Achille, fils unique & Lili Nobody de Yaël Hassan et Rachel Hausfater

Achille est en 4e. Il devrait être content : il est dans la même classe que Kader, Tania et Laurence, respectivement : son meilleur ami, une nouvelle élève super sympa et la fille de ses rêves. Il s’éclate au club théâtre, même avec les petits de 6e comme Lili la forte tête. Oui, tout va bien. Sauf que… depuis une dispute avec son père, une question l’obsède : et si son père n’était pas son vrai père ?

Critique : Lili Nobody et Achille, fils unique sont deux romans qui interrogent une même thématique : la paternité. Dans le roman d’ Achille, le héro du même nom a l’impression que son père le délaisse va s’interroger sur qui est son pére vtandis que Lili ignore tout de l’identité de son géniteur. Pendant une année, ses deux personnages vont mener leur petite enquête.
Rachel Hausfater et Yaël Hassan ont étroitement collaboré pour proposer deux romans qui se répondent sans cesse mois après mois. Achille et Lily se croisent au cours de cette année scolaire où tout bascule et où leurs personnages vont finir par trouver les réponses à leurs questions.
Les thèmes abordé de ses deux livres sont l’amitié, l’amour, la vie au collège, les relations parents-enfants. Une très bonne lecture original où le lecteur peut lire indépendamment les livres où les lire ensemble.

 Note : 9/10

  • Poche: 160 pages
  • Editeur : Nathan (15 septembre 2016)
  • Collection : Nathanpoche 12 ans et +

 

L’ultime maléfice (15 septembre 2016) de T.A Barron

L’heure de vérité a sonné pour Avalon ! Basile, le majestueux dragon, s’apprête à affronter Rhita Gawr, la créature qui a juré la perte des royaumes magiques. Mais au moment de livrer bataille, il se sent bien seul : son fidèle ami, l’enchanteur Merlin, manque à l’appel. S’il veut sauver Avalon, Basile devra repousser les limites de ses pouvoirs et puiser en lui une magie insoupçonnée…

Critique : Tout comme dans les précédents tomes, le récit, d’une grande inventivité, où se mêlent mystère et magie, alliances et combats, entraîne le lecteur dans des univers inexplorés : Lac des Ténèbres, Ombreracine, Boisracine, source secrète… L’une des grandes forces du récit réside, d’ailleurs, dans la richesse des différents peuples, chacun ayant des coutumes et des univers bien définis.
Le suspense, habilement entretenu, aiguise notre curiosité et l’on se prend à lire cette nouvelle aventure à rebondissements, écrite dans un style alerte.
Comme le veut l’esprit « série », la fin de l’histoire laisse le lecteur avec ses conjectures concernant les événements à venir.

Noter : 8/10

 

  • Broché: 240 pages
  • Editeur : Nathan (1 septembre 2016)
  • Collection : GF MERLIN

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Rouge bonbon (6 octobre 2016) de Cathy Cassidy et Anne Guitton

Lorsque Scarlett, 12 ans, est à nouveau exclue d’un collège, sa mère l’envoie vivre chez son père, en pleine campagne irlandaise.
Scarlett est folle de rage. Depuis que son père a quitté sa mère, elle refuse de lui parler. Alors vivre avec lui ! Sans compter qu’elle devra aussi cohabiter avec une belle-mère et une demi-sœur…
Scarlett va-t-elle mourir d’ennui et tout détruire autour d’elle, comme elle sait si bien le faire ? Peut-être que Kian, un mystérieux garçon, pourra l’aider à trouver la réponse…

Critique : Un roman pour ados qui ce lit avec grand plaisir avec cette histoire de fille rebelle qu’est Scarlett aux cheveux rouge et qui ne fait que des bêtises à cause du divorce de ses parents. Étant aller trop loin sa mère l’envoie en Irlande avec sa belle-famille.
On passe un agréable moment en compagnie de cette famille recomposée. Parfait pour décompresser, on s’attache à la belle-mère qu’est Claire et à sa fille Holly fan de Scarlett et prête à faire tout pour lui ressembler.
Les filles vont être touchées par Scrarlett qui, avec ses petits mensonges tentés de masquer sa souffrance, puis par Kian, qui derrière son sourire et son cheval se cache un garçon sensible et finalement très seul.
On se laisse porter sans mal par cette touchante histoire qui se savoure avec plaisir en cette rentrée.
Une bonne écriture est une histoire bien écrite pour ce roman de Cathy Cassidy.

Note : 9/10

 

  • Broché: 240 pages
  • Editeur : Nathan (6 octobre 2016)
  • Collection : GRAND FORMAT DI

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Cet été-là (19 mai 2016) de Sarah Ockler

D’après Frankie, la meilleure amie d’Anna, rien ne vaut les plages de Californie pour rencontrer des garçons. Et si elles en rencontrent au moins un par jour, il y a toutes les chances pour qu’Anna vive (enfin !) une première histoire d’amour.
Mais Anna, elle, n’a aucune envie de passer l’été à flirter en bikini… Parce qu’en réalité, elle a DÉJÀ vécu une première (et secrète) histoire d’amour : avec le grand frère de Frankie, un an plus tôt… juste avant qu’il ne meure brutalement, laissant sa famille et Anna anéantis.

Critique : Ce roman jeunesse mélange des thèmes très légers de l’adolescence comme les amours de vacances ou l’amitié avec des thèmes beaucoup plus fort comme le deuil qui est le thème principal. C’est une manière sympa d’aborder les sujets délicats de la vie sans tomber dans le trop triste.Si toutes les pages sont empreintes de la tristesse que ressent Anna, tout le roman n’est pas triste non plus. Mais il résume parfaitement bien le deuil. Peut-être oublier ? A-t-on le droit d’être de nouveau heureux ? Est-ce une trahison de penser à un autre alors que Matt n’est plus là ? Et s’il était là ? Tout est résumé en ces quelques mots « Et s’il était là ? ». Que dirait-il ? Que ferait-il ?
La mort de Matt a anéanti sa famille entière. Ses parents ne savent plus que faire et sa petite soeur, Frankie, s’est créée une carapace de fille sur-maquillée, sautant au cou de garçons qu’elle ne connait pas. Si on ressent parfaitement bien la peine de Frankie et sa volonté de se démarquer pour que ses parents se rappellent de son existence, c’est aussi et surtout à la peine d’Anna que l’on compatis.
Car Anna est celle qui se tait. Celle qui, si elle est triste, n’a pas le droit d’être aussi triste que Frankie qui a perdu un frère. Celle qui se doit d’être forte pour aider sa meilleure amie à surmonter sa peine. Celle qui doit cacher que, encore plus que son « meilleur ami sans e », c’est son amoureux qu’elle a perdu. Son amoureux qui ne l’a jamais été officiellement et qui ne le sera jamais. Son amoureux secret qui a emporté la vérité avec lui.C’est donc un voyage aussi intérieur pour la jeune héroïne qui doit apprendre à écouter son corps et son cœur.

Un livre Intéressant avec des passages émouvants.

Note : 8,5/10

 

  • Broché: 352 pages
  • Editeur : Nathan (19 mai 2016)
  • Collection : GRAND FORMAT DI
  • Prix : 16,95 euros

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Chronique CD : Love You to Death (3 juin 2016) de Tegan and Sara

Critique : Trois ans après l’excellent Heartthrob, les jumelles canadiennes sont de retour avec un huitième album résolument pop. Avec des mélodies accrocheuses gorgées de nappes de synthétiseurs, Love You To Death continue l’exploration entamée par le duo sur leur précédent opus.

Après avoir s’être forgé une solide réputation sur la scène indé au travers d’œuvres mélangeant le folk et le rock alternatif, Tegan and Sara ont entamé un tournant décisif en 2013 avec le disque Heartthrob. Véritable hommage à la pop des années 80, il leur offre une renommée internationale auprès d’un public plus large. Si les titres sont plus immédiats, ils ne délaissent pas pour autant les qualités d’écriture du duo. Avec Love It To Death, le groupe nous offre le deuxième volet de leur odyssée pop.
En dix titres, Tegan and Sara nous font danser, chavirer et lever le poing.
Dès le premier single « Boyfriend », les sœurs Quin annoncent la couleur avec un titre calibré pour le dancefloor flirtant avec la new-wave. Le disque est d’une efficacité imparable. À la production, elles se sont entourées de Greg Kurstin, un véritable génie du studio que l’on retrouve déjà derrière les manettes du fameux « Hello » d’Adele et du « Chandelier » de Sia. Une collaboration qui pourrait bien leur faire gagner la diffusion sur les ondes radio française de leurs titres même si le duo de Calgary reste encore quelque peu confidentiel de ce côté de l’Atlantique.
Tegan and Sara traitent des peines amoureuses avec une sensibilité et une détermination saisissante. Chacune de leurs paroles vient vous percuter droit dans le cœur tout en vous faisant bouger les pieds.
Les fans de la première heure regretteront parfois la douceur folk des débuts mais se consoleront sur « 100x », une ballade intimiste au piano qui met en exergue le talent d’écriture du duo. On appréciera aussi les titres « Faint of Heart » et « Stop Desire » pour leur dynamique et leur atouts mélodiques.
Si vous êtes à la recherche d’une musique pour pleurer votre amour perdu en dansant seul dans votre chambre, cet album est fait pour vous.
Note : 7/10
Benjamin Martinez

 

  • CD (3 juin 2016)
  • Nombre de disques: 1
  • Label: Warner Bros

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Runes de Ednah Walters

Runes est le premier tome de la série du même nom. Ce best-seller paranormal et sentimental pour jeunes adultes présente les aventures de Raine et Torin. Raine Cooper, une jeune femme de dix-sept ans, traverse une période difficile, entre la disparition de son père, le comportement fantasque de sa mère et le déménagement prochain de son petit ami. La dernière chose dont elle a besoin en ce moment, c’est l’arrivée de Torin St James, un nouveau voisin mystérieux au sourire taquin qui la fixe avec insistance dès qu’elle croise son regard. Raine est attirée malgré elle par le charme ténébreux de Torin, jusqu’à ce qu’il lui sauve la vie à l’aide de marques étranges. Elle comprend alors qu’il est différent des autres. Or depuis qu’il l’a guérie, quelque chose a changé en elle. En proie à des sentiments contradictoires, son cœur balance : doit-elle le fuir ou tomber dans ses bras ? Effrayée par ce qui lui arrive, elle décide d’en savoir plus sur cet énigmatique jeune homme. Mais plus elle s’approche de la vérité, plus ce qu’elle découvre se révèle sinistre. L’histoire de Torin est liée à une mythologie ancestrale et elle s’y retrouve mêlée contre son gré. Raine et ses amis sont en danger. Elle doit choisir son camp, mais le mauvais choix pourrait lui coûter la vie.

Critique :  Avec une plume fluide, captivante et rafraîchissante, l’auteur nous offre un premier opus impressionnant. Une intrigue unique dans son genre menée avec agilité riche en rebondissements et sans longueur. On se laisse happer par cet univers de la mythologie Nord Européenne, on reste en haleine, on doute, on se pose des questions, on veut savoir et on a du mal à lâcher le livre. Un rythme transcendant où l’on ne s’ennuie pas un seul instant. Des personnages très intéressants et fort attachants. Une héroïne tellement têtue qu’on aura qu’une envie c’est de la secouer un bon coup. Un héros mystérieux mais pour qui on succombera. Les personnages secondaires sont eux aussi forts intéressants. Certains vont attiser votre curiosité alors que d’autres sont le mal incarné. le petit plus ? L’interaction entre nos héros qui est tout simplement fascinante.

« Runes » est un début très exaltant qui met en place la trame de la série.

Note : 9/10

 

  • Broché: 358 pages
  • Editeur : Firetrail Publishing (11 février 2016)
  • Collection : Runes

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Nil (18 février 2016) de Lynne MATSON

Charley se réveille sur une île somptueuse qui ne figure sur aucune carte. Elle y survit tant bien que mal avant de rencontrer Thad, le leader du clan des humains présents sur Nil.
Il lui apprend la vérité, glaçante : pour quitter cet enfer paradisiaque, il faut trouver une des portes qui apparaissent au hasard sur l’île …
Il n’y en a qu’une par jour. Une seule personne peut l’emprunter. Pire encore, les adolescents n’ont qu’un an pour s’échapper. Sinon, c’est la mort.
Le compte à rebours a déjà commencé…

Critique : Excellent livre! Des jeunes de 12 à 19 ans se retrouvent happés par une vague de chaleur, une sorte de porte qui les conduit sur Nil, une île dans une dimension parallèle. Cette île d’apparence paradisiaque est en fait une sorte de labyrinthe, les jeunes ont un an pour trouver une porte de sortie ou bien ils meurent!
Entre les recherches de portes de sortie, les arrivées, les départs, les morts (plutôt horribles), amours, amitiés, rivalités, angoisse du temps qui file …
Malgré la jeunesse des personnages, dans l’ensemble qui sont assez matures,
« NIL » fait penser à un mix entre « Labyrinthe » (de James Dashner), la série télévisée « Lost » et l’émission télévisée « Koh Lanta » . Avec cet univers mystérieux, un peu sombre et profondément injuste.
Charley est une jeune femme pleine de ressources, elle tente de s’adapter à la situation au lieu de paniquer. J’ai aimé cet aspect de sa personnalité. Charley est débrouillarde et elle veut s’en sortir. En revanche, ce que j’ai moins aimé, c’est le fait qu’elle se pâme devant Thad.
Quant à Thad qui est un bon personnage mais un peu cliché, il est un leader né que tout le monde aime. Toutefois, il n’est pas méchant et se révèle être un jeune homme intelligent et prévenant.
La relation entre Thad et Charley est une romance d’ado mais qui ne dérange pas dans la lecture. Au bout de quelques jours à se fréquenter en compagnie des habitants de l’île, ils finissent par se vouer un amour éternel. Qu’ils s’apprécient et se sentent attirés l’un par l’autre.  L’auteure aborde dans son roman des thèmes chers aux ados, à savoir l’amour, la mort et ou encore le fait de savoir profiter à fond de la vie.
La morale de ce livre est « profitez du moment présent » malgré tous les soucis que l’on peut avoir, notamment lors du délicat passage de l’enfance à l’âge adulte…

Note : 9/10

 

  • Broché: 464 pages
  • Editeur : Pocket Jeunesse (18 février 2016)

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Au royaume de Volaria : Le destin de Dana: tome 2 de Michaël Espinosa

Jeunes Protecteurs, Dana et son ami Lance partent avec Klark, leur Maître, pour leur première mission dans les Terres Inconnues. Là, ils espèrent délivrer la mère de Dana, prisonnière des dragonnets qui mettent tout en œuvre afin d’envahir le royaume de Volaria. Sur leur route, ils rencontrent les habitants de la forêt. Ces derniers révèlent à Dana qu’ils attendaient sa venue et son aide.

Critique : Nous nous retrouvons face à la suite du roman fantasy: Le Choix de Dana.La lecture est agréable et les chapitres courts permettent un enchaînement rapide de l’histoire. Il y a de bons ingrédients permettant aux jeunes lecteurs d’apprécier cette histoire : magie, aventure et combat d’épées et récit initiatique, le retour du duo de héros fonctionne toujours aussi bien, on est entraîné dans les aventures de Dana et de Lance avec de du mystère, magie, combats épiques, notre héroïne est attachante, oscillant entre détermination et doute. Une lecture parfaite pour de jeunes lecteurs.

Note : 9/10

 

  • Poche: 192 pages
  • Editeur : Rageot Editeur (13 janvier 2016)
  • Collection : Rageot Romans

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Tugdual : Les coeurs noirs de Anne PLICHOTA

Serendipity, petite ville du sud des États-Unis. Tugdual, Mortimer et Zoé sont trois ados d’une famille peu ordinaire : ils sont dotés de pouvoirs surnaturels qu’ils doivent dissimuler. Mais un autre secret pèse encore plus lourdement sur leur coeur. Ils exercent malgré eux une attraction irrésistible sur les autres. Bien pire, cette attraction est mortelle pour ceux qui la subissent. Et quand l’amour s’en mêle, la situation se complique dangereusement… Après l’immense succès d’ Oksa Pollock, Anne Plichota et Cendrine Wolf reviennent avec une nouvelle série, aux héros sombres et fascinants.

Critique: Voici un premier tome qui plaira aux fans d’Oksa Pollock, mais aussi aux autres qui  ne connaissent pas le lien entre la série. Le style des auteurs est agréable à lire, c’est fluide, entrainant et imagé. Les points de vue s’alternent entre nos trois héros, et les auteurs parviennent à chaque fois à bien les différencier, et à nous faire entrer dans leur tête. Et à garder notre intérêt pour l’histoire. Portée par des chapitres courts, la lecture est rythmée par les pensées de ces trois jeunes, qui, malgré leur différence, tentent d’avoir une vie normale.Mais comment avoir une vie normale quand le moindre regard peut déclencher d’horribles choses ? à un âge où les attractions sont nombreuses, il est difficile de rester dans l’ombre, de s’oublier pour le bien des autres.Il est encore plus difficile de taire ce que l’on est, de garder pour soi ce qu’on voudrait exposer au monde entier.Ce sont trois adolescents que nous apprenons à connaitre et à comprendre. Ils se comportent comme des frères et soeurs, veillant les uns sur les autres. Il y a la soeur, Zoé : étant la plus jeune, elle se retrouve vite toute seule, sans ses frères, et va devoir affronter le lycée sans leur soutien. Mais c’est une battante, sans aucun doute, et sa grande sensibilité en fait quelqu’un d’attachant. Elle sent tout de suite quand l’un de ses frères ne va pas bien.Il y a aussi Mortimer, dont la naïveté va lui jouer des tours et entrainer nos héros dans de bien sombres endroits. Derrière ses muscles se cache un être sensible, peut-être le plus fragile des trois.Et il y a Tugdual. C’est celui que nous suivons le plus, pour notre plus grand plaisir. Il est sombre, mystérieux, dangereux et tellement mal dans sa peau. Tellement fragile, tellement meurtri. Il a peur de lui-même, peur de ce qu’il peut être capable de faire, peur de s’y laisser sombrer, comme dans le passé. Il reste ainsi un peu à l’écart de cette famille recomposée, un peu dans l’ombre de cette vie. Ses doutes, ses peurs, et son côté sombre, le rendent encore plus fascinant.

On se laisse vite prendre par cette histoire, même si parfois il y a quelques petites longueurs, on ne  remarque rien de flagrant. L’intrigue suit son chemin, nous emmenant vers quelque chose de vraiment intéressant.
Le côté lycéen le jour/super héros la nuit plaira énormément , et donne d’ailleurs des scènes parfois drôles et marquantes.

Un premier tome pour tous, que vous ayez lu ou pas Oska Pollock, des ados peu communs avec un côté sombre qui fascine, et une intrigue bien menée qui donne envie de lire la suite.

Note : 9/10

 

  • Poche: 464 pages
  • Editeur : Pocket Jeunesse (3 mars 2016)
  • Collection : Pocket Jeunesse
  • Langue : Français

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