Dieu Pardonne, Lui pas !: Requiem, T2 (28 avril 2017) de Stanislas Petrosky

Estéban Lehydeux, dit Requiem, est de retour. Le curé exorciste débarque cette fois sur le port du Havre.

Chronique : Second tome de Requiem et bien meilleur que le premier qui était déjà bien.
On reste dans le même style avec un langage assez cru mais vu l’humour du livre tout passe bien.  L’Eglise a de quoi avoir des sueurs froides avec son représentant, qui loin d’être un pacifique est prêt à prendre les armes et se pose en vengeur du faible et de l’opprimé. Il est prêt à tout pour retrouver les assassins et les tuer, les vœux d’abstinence, il n’en a cure… Il assume totalement ce qu’il est, partant du principe qu’il chasse les démons et que ce n’est donc pas vraiment répréhensible.
Sur l’histoire de Jules Durand, qui défraya la ville du Havre en 1910. Cette sorte d’affaire Dreyfus dans le monde ouvrier joue là avec les codes pour notre plaisir, puisque l’on suit ses personnages et l’on s’y attache. Mais Stanislas Petroskysait nous mettre aussi directement dans le sujet en s’adressant au lecteur qui devient partie prenante de l’histoire ! Tout au long des chapitres il s’adresse à nous… C’est un livre en abyme.
Comme quoi on peut allier le policier standard et l’humour sans perdre le lecteur bien au contraire… On espére un troisième tome de Requiem.

Note : 9/10

  • Broché: 186 pages
  • Editeur : Editions Lajouanie (14 avril 2017)
  • Collection : ROMAN POLICIER

51KsnsqnzVL.jpg

La chambre d’Hannah: Et si nous pouvions changer le passé ? (13 avril 2017) de Stéphane Bellat

Si La Chambre d Hannah plonge ses racines dans l Histoire la plus sombre, c est aussi le roman sensible et lumineux d une amitié entre deux enfants qui n ont, au premier abord, rien en commun : ni leur condition, ni leur époque. Avec, en filigrane, ces deux questions essentielles : jusqu où aller par amitié ? Sommes-nous prêts à croire l impossible ?

Chronique : « La chambre d’Hannah » est avant tout l’histoire de deux enfants de onze ans : Pierre et Hannah, qui partagent la même chambre. Cependant, toute l’originalité et l’aspect fantastique de cette bouleversante aventure, c’est que Pierre y vit en 1992 et Hannah en 1942…
Passé le choc de leur première rencontre, ils vont peu à peu tisser un lien très fort grâce à ces moments passés hors du temps, pendant lesquels Pierre fera découvrir à Hannah son monde moderne alors qu’elle lui décrira la haine et l’angoisse régnant au même endroit cinquante ans auparavant. Entre larmes, frissons et sourires, Stéphane Bellat nous tient en haleine jusqu’au rebondissement final. C’est une très belle histoire avec des personnages attachants, chacun à leur façon.
Un roman très bien écrit qui nous permet de vivre la guerre à travers les yeux d’une enfant juive et de son ami, 50 ans plus tard .A quelques jours de la date anniversaire de la rafle du Vél’D’hiv’ une course contre la montre s’engage, pendant laquelle il faudra tout d’abord convaincre les adultes de croire en ce lien surnaturel et tenter de changer l’histoire en ravivant un formidable élan de solidarité.
Entre larmes, frissons et sourires, Stéphane Bellat nous tient en haleine jusqu’au rebondissement final.

Note : 9,5/10

  • Poche: 399 pages
  • Editeur : Mosesu (13 avril 2017)
  • Collection : POCHE

41ssnRYjrVL._SX311_BO1,204,203,200_.jpg

Pas de Deux (19 janvier 2017) de Aubard Sophie

Saint-Barth le 24 décembre 1997. Un voyage de rêve qui vire au cauchemar. Un accident rarissime, collision d une automobile et d un avion. Sur les quatre occupants de la voiture deux ont trouvé la mort. Comment peut-on survivre après un tel drame ? Manon et Solyne tentent de trouver les réponses et surtout reprendre le cours normal de leurs vies. Sophie Aubard nous offre un roman sur l’Amour, celui qui guérit tout, détruit tout, transporte et qui rend fou.

Critique :

Critique= Nous sommes ici face à livre qui dès les premières pages pourrait laisser penser à un livre de Michael Bussi, mais loin s’en faut et c’est tant mieux ! Plus on tourne les pages, et plus on se rend compte que l’on est dans une autre dimension.  L’histoire est racontée du point de vue de plusieurs personnage qui nous raconte le quotidien de  Manon et Solyne  . On vit avec elles, au point de trembler pour elles, et de se demander comment on réagirait en pareille situation.Immédiatement happé par les premières pages, le lecteur est plongé aux côtés des protagonistes.La construction du roman est parfaite, les points positifs sont nombreux, c’est un sans faute concernant le scénario. Pour ce qui est de l’écriture, il n’y a aucune lourdeur, le style de Aubard reste simple, rythmé et efficace. Aucun de ses personnages n’est stéréotypé, chacun a ses ambiguïtés, là aussi le travail est époustouflant.Quant aux décors et aux descriptions, on n’est pas déçu. On visualise les scènes.Mais ce n’est pas tout, impossible de révéler un des gros rebondissements de l’histoire, mais il nous fait basculer dans une autre dimension, tel un triller paranoïaque, il nous fait vibrer et nous questionner encore plus.Le livre est un vrai turn-over, on le dévore d’une traite, pour assécher cette soif de savoir qui nous conduit vers la fin.`Les points négatifs, il y en a un petit; si l’on devine rapidement l’élément clé qui explique tout, cela gâchera un peu le plaisir. Néanmoins, la mise en place de l’intrigue est tellement parfaite et bien ficelée qu’à la fin, même si vous veniez à deviner  il y a toujours les explications des différents indices semés tout au long du roman, et que l’on avait manqué.Un super roman à lire, où on ne s’ennuie jamais. Hâte de lire le prochain livre de cet auteur et Merci au Atelier Mosesu pour les goodies qui on accompagner le roman.

Note : 9,5/10

 

  • Poche: 209 pages
  • Editeur : Mosesu (19 janvier 2017)
  • Collection : ROMA

part_1483642555012

 

Journal d’un marchand de rêves (20 octobre 2016) de Anthelme HAUCHECORNE

J’ai séjourné en hôpital psychiatrique. Pas de quoi fouetter un chat sauf lorsque, comme moi, vous êtes fils de stars. Par crainte du scandale, mes parents m’ont expédié loin d’Hollywood, dans la vieille Europe. Les meilleurs spécialistes m’ont déclaré guéri. En vérité, la thérapie a échoué. Les songes ont repris, plus dangereux que jamais

Critique: Voici un roman original où le lecteur va être  pris dans un histoire qui mélange le sombre et le magnifique, la beauté et l’horreur.Anthelme Hauchecorne nous entraîne dans un univers onirique loufoque et déjanté avec brio et maîtrise. Malgré la couverture qui présente une femme le véritable héros de cette aventure est Walter Krowley, un  jeune adulte gâté et irresponsable qui souffre d’être le pâle héritier de son père, acteur et réalisateur made in Hollywood. Après le drame d’un accident de voiture, Walter voit un nouveau monde qui s’offre à lui. La nuit, il explore une dimension qui pourrait bien métamorphoser la petite graine qui sommeille au plus profond de lui-même…On vas avancer avec Walt dans les brumes de ses rêves craints et fantasmés à tâtons et sans sourciller. Des influences de western, steampunk et fantastique sont là pour cette traversée du déserte  illustre les mécaniques insoupçonnables de l’esprit endormi.Une superbe découverte, un livre très prenant dans un univers passionnant. Il est en plus vraiment bien écrit. Anthelme Hautecombe nous transporte dans son monde.

Note : 9/10

  • Editeur : L’Atelier MOSESU (20 octobre 2016)
  • Collection : Peppe

téléchargement (1).jpg

Été pourri à Melun (15 septembre 2016) de Nicolas DUPLESSIER

Florian traîne son mal de vivre dans les rues de Melun, entre un boulot minable et une vie sentimentale sans joie. De morose, son existence devient vraiment pourrie le jour où Roxane, l’ex-grand amour de sa vie, est portée disparue. Très vite dans la ligne de mire des policiers, Florian doit mener sa propre enquête et se confronter à ses fantômes, découvrant une histoire qui le dépasse et la tonne d’emmerdes qui l’accompagne. Été pourri à Melun-Plage est un roman noir et cinglant qui raconte la descente aux enfers d un loser pas du tout magnifique.

Critique : Voici un super-premier roman noir qui ce lit d’une traite, on voit que l’auteur connaît les codes de ce genre et s’amuse avec nos nerfs. Avec une histoire qui se déroule avec des personnes qui subisse la crise on y trouve notre héros, un loser bien sympa mais aussi une personne qui se cherche amoureusement quant à s’improviser dans cette affaire ce n’est peut-être pas la personne la plus apte à le faire, commence alors une descente aux enfers avec des bagarres, des imprévus dans un Melun miteux Florian ne tardera pas à être dans le collimateur de la police, on y retrouve une ambiance à la « Night Of » la série de HBO avec sa succession de péripéties et de sa pluie qui fait d’elle une bonne histoire.

Note : 9/10

 

  • Broché: 260 pages
  • Editeur : Atelier Mosésu (15 septembre 2016)
  • Collection : Parabellum

51M2+J1mZyL._SX331_BO1,204,203,200_.jpg

 

Cavaliers de l’orage (3 juin 2016) de Chris Anthem

« C’était leur première grande sortie depuis des mois. Comme les fleurs et les animaux, Vincent et Agnès quittaient leur coque protectrice, le trou où ils venaient d’hiberner pour renaître à la faveur du printemps… Eux et leurs instincts engourdis par le froid, qui démarraient leur dégel. » Un frère et une soeur en route vers le Sud. La campagne isolée. Un aubergiste maniaque. Des morts violentes. Mais sous l’apparence du slasher, un imprévu choc des titans.

Critique : Ce livre part d’une idée intéressante, mais traitée trop rapidement, alors qu’elle aurait pu être développée un peu mieux en plus de page, le livre comporte des scènes bien enlevées.
200 pages qui passent tous seuls, qui filent par moments la gerbe. Mais voilà, on bascule dans le meurtre et la violence gratuits. Une froideur qui fait tout simplement froide dans le dos. Toutes les séquences de sauvagerie se multiplient et nous ne laissent pas le temps de souffler. On est littéralement embarqué dans un voyage en enfer. Adorateur de gore, vous allez être servis. En revanche, âmes sensibles s’abstenir absolument. À la fois sale et d’un esthétisme travaillé, Cavaliers de l’orage impressionne de par son propos radical et la souffrance brillamment retranscrite à l’écran. Une atroce mais authentique expérience de lecture, dont on ne ressort pas indemne.

Note : 8,5/10

 

  • Broché: 185 pages
  • Editeur : l’Atelier Mosésu (3 juin 2016)
  • Collection : SLASH
  • Prix : 10 euros

51Rt6XndIAL._SX320_BO1,204,203,200_.jpg

 

Na zdrowie (15 mai 2014) de Didier Fossey

Un braquage qui tourne mal, des souvenirs de Sarajevo, 1996, la mission IFOR, le deuxième régiment étranger parachutiste et voilà Mandoline en vadrouille dans les Balkans pour voler au secours d’Élisa. Certains apprendront à leurs dépens que seules les montagnes ne se croisent pas, et qu’il ne vaut mieux pas mettre l’Embaumeur en colère. Didier Fossey nous emmène dans un road-movie paramilitaire, où la musique n’est pas d’Alfred Newman, mais de Mikhaïl Timofeïevitch Kalachnikov. Didier Fossey est né le 11 décembre 1954. Son père est policier et lui inoculera le virus, car en plus d’écrire des polars, Didier Fossey fait partie de la grande maison. De 1986 à 2000, il oeuvre au sein de la brigade anti-criminalité de nuit en groupe d’investigation, puis en 2001, il est affecté au groupe de recherches et d’investigations dans le 13e à Paris. Il y prend en charge le bureau de police administrative. La scène de départ de ce Mandoline, seul un flic qui l’a vécue est capable de l’écrire de la sorte… Luc Mandoline, un personnage sombre, mystérieux et attachant. Ancien légionnaire, aventurier, et enquêteur à ses heures perdues. Luc Mandoline est l’Embaumeur.

Critique : Une nouvelle aventure de  Luc Mandoline avec ici Didier Fossey à l’écriture
qui va nous offre un gigantesque carnage qui met en avance un braquage faramineux. Avec tout ses personnage qui sont à la limite stéréotypé avec le bon vieux personnage de l’indic du cousin un peu trouble, ect…l’auteur arrive à jouer avec nos nerf.
Un bon roman, qui joue avec les codes du genre et nous promène en Europe via un circuit touristique pas toujours de tout repos, et nous montre une police qui doit faire le ménage dans ses propres rangs,par contre un roman un peut trop destiné et mis sur l’accent masculine.Didier Fossey dresse un portrait de Luc Mandoline des plus charismatiques, le tout avec une intrigue originale et prenante. A découvrir !

Note : 8,5/10

 

  • Poche: 234 pages
  • Editeur : L’atelier Mosésu (15 mai 2014)
  • Collection : L’Embaumeur

419E0HY2C+L._SX292_BO1,204,203,200_

 

Harpicide (22 octobre 2013) de Michel Vigneron

Premier épisode des aventures de Luc Mandoline.
Un polar « aventurier » dont l’action se déroule Guyane.
Un légionnaire s’est fait Tuer lors d’une mission Harpie. Le chef de corps du 3ème REI fait appel à Luc, ancien de ce régiment, afin de s’occuper du défunt, et surtout de faire la lumière sur cette affaire. Et pour cela Luc à carte blanche, ce qui n’est pas pour lui déplaire.
Nous voici plongé dans l’univers de l’orpaillage clandestin, de sa violence, des garimpeiros et de la prostitution. Un roman sans concession, violent et réaliste.
Michel Vigneron à mis toute la verve qui le caractérise dans l’écriture de cet opus de l’Embaumeur.

Critique : Harpicide est le premier roman d’une série intitulée l’embaumeur, qui met en scène Luc, un ancien légionnaire reconverti comme embaumeur, c’est-à-dire qu’il prépare les corps avant les enterrements.
Ici pas trop de détails sur le métier de Luc même s’il est évoqué, on découvre principalement une partie du passé qui a façonné Luc, la Légion. Avec pour décor la Guyane. On fait connaissance avec Luc mais aussi avec ses deux meilleurs amis, d’abord Élisa, amie d’enfance , jeune femme forte et fragile à la fois et ensuite Sullivan, ancien légionnaire, dur à cuire, qui a inspiré à Luc sa vocation, lui qui se rêvait médecin légiste, il deviendra thanatopracteur « remplaçant » ainsi amené à voyager pour prêter main forte ou remplacer un collègue. de Luc, on entrevoit déjà pas mal de choses, mais l’accent est porté ici sur un côté plus sombre que son amie Élisa va découvrir dans leur voyage en Guyane.Michel Vigneron nous décrit l’environnement guyanais en nous entraînant dans le trafic d’or. On a la sensation d’être sur les lieux tant l’écriture semble coller à la réalité. Une ultra violence accompagne le texte qui se trouve adoucie par un humour très présent dans les dialogues, une contre balance qui permet d’oublier certaines scènes qui vous tordent instinctivement de douleurs imaginaires. Grâce à ce livre, nous comprenons mieux la situation de l’orpaillage en Guyane et nous nous familiarisons avec la mission Harpie débutée en février 2008, où gendarmes et forces militaires combattent ensemble contre ce trafic doré.

Note : 9,5/10

 

  • Broché: 279 pages
  • Editeur : l’Atelier Mosésu
  • Édition : L’atelier Mosésu (30 novembre 2012)
  • Collection : L’EMBAUMEUR

51HJ9PMJOcL._SX304_BO1,204,203,200_

 

Irradié (26 mai 2014) de Franck THILLIEZ et Karine GIÉBEL

Le 26 avril 1986 à 1 h 23, la fusion d’un réacteur en 1 Ukraine provoque la catastrophe nucléaire la plus importante du XXe siècle…
Cette explosion a propagé dans l’atmosphère l’équivalent radioactif de quatre cents fois la bombe d’Hiroshima.
Près de trente ans plus tard, la radioactivité est toujours présente en quantité trop élevée, la zone est toujours contaminée et des enfants vivent non loin de là.
C’est pour eux, et pour que vive l’association Nord-Pas-de-Calais Tchernobyl, que le collectif des auteurs du noir s’est mobilisé cette année.
Autour de Franck Thilliez, parrain de ce recueil, douze femmes comme autant de mois dans l’année. Parce que ce sont les femmes qui irradient le monde, jour après jour.
Treize auteurs, treize nouvelles à découvrir pour les aider.

Critique : Retrouver Franck Thilliez, Barbara Abel, Karine Giebel, Claire Favan, Marie Vindy et d’autres auteurs de talent pour ce recueil de nouvelles, c’est juste magique. Les 13 nouvelles sont superbes. Certaines de ces nouvelles sont flippantes, oppressantes, bouleversantes, à fleur de peau ou proches d’une réalité cachée mais récenteSes nouvelles nous entraînent sur le sujet de la radiation.
Un vrai plaisir de lecture et surtout dans les recherches sur le sujet.
Un tel recueil a le mérite de nous faire découvrir des auteures connues ou inconnues car c’est un très bel ouvrage avec des textes de grande qualité.

Note : 9/10

 

  • Poche: 173 pages
  • Editeur : L’atelier Mosésu (26 mai 2014)

index

 

L’Amante d’Étretat de Stanislas PETROSKY

Isabelle et Frédéric vivent une des plus belles histoires d amour qui soit, passionnée et fusionnelle. Mais un jour où Frédéric part s’adonner à sa passion, la planche à voile, il disparaît corps et bien en mer. Isabelle va doucement mais sûrement sombrer dans la folie sans l homme qu’elle aime. Stanislas Petrosky nous entraîne dans les méandres de la dépression. Jusqu’où le manque de l être aimé peut-il mener ? Mais l auteur venant du monde du polar, il se pourrait que L Amante d Étretat ne soit pas qu’une simple histoire d amour tragique.

Critique : Voici un livre bouleversant et criant de vérité qui traite de tout ce qui peut faire mal. On commence par le journal intime d’une jeune fille, qui, sommes toutes logiques, grandit, devient adulte, commence un métier, puis sa vie de femme, d’épouse… ! Deux êtres qui s’aiment d’un amour comme il y en a peu, et que rien ne peut séparer sauf… Puis la catastrophe ! C’est le début d’une longue et profonde descente dans la folie.
L’auteur nous entraine avec talent et nous fait ressentir chaque morceau de douleur, de désespoir. le vivre traite de l’alcoolisme et la violence qui déchire toute une famille ainsi que de sa perte.
L’auteur arrive à nous captiver en explorant le désespoir de son héroïne. Un très livre avec une fin surprenante qui se lit d’une traite.

Note : 8,5/10

  • Poche: 120 pages
  • Editeur : l’Atelier Mosésu (27 février 2016)
  • Collection : PARABELLUM

index