Test Blu- Ray – Don’t Breathe (15 Février 2017)de Fede Alvarez avec Stephen Lang, Jane Levy

Pour échapper à la violence de sa mère et sauver sa jeune s?ur d’une existence sans avenir, Rocky est prête à tout. Avec ses amis Alex et Money, elle a déjà commis quelques cambriolages, mais rien qui leur rapporte assez pour enfin quitter Détroit. Lorsque le trio entend parler d’un aveugle qui vit en solitaire et garde chez lui une petite fortune, ils préparent ce qu’ils pensent être leur ultime coup. Mais leur victime va se révéler bien plus effrayante, et surtout bien plus dangereuse que ce à quoi ils s’attendaient.

Critique Film : On présente le film comme étant de l’horreur, détrompez vous c’est un thriller mais de très haute qualité. Le film démarre lentement jusqu’à ce que la victime du cambriolage réalise ce qui arrive et n’inverse les rôles. A partir de là, les rôles s’inversent et les 3 amis se retrouvent traqués dans la maison par un homme sans pitié qui compense sa cécité par d’autres sens aiguisés et une détermination qui n’a d’égal que sa cruauté. Le film est plein de rebondissements, porteur d’une certaine radicalité tout en restant réaliste. Il livre aussi une petite réflexion au passage sur les limites du droit de propriété ainsi que sur l’état immobilier de certains quartiers des états unis. Le film  a été réalisé de façon classique, ce qui nous permet au mieux appréciez le spectacle  avec un bon casting et bénéficie d’un scénario simple mais en béton qui dispense d’ailleurs quelques surprises et s’ajoute un côté malsain à l’ensemble qui souffle comme un véritable vent de fraîcheur dans ce genre de productions souvent aseptisées en ce domaine. Roublard et redoutable, « Don’t Breathe » s’avère être une sacrée bonne surprise dans le genre qu’il serait dommage de manquer !

Note : 9/10

Jane Levy

Test Blu-ray :

Image : La colorimétrie est parfaitement étalonnée et nous permet de profiter d’une très belle photographie. Le piqué n’en fait pas trop mais nous fait don de certains détails indiscernables en basse résolution. La compression fait quelquefois des siennes en faisant ressortir un peu de bruit vidéo dans les scènes en basse lumière mais rien de bien méchant.

Son : La répartition du son lors du film est minutieuse, et les effets sonores sont magnifiquement mises en valeur, particulièrement lors des scènes amenant le spectateur dans une certaine ambiance pour le faire sursauter. L’intelligibilité des voix est exemplaire et il le fallait pour un film de tension. La piste VO donne d’ailleurs plus de consistance aux voix que la VF.

Bonus : Des bonus du film superbe avec 5 modules making of  qui reprend les grande ligne du film: Pris au piège, L’homme des ténèbres, Rencontre avec l’équipe du film,  Créer la maison de l’horreur et L’ambiance sonore ce qui nous permet en tant que spectateur de visionnez non un making off complet mais ce qui nous intéresse et en dernier bonus un très bon commentaire audio avec l’équipe du film.

  • Acteurs : Stephen Lang, Jane Levy, Dylan Minnette, Daniel Zovatto, Emma Bercovici
  • Réalisateurs : Fede Alvarez
  • Audio : Allemand (DTS-HD 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS-HD 5.1)
  • Sous-titres : Arabe, Néerlandais, Anglais, Turc, Allemand, Français
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 2.40:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Sony Pictures
  • Date de sortie du DVD : 15 février 2017
  • Durée : 88 minutes

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Test Bluray – Jack Reacher: Never Go Back (28 février 2017) de Edward Zwick avec Tom Cruise, Cobie Smulders

De Edward Zwick avec Tom Cruise, Cobie Smulders

Jack Reacher est de retour, prêt à tout pour obtenir justice. Susan Turner, qui dirige son ancienne unité, est arrêtée pour trahison : Jack Reacher ne reculera devant rien pour prouver l’innocence de la jeune femme. Ensemble, ils sont décidés à faire éclater la vérité sur ce complot d’État.

Critique Film: Une très bonne suite avec un rythme plus haletant que le premier volet. On est ici face à un blockbuster, ce que le premier était plus rétro dans l’ambiance qui semblait faire venir le film droit des 80’s. Ici  le spectateur voit une histoire personnelle de Reacher et qui propose un spectacle de qualité. Tom Cruise porte ses cinquante et quelques années, son visage a épaissi, ses traits sont parfois tirés et cela contraste avec les deux actrices qui l’accompagnent et pratiquement tous les combats sont résolus avec les poings, ce qui marque la force du héro accompagné dans le film par une belle musique qui sait rester discrète et une belle photographie. Un très bon divertissement.

Note : 8/10

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TEST BLU RAY:                                                                                                                                             Image : L’image est volontairement granuleuse ce qui donne au  film un aspect un peu plus en phase avec les années 80. Les couleurs sont un peu délavés mais prennent un éclat surprenant et bien dosé dès lors que l’on rentre dans l’action. Les ambiances sont parfaitement retranscrites et le support se révèle d’une grande efficacité. Les contrastes donnent un volume et une profondeur à l’image à la hauteur de l’ensemble

Son : Les effets sonores du film envahissent les différents canaux, avec beaucoup de précision et de dynamique. Par contre, les dialogues manquent parfois de volume et se laissent déborder par des effets sonores parfois envahissants surtout au moment de la scène final sur le toit . La musique fait vibrer l’installation et plonge le spectateur dans une certaine mélancolie des années 80 .

Bonus : Côté Bonus, les making of sont intéressants ce qui qui nous permet de découvrir de l’intérieur la création du film, les difficultés du réalisateur et surtout ses impressions au fur et à mesure que le tournage progresse. Du très bon travail

  • Acteurs : Tom Cruise, Cobie Smulders, Robert Knepper, Aldis Hodge, Danika Yarosh
  • Réalisateurs : Edward Zwick
  • Audio : Japonais (Dolby Digital 5.1), Italien (Dolby Digital 5.1), Allemand (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1), Espagnol (Dolby Digital 5.1), Anglais
  • Sous-titres : Italien, Allemand, Suédois, Japonais, Finnois, Norvégien, Français, Néerlandais, Danois, Espagnol
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 2.35:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Paramount Pictures
  • Date de sortie du DVD : 28 février 2017
  • Durée : 118 minutes

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Les damnés de l’asphalte (3 janvier 2017) de Laurent Whale

Quinze ans après avoir contribué à stopper l’invasion qui menaçait la France ravagée par la violence, Tom Costa est porté disparu. Miki, son jeune frère désormais responsable de la petite communauté installée à Port Leucate, aidé de Cheyenne, l’ancien hors-mur, se lance à sa recherche et va devoir affronter les périlleuses routes d’Espagne pour retrouver sa trace. Il ne se doute pas qu’il va faire face à une menace bien plus grande que toutes celles qu’il a pu imaginer, une menace qui va, de chemins tortueux en routes défoncées, le transformer ainsi que ses compagnons en damnés de l’asphalte. Roman d’aventures post-apocalyptiques, suite de Les étoiles s’en balancent mais qui peut se lire indépendamment, Les damnés de l’asphalte offre un divertissement intelligent où la poursuite de la vérité et la fidélité sont les maîtres mots.

Critique :  15 ans se sont écoulés depuis le livre « les étoiles s’en balancent ».
La situation, les personnages ont continué leur bonhomme de chemin. Le lecteur doit se réajuster.
Après l’épopée en avion, voici celle à cheval.
Tom, principal héros du premier livre, et son copilote partis en avion trouver une terre plus hospitalière, sont portés disparus. Miki son jeune frère décide de partir à sa recherche accompagnée du fils de Tom, de Toni l’autre pilote, de Cheyenne l’Hors Murs devenu leur meilleur ami. Comme ils n’ont plus d’avion, ils doivent partir à cheval à travers des contrées désormais plus ou moins sauvages et inconnues. Ils vont rencontrer des fous/fanatiques de « Dieu », des bateaux roulants, des enfants esclaves et des êtres bizarres venus des fonds marins et qui semblent bien menaçants…
Un superbe périple, plein de rebondissements, de péripéties de belles et moins belles actions, de morale, de tristesse et de joies. On frémit pour les héros et l’auteur qui nous fait traverser, cette fois, l’Espagne postapocalyptique et ses causes sur l’effondrement de notre civilisation au fur et à mesure de la lecture.
L’univers mis en place est très bien décrit.

Note : 8,5/10

 

  • Poche: 576 pages
  • Editeur : Folio (3 janvier 2017)
  • Collection : Folio SF

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La Course à la mort de l’an 2050 (Death Race) [Blu-ray] (1 Février 2017)

Dans un futur proche, l’Amérique est contrôlée par un conglomérat d’entreprises tout-puissant. L’évènement majeur de l’année est une course de voitures où tous les coups sont permis ! Le champion en titre est un demi-homme, à la fois humain et machine répondant au nom de Frankenstein. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que cette fois son co-pilote est un espion rebelle qui souhaite renverser le pouvoir.

Critique: Death Race 2050″(2016) est la 5ème production de la franchise ultra Z « Death Race » commencée en 1975.
Roger Corman, le célèbre producteur, sait de quoi il en retourne.  Il décide donc ici de relancer la folle course à la mort.
Le budget est ultra serré , il règne sur le résultat un bon parfum de film fauché comme les blés. Tant au niveau des costumes que des décors ou encore des véhicules, on sent qu’un sou est un sou et qu’il a fallu composer avec l’extrême étroitesse du budget.
Ensuite, l’humour de « Death Race 2050 » est complètement au raz du sol.
« Death Race 2050 » si vous l’accepter est un spectacle résolument cartoonesque et potache.

Note : 6,5/10

Test Blu-ray :

Image : Une image bien équilibrée tant dans les plans de course que dans les quelques scènes nocturnes. Le rendu colorimétrique est neutre mais la copie offre du détail et de jolies lumières.

Son : Ça claque et ça tonne fort, aussi bien en VO qu’en VF. Mais la dynamique de la piste musicale et des ambiances est purement artificielle et respire le dopage numérique pas vraiment subtil. Rien de discriminant, la chose est même agréable durant les courses.

Bonus : De gentils bonus pas franchement folichons même si on se rend compte, avec un peu de tristesse au regard du résultat, que Roger Corman était vraiment parti pour faire un  film d’action et un hommage aux film de Stallone. Les coulisses peuvent valoir le déplacement pour apercevoir des scènes abandonnées.

Liste Bonus:                                                                                                                                                     Making of
Le look de 2050
Tour d’horizon des voitures
Voiture à gogo
Scènes coupées

 

  • Acteurs : Manu Bennett, Malcolm McDowell, Marci Miller, Burt Grinstead, Folake Olowofoyeku
  • Réalisateurs : G.J. Echternkamp
  • Audio : Japonais (DTS 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1), Espagnol (DTS 5.1)
  • Sous-titres : Allemand, Arabe, Japonais, Italien, Français, Suédois, Finnois, Danois, Portugais, Hindi, Norvégien, Néerlandais, Espagnol, Islandais
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 1.78:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Universal Pictures France
  • Date de sortie du DVD : 1 février 2017
  • Durée : 89 minutes

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L’Expérience Utopia (19 octobre 2016) de Robert Ludlum

Lorsque les entreprises Dresner présentent le Merge, un dispositif destiné à révolutionner le monde et à rendre tout smartphone obsolète, le Colonel Jon Smith de l’unité Covert-One, un groupe clandestin créé par le Président pour pallier l’impuissance des agences de renseignements ravagées par les luttes intestines, a pour mission d’évaluer son potentiel militaire. Il découvre alors une technologie proche de la perfection – vision améliorée, suivi des batailles en temps réel, sécurité inviolable, habileté au tir hors-norme – qui va à tout jamais changer le visage de la guerre

Critique : Une histoire très réaliste où l’auteur a mis beaucoup de soin dans le développement du cadre, tant au début de l’histoire qu’au fur et à mesure de l’action. La situation politique du livre est logique et vraisemblable. de plus, Ludlum réussit à exposer ces éléments essentiels sans nous perdre dans des explications complexes ou ennuyantes.
Le style d’écriture,se marie parfaitement au genre du roman, avec des phrases simples, ce qui permet, d’une part, de bien véhiculer l’action et, d’autre part, de ne pas surcharger un sujet qui pourrait facilement devenir compliqué. Une autre stratégie utilisée dans ce but a été de modifier le narrateur quelques fois au fil du récit. La division du texte en chapitres et en paragraphes aide aussi dans ce sens.
Un livre agréable à lire avec beaucoup de de fausses routes et de rebondissements, une bonne recherche historique.

Note : 9/10

 

  • Broché: 448 pages
  • Editeur : Grasset (19 octobre 2016)
  • Collection : Grand Forma

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48 HEURES POUR MOURIR (17 août 2016) de Andreas Gruber

Le corps d’une femme est retrouvé près du grand orgue de la cathédrale de Munich. Un crime pour le moins singulier : on lui a fait ingurgiter deux litres d’encre noire…
Sabine Nemez, jeune commissaire de police, est bien malgré elle mêlée à l’affaire : la victime n’est autre que sa mère, énième victime d’un inconnu qui enlève des femmes, les torture et les achève au bout de 48 heures si l’énigme qu’il a soumise à un proche n’a pas été résolue.
L’enquête est confiée à Maarten S. Sneijder, un expert du BKA, l’Office fédéral de police criminelle. Sabine parviendra-t-elle à convaincre cet homme aussi talentueux qu’irascible qu’un recueil de contes pour enfants sert de modèle au criminel ?
Au même moment, une psychologue viennoise ayant reçu un macabre colis suivi d’un coup de téléphone comprend qu’elle dispose de deux jours pour sauver une vie…

Critique: Voici un polar qui nous viens Allemagne; on le ressent surtout dans la façon dont s’organisent le système policier et judiciaire, bien différent de ce dont on a l’habitude. En effet, il y a la notion de land que l’on n’a pas en France. Mais cela ne fait qu’ajouter une touche d’exotisme sans gêner la lecture.
Le principe est simple : une personne est enlevée et un proche à 48h pour découvrir pourquoi…sinon c’est la mort. Lorsque la mère d’une jeune inspectrice est visée, elle se lance à corps perdu dans l’enquête. Elle réclame vengeance, tout en voulant sauver son père. Mais ses supérieurs ne sont pas d’accord. Sa seule chance est d’impressionner Sneijder. Un flic que personne n’aime – et qui ne cherche pas à se faire apprécier.
En parallèle on suit des séances de thérapie – dont on devine aisément qu’elles joueront un rôle crucial ou pour déterminer le coupable ou pour le comprendre, et une victime. Une patiente est enlevée et c’est à sa thérapeute de déterminer pourquoi. Elle devra alors tout abandonner pour sauver une femme qui cache bien des secrets. Cette thérapeute qui ne s’attendait pas à découvrir autant de secret en ouvrant sa boîte aux lettres…
Toutes ces histoires se croiseront à la fin et permettent au lecteur de bien appréhender tout ce qui se passe. À la fois la traque par la police, par une victime, et ce qui pousse le tueur à faire ça, à cette mise en scène si particulière.
Dans un terrible thriller, Andreas Gruber frôle les limites de la noirceur pour livrer un ouvrage angoissant, dur et armé d’une histoire parfaitement maitrisée.

Note : 9/10

  • Poche: 500 pages
  • Editeur : Archipoche (17 août 2016)
  • Collection : Suspense
  • Prix : 8,80 euros

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Runner (1 juin 2016) de Patrick Lee

Tout ce dont elle se souvient,
c’est qu’elle ne doit pas s’arrêter de courir…
Une fillette terrorisée, traquée par des hommes armés aux moyens considérables.
Un ex-agent des forces spéciales à la dérive.
Deux êtres traumatisés qui n’auraient jamais du se rencontrer, propulsés dans une course-poursuite infernale dont les enjeux les dépassent.

Critique : Patrick Lee écrit ici un très bon thriller. Runner est un thriller au rythme rapide, avec des personnages qu’on aime immédiatement. Les personnages que sont Sam et Rachel vous vous émouvoir à travers ce roman, où il y a beaucoup d’action à grande vitesse, de sorte que le livre se lit très rapidement. C’est le type de roman où on n’arrive pas à le lâcher.
Runner est le début d’une incroyable série. C’est comme un film d’action qui a suffisamment de choses intéressantes pour qu’on reste accroché et qui nous donne envie de lire plus d’une histoire impliquant Sam Dryden et RachelUn très bon page-turner où l’écriture de Lee est lisse et sans artifices, et avec ce livre, il entre dans les rangs des meilleurs écrivains de thriller d’action.
Le livre parfait pour les vacances.

Note : 8,5/10

 

  • Broché: 400 pages
  • Editeur : ALBIN MICHEL (1 juin 2016)
  • Collection : LITT.GENERALE

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Luna viva (1 juin 2016) de Aurélie Benattar

Lors de son hospitalisation la jeune tireuse de cartes Luna a rencontré un jeune métis qui depuis sa mort, l’accompagne sous forme de spectre. Mais le chef des forains, le Falcone, a inscrit Luna à un concours de cartomancie et l’a confiée à Izabella. A ses côtés, elle prend conscience de la puissance de son don de divination mais aussi des menaces que fait peser le Cercle sur les voyantes.

Critique : Dès le début l’auteur nous fait un prologue des plus dramatiques avec la présentation de la vie de Luna qui a une mère décédée, un frère violent, une communauté de forains s’apparentant à une secte, ce qui permet aussi de justifier sa tentative de suicide.
Le roman est dur et par des thèmes difficiles comme l’inceste ou le frère et tours là la limite du raisonnable et de sa vigilance. Le personnage principal qu’est Luna est mise à l’écart avec son physique de poupée aux cheveux blonds, un autre sujet bien aborder est les sectes avec les règles concernant les filles dans la communauté. Le livre est très bien mené et on se retrouve à le lire rapidement pour en connaitre le dénouement. Sous chaque titre de chapitre on trouve l’image d’un arcane majeur du tarot de Marseille, son nom et sa signification, ce qui est vraiment bien pour les jeunes et le style de l’auteur est vraiment bien écrit. Étant un livre assez court et rempli de rebondissement il est dur d’en faire une critique sans dévoiler l’histoire initiale et de relever au lecteur beaucoup de points que lui seul devra découvrir. Un super livre qu’on espère qu’il y aura une suite.

Note : 9,5/10

 

  • Editeur : Editions Sarbacane (1 juin 2016)
  • Collection : Exprim

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