Tout va très bien madame la comtesse ! de Francesco Muzzopappa

La comtesse Maria Vittoria dal Pozzo della Cisterna est effondrée : elle a dû se séparer de la quasi-totalité de ses domestiques et la voilà réduite à faire ses propres courses au supermarché. Tout ça à cause d’un fils, beau comme un dieu et bête comme une huître, qui a jugé malin d’offrir le dernier joyau familial à une starlette décérébrée. Pour sortir de ce pétrin, il va falloir faire preuve d’imagination…

Critique:Voici un  premier roman italien de Francesco Muzzopappa, un livre humoristique où le rire où le sourire parsème les pages de ce roman. L’action en dans une Italie contemporaine, celle de Berlusconi où notre personnage principale est une aristocrate ressemblant à Maggie Smith qui a trois problèmes dans la vie : le temps qui passe, l’argent qui file et son idiot de fils qui file aussi, mais le parfait amour avec une starlette siliconée échappée d’un jeu de téléréalité. Tout irait ainsi pour le mieux dans le meilleur des mondes si le rejeton passablement stupéfait n’avait eu la brillante idée d’offrir à sa douce un magnifique diamant qui est tout ce qui reste de la splendeur des Pozzo della Cisterna et l’unique garantie de résister au déclassement social qui les guette. Pour le récupérer, la comtesse va devoir faire preuve d’imagination.

Le texte est fluide et l’auteur nous mène son affaire avec une rapidité, et avec un sens  de la comédie. Une belle comédie qui est aussi une belle critique de la société italienne et de ce qui ce passe dans le pays. Seul remarque un roman assez court où en en redemande.

Note : 9/10

 

  • Broché: 259 pages
  • Editeur : Editions Autrement (2 mars 2016)
  • Collection : AUTREMENT LITTE

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Carnets noirs de Stephen King

En prenant sa retraite, John Rothstein a plongé dans le désespoir les millions de lecteurs des aventures de Jimmy Gold. Rendu fou de rage par la disparition de son héros favori, Morris Bellamy assassine le vieil écrivain pour s’emparer de sa fortune, mais surtout, de ses précieux carnets de notes. Le bonheur dans le crime ? C’est compter sans les mauvais tours du destin… et la perspicacité du détective Bill Hodges. Après Misery, King renoue avec un de ses thèmes de prédilection : l’obsession d’un fan. Dans ce formidable roman noir où l’on retrouve les protagonistes de Mr. Mercedes (prix Edgar 2015), il rend un superbe hommage au pouvoir de la fiction, capable de susciter chez le lecteur le meilleur… ou le pire.

Critique: Comme tous les plus grands romanciers, le dernier King est toujours tant attendu avec grande impatience, et celui-ci ne fait pas défaut. Ce roman est une véritable déclaration d’amour à la littérature et au métier d’auteur, le livre est basé sur l’obsession et le fanatisme, ce qui n’est pas sans nous rappeler Misery. Les deux livres abordent un thème similaire mais d’une manière totalement opposée. On n’est pas dans un huis-clos ici, plutôt sur une chasse à l’homme mais les raisons sont les mêmes : l’amour inconditionnel pour un auteur. Ce livre est aussi une sorte de suite à Mr Mercedesoù l’on retrouve Bill Hodges et on y découvre des nouveaux personnages comme Pete mais aussi, et surtout, Morris Bellamy. Les personnages ne font pas tout, l’intrigue est aussi importante et ici, cette seconde partie n’est pas du tout un polar comme avait pu l’être Mr Mercedes, avec une enquête. King ne cherche rien d’autre que de distraire, et tant qu’à faire en le faisant de manière intelligente. Ce roman n’est sans doute pas à classer parmi ses écrits les plus majeurs. Effectivement, il a déjà abordé cette thématique. Et pourtant, il arrive encore à surprendre. Il arrive à se renouveler et à ne jamais radoter. Après toutes ces années et tous ces livres, ça tient réellement du miracle. La construction du roman est très intéressante car elle est en trois parties distinctes, un avant, un pendant et un après. Stephen King place des liens partout, que ce soit entre le tome précédent et celui-ci ou les personnages, dans un premier temps, on souhaite les comprendre puis on veut voir sur quoi cela va aboutir. La seconde partie se passe sur un même espace temporel mais les points de vue qui s’alternent, Stephen King nous embarque très vite dans son récit en nous faisant languir et prenant le temps de poser son récit et ses personnages pour ensuite accélérer le rythme.

A chaque livre on s’en étonne encore : l’auteur reste fidèle à lui-même tout en arrivant à se réinventer. C’est ça le pouvoir de la fiction. Stephen King en détient le pouvoir absolu.

Note : 9/10

 

  • Relié: 427 pages
  • Editeur : Editions Albin Michel (2 mars 2016)
  • Collection : LITT.GENERALE

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Mon tout premier livre de berceau – Bonne nuit ! de Fiona Watt

Bébé sera fasciné par ce joli livre en tissu tout doux qui s’ouvre en accordéon. Il aura plaisir à le découvrir des yeux et du bout des doigts et à le partager avec ses parents au moment du coucher. Une fois déplié, le livre devient une frise réversible qui pourra décorer sa chambre grâce à des attaches en tissu.
Présenté dans une jolie boîte illustrée, ce livre fera un beau cadeau.

Critique: Voici un livre pour les bébés  qui cumulent les critères qui semblent essentiels pour cet âge : un format en tissu agréable au toucher, un recto veso que l’on peut accrocher sur le berceau avec des dessins hyper colorés et contrastés, pas de texte, ce qui est très bien pour les parents et y inventer une histoire. D’un coté la forêt et de l’autre l’espace pour un univers plus science fiction.
Un livre en accordéon pour  stimuler les sens de bébé, surtout la vue.                                           Un beau cadeau pour bébé où qui fera un bien joli cadeau de naissance.
A choisir sans hésiter.

Note 10/10

 

  • Album: 8 pages
  • Editeur : Usborne (10 mars 2016)
  • Collection : LIVRE EN TISSU

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Mickey’s Craziest Adventures de Lewis Trondheim et Nicolas Keramidas

Catastrophe, le coffre-fort de Picsou a été dévalisé ! Les responsables ne sont autres que Pat Hibulaire et les Rapetou, ayant réussi à dérober la machine à miniaturiser conçue par Géo Trouvetou lui-même. Pour les arrêter, Mickey et Donald doivent unir leurs forces et partir à leur poursuite. C’est pour eux le début d’une course effrénée, du laboratoire du génial inventeur aux méandres d’une dangereuse jungle, en passant par les ruines d’une cité antique et secrète… Bref, la plus folle des aventures !Mickey’s Craziest Adventures est une histoire oubliée qu’auraient retrouvé par hasard Lewis Trondheim et Nicolas Keramidas ! Une série d’épisodes en une planche qui, mis bout à bout, forment une histoire au long cours… Sauf qu’ils n’ont pas pu en retrouver l’intégralité ! Les auteurs ont donc été contraints de raconter un récit « incomplet » qui, dans un tour de force narratif, nous fait jouer à imaginer les séquences manquantes. Quoi qu’il en soit, ils livrent une histoire qui se lit d’une traite, où humour et aventure se conjuguent à la perfection !

Critique: Imaginer retrouver des planches d’une aventure entrainant Mickey et Donald dans une folle aventure.
Cela fonctionne, on se laisse embarquer avec nos personnage de Disney, en plus, les auteurs laissent une place à notre imagination entre les planches « manquantes » ce qui nous permet d’être complice de l’aventure.
Il y a de l’humour à chaque page.
Le livre est magnifique, le travail des couleurs, l’utilisation très habile du vieillissement ainsi que toutes les surprises subtilement intégrée tout au long de l’ouvrage !
Le scénario, les dessins, les couleurs tout est maîtrisé, il y a plein de messages à « décoder » et rechercher dans les planches. À chaque lecture on découvre un nouveau détail !
Les auteurs ont réussi à embarquer le lecteur dans l’aventure, le surprendre, le faire rire .

Note 9,5/10

 

  • Album: 48 pages
  • Editeur : GLENAT (2 mars 2016)
  • Langue : Français

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La stratégie des as de Damien Snyers

Pour vivre, certains choisissent la facilité. Un boulot peinard, un quotidien pépère. Humains, elfes, demis… Tous les mêmes. Mais très peu pour moi. Alors quand on m’a proposé ce contrat juteux, je n’avais aucune raison de refuser. Même si je me doutais que ce n’était pas qu’une simple pierre précieuse à dérober. Même si le montant de la récompense était plus que louche. Même si le bracelet qu’on m’a gentiment offert de force risque bien de m’éparpiller dans toute la ville. Comme un bleu, j’ai sauté à pieds joints dans le piège. L’amour du risque, je vous dis. Enfin… c’est pas tout ça, mais j’ai une vie à sauver. La mienne

Critique: Avant de faire la chronique de ce livre il faut salué la superbe couverture de Dogan Oztel.
L’histoire de ce roman est assez courte, elle est racontée à la première personne par James  qui nous donne un récit sans temps mort et focalisé sur l’action. L’univers, mélange de Fantasy et de Steampunk, se qui ce révèle intéressant à découvrir et donne envie d’en apprendre plus, même si on lui reproche un petit manque de densité. Les personnages proposés sont attachants mais l’auteur n’hésite pas à leur faire subir des horreurs.Loin d’être lisses, les héros sont pleins d’aspérités et offrent des personnages consistants et fouillés. On à l’impression de remettre les pieds dans un Paris  différant mais bien influencé.
L’écriture de l’auteur est très bonne, on est dans du turn over  où Damien Snyers emploi le flashback assez souvent  en parlant par exemple, d’une situation hasardeuse et en remontant le temps pour expliquer comment les personnages en sont arrivés là. Ici, le procédé est surtout pratique dans le récit pour donner l’envie d’en savoir plus.

Un très bon premier roman qui propose une belle galerie de personnages, une  belle intrigue et une ambiance incroyable.

Note: 8,5/10

 

  • Broché: 328 pages
  • Editeur : ACTUSF (4 février 2016)
  • Collection : Les trois souhaits

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Elmer et l’inondation de David McKee

Heureux Elmer ! L’éléphant bariolé est le plus merveilleux des amis. Il est toujours là pour un fou rire ou pour un coup de main. Et quand il aspire au calme et au silence, c’est carrément le ciel qui est avec lui…
Critique: Les fans d’Elmer vont certainement aimer cette nouvelle aventure. Ici Elmer est  fatigué de toutes les blagues des autres animaux et cherche un peu de temps et du calme. Comme beaucoup d’enfants, Elmer a du mal à rester à l’intérieur pendant les intempéries.
Malheureusement un des enfants des éléphants se perd et Elmer décide d’aller le chercher. Durant ses recherches il va voir certains animaux pour qui la pluie n’est pas un problème et qui aime ça comme les crocodiles et les canards.
Il y a de l’excitation et un vrai entraide envers les uns les autres pour sauver le petit éléphant ce qui montre aux enfants un message d’entraide.
La touche de l’auteur David McKee est vraiment amusante et intéressante pour arriver à la fin touchante de notre éléphant bariolé préférée.
Dans cette aventure les petits morceaux d’humour sont bien choisis surtout quand Elmer fait la rencontre avec les canards.
Le graphiste simple est toujours aussi beau et on ne s’en lasse jamais.
Le texte est simple et peut-être lu par les jeunes lecteurs, 6-8 ans, mais ce livre plaira tout autant à ceux qui ne savent pas encore lire
Note : 10/10
  • Album: 32 pages
  • Editeur : Kaléidoscope (17 février 2016)

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La drôle d’expédition de Séverine Vidal et Marion Puech

Une autre aventure de Zach, le petit garçon qui a réussi à s’évader de la prison d’Alcatraz ! Perdu dans le jeu vidéo que son père est en train de créer, Zach cherche une issue. Il finit par se retrouver dans un… cockpit de fusée. Et pas n’importe laquelle : le voilà qui s’envole à bord d’Apollo 11, aux côtés des trois astronautes, Armstrong, Aldrin et Collins ! Zach se fait accepter par l’équipage, s’acclimate à la vie dans l’espace, rencontre un alien pour, au bout du voyage, vivre la plus excitante des aventures humaines : MARCHER SUR LA LUNE !

Critique: Après La drôle d’évasion voici le retour de Zach dans une superbe aventure de Séverine Vidal  superbement illustré par Marion Puech.

Pour une suite c’est pour l’instant un sans-faute La drôle d’expédition est dans la même veine que le premier : drôle, riche en rebondissements et pensée pour les plus jeunes.
Le personnage de Zack est très attachant c’ est un amoureux des livres, dans lesquels il puise les aventures qu’il ne vit pas dans la vie réelle ! Mais Zack a plein de ressources quand il s’agit de faire des bêtises ! S’inspirant de faits réels, Séverine Vidal nous emmène dans l’expédition Apollo 11 avec Neil Armstrong en guest, cette aventure nous garantit même quelques frissons ! Le style est fluide, direct et nous embarque dans cette incroyable aventure : les enfants vont adorer !

Les nombreuses illustrations de Marion Puech sont drôles et le coup de crayon rappelle un peu les bandes dessinées, donnant ainsi un côté animé aux illustrations.

En conclusion, c’est un carton plein pour ce deuxième tome qui peut lire indépendamment du premier . La drôle d’expédition est un roman parfait pour faire aimer la lecture aux plus jeunes. Une histoire à conseiller aux plus aventureux !

Note: 9,5/10

 

  • Broché: 220 pages
  • Editeur : Editions Sarbacane (2 mars 2016)
  • Collection : Pépix

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Spirou et Fantasio, Tome 55 : La colère du Marsupilami de Fabien Vehlmann et Yohan

Le retour d’un animal mythique dans une série qui l’est tout autant. Spirou fait une découverte stupéfiante : on l’a zorglondisé il y a des années pour lui faire oublier jusqu’à l’existence du Marsupilami !
Critique: Voici dans cette album le grand retour d’une des créatures préféré de Spirou qui à eu droit à son spin off en solo mais qui n’a plus retrouver le chemin de notre groom.   !
Attention par contre ce n’est pas réellement notre animal mais les vrai lecteur de Spirou savent qu’il existe plusieurs Marsupilamis depuis le tome:  Le Nid des Marsupilamis.
Si certain lecteur n’ont pas lu le tome 54 la fin disait que Spirou et Fantasio avaient, sans en avoir le moindre souvenir, ramené le Marsupilami en Palombie dans une cage.
L’action de cet album se situe surtout dans la jungle de Palombie.
Ce qui est très bien dans cette histoire est qu’elle abonde en références à des épisodes du passé comme Spirou et les héritiers, Le Dictateur et le champignon, Le Nid du Marsupilami ect… et fait intervenir des personnages emblématiques comme Prunelle, le rédacteur en chef du journal de « Spirou », le dessinateur Lebrac, ect…
Que l’on soit fan, que l’on connait ou non la série cela ne dérange en rien la lecture mais les connaitre un peu augment les gags qui son simplement drôles.
Le cœur du récit avec la recherche du Marsupilami est plus réussi et très entraînant ce qui nous offre un dénouement émouvant.
La Colère du Marsupilami est un très bon  divertissement avec le retour du Marsu dans les aventure et une vraie sensibilité. Un album pour les fan et les lecteurs aimant Spirou.
NOTE: 9/10

 

  • Relié
  • Editeur : Editions Dupuis (4 mars 2016)
  • 10,60 euros

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L’ENJEU de WENDALL UTROI

Élisabeth, femme sensible, se réveille droguée et à moitié nue dans un entrepôt en ruine, froid et humide. Elle va y découvrir trois autres personnes : José, jeune caïd de banlieue, Mary infirmière et Karl militaire en retraite. Pourquoi eux ? Qui est derrière tout ça ? Comment sont-ils arrivés là ? Mais surtout dans quel but ? Prisonnière de cet endroit et de ses peurs, elle va devoir trouver des réponses.

Critique:

Nous sommes ici face à thriller qui dès les premières pages pourrait laisser penser à un remake du film Saw, mais loin s’en faut et c’est tant mieux ! Plus on tourne les pages, et plus on se rend compte que l’on est dans une autre dimension.  L’histoire est racontée du point de vue d’Élisabeth, l’héroïne. On vit avec elle, au point de trembler pour elle, et de se demander comment on réagirait en pareille situation.Immédiatement happé par les premières pages, le lecteur est plongé aux côtés des protagonistes. On se demande, tout comme eux : pourquoi ? Qui les a placés là ? Comment ont-ils atterri là, dans quel but, et quelle est cette histoire d’enjeu ? Et tant d’autres questions… Le lecteur est toujours sous pression et ne peut s’empêcher de tourner les pages, se perdant de chapitre en chapitre, afin de savoir jusqu’où ils devront aller dans l’horreur, pour survivre…La construction du roman est parfaite, et lors du huis clos, il s’agit d’une prouesse remarquable.Ainsi, les points positifs sont nombreux, c’est un sans faute concernant le scénario. Pour ce qui est de l’écriture, il n’y a aucune lourdeur, le style de Utroi reste simple, rythmé et efficace. Aucun de ses personnages n’est stéréotypé, chacun a ses ambiguïtés, là aussi le travail est époustouflant.Quant aux décors et aux descriptions, on n’est pas déçu, malgré le peu d’horizons qui nous sont offerts dans cet espace clos. On visualise les scènes.Mais ce n’est pas tout, impossible de révéler un des gros rebondissements de l’histoire, mais il nous fait basculer dans une autre dimension, tel un triller paranoïaque, il nous fait vibrer et nous questionner encore plus.Le livre est un vrai turn-over, on le dévore d’une traite, pour assécher cette soif de savoir qui nous conduit vers la fin.`Les points négatifs, il y en a deux petits pour moi.Le premier, et c’est l’inconvénient de toute construction en huit clos (un lieu, peu de personnages, une seule intrigue) : si l’on devine rapidement l’élément clé qui explique tout, cela gâchera un peu le plaisir. Néanmoins, la mise en place de l’intrigue est tellement parfaite et bien ficelée qu’à la fin, même si vous veniez à deviner (chose qui m’étonnerait) il y a toujours les explications des différents indices semés tout au long du roman, et que l’on avait manqué.Ce qui est aussi frustrant, est que la seconde partie du roman est intense, mais je ne peux pas en parler et ça, c’est dur, sinon je risque de briser l’intrigue principale. Un super roman à lire, où on ne s’ennuie jamais. Hâte de lire le prochain livre de cet auteur.

Note : 9,5/10

 

  • Format : Format Kindle
  • Taille du fichier : 1404 KB
  • Nombre de pages de l’édition imprimée : 358 pages
  • Utilisation simultanée de l’appareil : Illimité
  • Editeur : WENDALL UTROI (3 février 2016)
  • Vendu par : Amazon Media EU S.à r.l.

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Cinémonstres : la créature du lagon maudit de Stéphane Tamaillon

Harry et son équipe débarquent dans la jungle amazonienne pour tourner un film sur un monstre aquatique imaginaire. Enfin,  » imaginaire « … D’après la légende locale, le lagon choisi serait maudit et quand Rose, la vedette, est kidnappée par la véritable créature qui hante le lagon, la malédiction semble se réaliser – et le tournage vire à la catastrophe ! La traque dans la forêt commence, sous la direction de Brooks, bien décidée à tirer le mystère au clair.

Critique : Une nouvelle série d’albums pour les 8/12 ans; ici le premier tome qui est une grande réussite tant dans l’histoire que dans les dessins qui se lisent comme dans une bande dessinée . On se retrouve embarqué avec une équipe de tournage où le faux côtoie le réel mais ici ce ne sont pas des monstres fait de caoutchouc mais un vrai monstre plus vrai et plus fantastique que nature. Dans ce livre qui n’a rien à envier aux « Chair de poule » de R.L Stine les coups de théâtre et rebondissements vont vous faire aimer la jungle avec tout plein de mystère à résoudre et le tout avec de l’humour et des personnages comme le papa de Brooks: Harry Hausen plus drôle que nature.
Un premier tome qui met la barre haute pour cette nouvelle série de monstres et qui nous donne envie de patienter jusqu’au tome 2 déjà prévu pour les 23 aout 2016 avec le titre : Menace d’outre espace

Note : 9/10

  • Album : 48 pages
  • Editeur : Editions Sarbacane (2 mars 2016)
  • Collection : CINEMONTRES
  • 12 euros

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