et William Sheller : Ce bonus offre une plongée intime dans la rencontre artistique entre Yolande Moreau et le talentueux compositeur William Sheller. Les deux artistes partagent leur expérience collaborative, discutent des choix musicaux du film et de la manière dont la bande sonore a été pensée pour enrichir l’expérience cinématographique. Une exploration fascinante de la symbiose entre l’image et la musique.
Anecdotes de Tournage par Esteban et Thomas Guy : Esteban et Thomas Guy, acteurs clés du film, partagent des anecdotes savoureuses et parfois hilarantes sur les coulisses du tournage. Des moments de camaraderie, des défis surmontés et des instants de spontanéité qui ont contribué à créer une ambiance unique sur le plateau. Ces anecdotes offrent un regard léger et divertissant sur les moments forts de la réalisation du film.
Classé : Tous publics Réalisateur : Yolande Moreau Format : Cinémascope, Couleur, PAL Durée : 1 heure et 39 minutes Date de sortie : 14 février 2024 Acteurs : Yolande Moreau, Sergi López, Grégory Gadebois, Estéban, Thomas Guy Langue : Français (Dolby Digital 5.1) Studio : Le Pacte