La Guerre des mondes – Tome 02 (29 mars 2017) de Dobbs et Vicente Cifuentes

Voilà plusieurs jours que des projectiles précis et réguliers frappent la Terre depuis la Planète Rouge. Dans la petite bourgade d’Ottershaw en Angleterre, le Professeur Ogilvy a du mal à croire à la théorie d’une attaque extraterrestre émise par son jeune élève. Pourtant, lorsqu’un météore tombe non loin de chez lui, il découvre, niché en son cratère, un cylindre géant qui ne peut qu’être l’œuvre d’une civilisation supérieure. Et il apprend à ses dépens que cette dernière n’a pas véritablement d’intentions pacifiques… De la capsule extra-terrestre émerge un « tripode », une immense machine de mort qui sera rejointe par bien d’autres, semant le chaos et la destruction. L’extermination ne fait que commencer… Récit apocalyptique précurseur du genre au message antimilitariste, le roman La Guerre des mondes, plusieurs fois porté sur grand écran, trouve enfin en BD l’adaptation fidèle qu’il mérite.

Chronique : Excellent second tome de la guerre des mondes, qui vient clore le cycle consacré à cette oeuvre dans une collection dédiée à H G Wells qui mérite vraiment à être connue. Le dessin et la mise en couleur sont parfaits, très esthétiques. Le découpage est lui aussi d’une grande qualité et donne un rythme au récit qui n’est ni trop lent ni trop rapide.On ne retrouve pas dans ce second tome les petites incohérences du premier tome dans le dessin. Il faut dire que l’on a moins de scènes qui se déroulent dans le même endroit.
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Le plus difficile pour les adaptations des œuvres littéraires en BD est sans doute de rester fidèle à l’ambiance de l’oeuvre originale. De ce point de vue, le challenge est plus que réussi. Belle série qui retranscrit à merveille HG Wells

Note : 9,5/10

  • Album: 56 pages
  • Editeur : GLENAT (29 mars 2017)
  • Collection : BANDES DESSIN E

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L’Homme invisible – Tome 01 (29 mars 2017) de Dobbs et Christophe Regnault

Histoire courte mais intense, L’Homme invisible est une œuvre fondatrice à la fois cynique, drôle et inventive. Redécouvrez-la dans une adaptation en BD fidèle à l’ambiance glaciale du roman d’H. G. Wells

Chronique : Après « La guerre des mondes » et « La machine à explorer le temps », les éditions Glenat et le scénariste Dobbs continuent de s’attaquer à l’œuvre de H.G. Wells avec cette fois « l’homme invisible ». Cette bande dessinée comprendra deux tomes.
Ce premier opus qui est assez fidèle à l’œuvre de Wells, est magnifié par les très beaux dessins de Christophe Regnault qui rend bien l’ambiance du roman.
Avec ce premier tome qui se déroule dans un village bien tranquille, nous assistons à l’arrivée d’un homme qui s’installe dans un hôtel et qui très rapidement va inquiéter les villageois puis leur faire peur.

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On ne nous dit pratiquement rien concernant cet homme, son passé et ce qu’il l’a conduit à être ce qu’il est. Le scénario de Dobbs est précis, rythmé et nous décrit très bien la psychologie des différents personnages dont celle du principal protagoniste..
« L’homme invisible » plus de cent ans après sa parution produit toujours le même effet et ne vieillit pas d’un pouce et on a hâte de découvrir le second tome.

Note : 9/10

  • Album: 56 pages
  • Editeur : GLENAT (29 mars 2017)
  • Collection : BANDES DESSIN E

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Mort au loup ! (20 avril 2017) de Philippe Jalbert

Voilà des siècles que les loups mangent les cochons, c’en est trop ! L’heure de la revanche a sonné : aux cochons de s’occuper du loup !

Chronique : Une bande dessiné drôle et rythmée et explique de manière très simple qu’on fait malheureusement pas toujours ce qu’on veux avec une touche d’humour.  Philippe Jalbert sait faire avec le sujet du loup et nous offre un livre avec des couleurs vives, des images simples mais vivantes, un texte réduit au minimum, que tout parent connait… Et, surtout, des tas de surprises dans ce récit qui est une version détourner des trois petit cochons . Ce livre change grâce à sa chute vraiment surprenante. Un livre à lire et relire.

Note : 9,5/10

  • Album: 56 pages
  • Tranche d’âges: 6 – 8 années
  • Editeur : Seuil jeunesse (20 avril 2017)
  • Collection : ALBUM JEUNESSE

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Sorcières Sorcières T01 : Le mystère du jeteur de sorts (13 novembre 2014) de Joris Chamblain et Lucile Thibaudier

Pamprelune est un petit village où tous les habitants sont des sorciers et des sorcières et où magie et sortilèges font partie du quotidien. Quand trois fillettes sont victimes d’un mystérieux jeteur de sorts, tous les regards se tournent vers Harmonie, une de leurs condisciples qui a de bonnes raisons de leur en vouloir. Elle aura sans doute voulu venger sa petite sœur Miette, souffre-douleur des trois premières. Du haut de ses dix ans, Harmonie n’entend pas se laisser faire. Mais comment faire croire à son innocence quand on passe pour une menteuse même aux yeux de ses parents?

Chronique : Deux soeurs sorcières partent en forêt s’amuser. La plus jeune, qui n’a encore développé ses pouvoirs, est alors embêtée par des sorcières plus âgées.
Peu de temps après, des mésaventures arrivent aux méchantes filles. L’une d’elle se voit transformée en citrouille…Harmonie est alors suspectée…
Afin de faire taire les accusations, elle décide de mener l’enquête ! C’est un charmant album que je viens de découvrir. L’histoire conte deux sœurs bien mignonnes, qui face à l’adversité se montrent solidaires et intrépides. Il y a de la magie, de l’humour et beaucoup de tendresse. La trame de l’enquête n’est qu’un fil conducteur pour l’histoire, léger et secondaire. Ce qui tient le devant de la scène, ce sont cet univers enchanteur d’un pays de sorciers et ces deux petites sorcières adorables, justicières, audacieuses. Les dessins sont beaux, expressifs, fournis, et la colorisation a des teintes douces et lumineuses. L’alliance des auteurs est une belle réussite. Une bd jeunesse qui devrait en séduire plus d’un. Magie et famille sont les mots clés de ces deux aventures. Au final, lorsqu’on referme l’ouvrage, on a juste envie de lire la suite.

Note : 9/10

 

  • Album: 48 pages
  • Editeur : Kennes Editions (13 novembre 2014)
  • Collection : KE.SORCIERES

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Ninn T02 : Les grands lointains (21 septembre 2016) de Jean-Michel Darlot et Johan Pilet

Les quais du métro Abbesses fleurissent d’avis de recherche : Ninn a disparu ! Si pour la police il est trop tôt pour s’inquiéter, pour Chad et Ulrika, ses deux meilleurs amis, il n’y a pas de temps à perdre : Ninn est en danger ! La jeune adolescente ayant évoqué son projet d’explorer les tunnels du métro, c’est en sous-sol qu’ils vont tenter de retrouver sa trace… Tout au bout de la ligne noire, perchée sur son tigre qui lui sert de guide, Ninn a rejoint les grands lointains : un monde parallèle censé lui fournir toutes les réponses sur ses origines. Si à première vue, il a toutes les apparences d’un monde merveilleux, le comité d’accueil l’est beaucoup moins. Géants de pierre et idées sombres entendent protéger les lieux de toute intrusion…
Chronique : Nous retrouvons Ninn dans les Grands Lointains. Seule avec son tigre de papier il lui faut décoder au plus vite le milieu dans lequel elle a plongé.
Mais à Paris, sous le métro, ses amis et sa famille ne l’ont pas abandonnée.
Quelle est sa mission ? Quel sera son destin ?
Un second volume attendu qui clôt cette première partie de l’histoire.Les auteurs restent fidèles au style et à l’univers. L’originalité scénique du premier tome s’est étiolée et fait place à présent à un enchaînement d’actions. L’aventure est dynamique et imaginative.C’est au milieu d’une contrée sauvage qu’elle va devoir avancer et combattre les idées sombres qui la poursuive. La réponse à ces questions se trouve dans le fanal, c’est sorte de phare qui permet aux idées perdues des voyageurs de trouver le chemin pour les Grands Lointains. On retrouve la dualité des vignettes sombres et de celles aux tons plus pastels : le combat entre les rêves et les idées sombres.
L’histoire est toujours aussi trépidante, pleine de découvertes, de rebondissements.
Ce second tome se lit très vite pour notre plus grand plaisir et notre plus grande frustration.
Note : 9,5/10
  • Album: 72 pages
  • Editeur : Kennes Editions (21 septembre 2016)
  • Collection : KE.NINN

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GUIBY T04: Le repaire des inodores (8 février 2017) de Sampar

Après avoir été capturés par l’Ombre et jetés au cœur du monde des monstres, Guiby et ses amis devront réunir leurs forces et trouver la sortie du dangereux labyrinthe dans lequel ils se trouvent.

Chronique : Tome 04 de ce bébé de 3 ans, habillé en rouge et toujours sa tétine dans sa bouche. Guiby en a plus que marre des monstres qui viennent dans sa chambre la nuit. Il décide alors de les affronter.
L’histoire est originale et ne manque pas de faire sourire les adultes. Quelle bonne idée de créer ce petit garçon qui nous fait immédiatement penser à nos peurs d’enfance.
Plusieurs thème sont abordés dans cette intrigue, l’amitié au premier plan mais également l’attachement familial. Guiby est un petit héros plait beaucoup car il me fait beaucoup penser aux enfants, toujours prêt à s’enfuir, qui ne tient pas en place. Cette BD a tout pour plaire à un public très large grâce à son design très soigné et sa thématique, l’amitié et la différence sont des sujets qui nous concernent tous. La fin de ce volume laisse présager un tome 5 de grande qualité et on a déjà hâte de le découvrir.
Sampar nous fait découvrir la qualité de la bande-dessinée québecoise et son talent n’a rien à envier à celui des auteurs européens. Il a réussi à donner des lettres de noblesse à cet art outre atlantique.

`Note : 9/10

 

  • Relié: 114 pages
  • Editeur : Kennes Editions (8 février 2017)
  • Collection : KE.GUIBY

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Lénine (Ils ont fait l’Histoire) (29 mars 2017) de Ozanam et Denis Rodier

Russie, 1887. Motivé par la culture révolutionnaire suite à l’exécution pour terrorisme de son frère Alexandre, le jeune Vladimir Oulianov se plonge dans la lecture d’écrivains engagés comme Karl Marx ou Tchernychevski. Revenu à Saint-Pétersbourg après plusieurs années d’exil, il multiplie alors la publication de journaux clandestins et pamphlets opposés au pouvoir tsariste. Régulièrement incarcéré, sans cesse en fuite en Allemagne, Suisse ou Angleterre, il ne tarde pas à devenir une figure de proue du Parti ouvrier social-démocrate. Mais bien qu’il se revendique des écrits de Marx, « Lénine » prétend que la Révolution ne pourra pas venir du prolétariat s’il ne dispose d’un appareil politique puissant. Par d’habiles manœuvres permettant à ses partisans de devenir Bolcheviks – c’est-à-dire majoritaire – et de prendre le pouvoir au sein du Parti, Lénine se révèle un fin stratège et laisse déjà entrevoir un autoritarisme forcené…

Chronique : « Lenine» est une BD de la collection « Ils ont fait l’histoire », publiée par Glénat et Fayard, dont le principe est d’associer un historien, un scénariste et un dessinateur pour raconter la vie d’un personnage historique.
Le récit est assez dense, car les auteurs racontent en 56 pages seulement les années au cours desquelles Lenine va entrer au pouvoir et régner sur la Russie. Le dessin est élégant, mais sombre, avec beaucoup de soin apporté au réalisme des costumes et des événements relatés. L’histoire est assez hachée, quelques épisodes ne font en effet que quelques pages et  comme cela est souvent le cas avec ce type d’ouvrage hybride (la BD se termine par un cahier « historique » de 8 pages). Une fois de plus, la BD contribue de manière attractive et intelligente à révéler à un large public des faits parfois enfouis dans les oubliettes de l’Histoire officielle. Les différents scénaristes associent une très bonne connaissance du sujet à une narration plutôt classique mais au découpage et à la mise en images efficaces et attrayantes.

Note : 8,5/10

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  • Album: 56 pages
  • Editeur : GLENAT (29 mars 2017)
  • Collection : Ils ont fait l’Histoire

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Irena – Tome 02 : Les Justes (22 mars 2017) de Jean-David Morvan et Séverine Tréfouël

Porté par un dessin d’une grande sensibilité, Irena réussit le tour de force de parler sans lourdeur d’un sujet fort, poignant et profondément actuel… Toucher, émouvoir, parler d’hier pour raconter aujourd’hui…

Chronique : Derrière le dessin très doux, enfantin se cache une histoire, bien entendu tiré de faits réels, puisqu’elle raconte le sort des juifs de ghettos de Varsovie.
Histoire abominable donc où les auteurs ne nous cachent pas des scènes atroces, de lentes agonies d’êtres humains affamés, y compris de tortures sur des adolescents ou des enfants. Fort bien écrit ce tome 2 ; cette bande dessiné  retrace de manière brillante la puissance des forces de vie contre celles de la mort, dans un pays ravagé par la guerre, les souffrances et les privations;
Paradoxalement, le dessin doux que l’on pourrait regarder dans un livre pour enfant augmente le choc de ces scènes. Scènes d’autant plus terribles que nous savons qu’elles ont eu lieu.
BD donc à prendre pour son intérêt historique, aucunement pour les loisirs.

Note : 9,5/10
 

  • Album: 72 pages
  • Editeur : GLENAT (22 mars 2017)
  • Collection : Tcho ! L’aventure

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La dynastie Donald Duck, Tome 22 : Noël sur le Mont Ours et autres histoires (1947 / 1948) (15 février 2017) de Carl Barks

Retrouvez l’intégralité de l’ uvre de Carl Barks, l’auteur le plus réputé et le plus talentueux des aventures de Donald. Aventure, mystère et magie sont bien sûr au rendez-vous de ces histoires, mais aussi humour, amitié et cacophonie familiale ! En introduction, chaque volume propose un appareil critique de l’ uvre de l’auteur, et chaque histoire est précédée d’une courte fiche d’identité bibliographique permettant de la replacer dans le contexte de sa première publication.Cette intégrale, prévue en 24 volumes, est idéale pour les admirateurs de Carl Barks et les collectionneurs bibliophiles, vendue A plus de 200 000 exemplaires et dont le tome 4 a eu l’honneur de recevoir le Fauve Patrimoine lors du Festival d’Angoulême 2012. Depuis le tome 19, La Dynastie Donald Duck reprend chronologiquement, de ses débuts, l’ uvre de Carl Barks.

Chronique : Carl Barks est un des plus grands noms de la bande dessinée mondiale. Ses œuvres mettant en scène Donald, Picsou et leur famille ont été distillées anonymement pendant des décennies dans Le Journal de Mickey et Picsou Magazine. Voici le Tome 22 et comme toujours un très bon travail de Glénat pour ses rééditions.  Après les balbutiements de jeunesse, on retrouve enfin les grands moments de Barks, ceux qui me l’ont fait découvrir dans « les belles histoires Walt Disney » des années cinquante. Le fantôme du donjon n’est plus censuré, on voit l’ombre de son squelette sur les murs. On ne connaissais en France que certaines histoires que par les rééditions des années 70/80 qui étaient bien incomplètes ce qui fait plaisir de les trouver enfin en Français. S’il y a des tomes précédents qu’on peut négliger, celui là est vraiment indispensable. Pour les Nostalgiques et les jeunes lecteurs débutants, une incursion dans les prémices du monde de Donald, sa famille et ses amis.

Note : 9,5/10

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  • Album: 384 pages
  • Editeur : GLENAT (15 février 2017)
  • Collection : Disney intégrale

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Carthago Adventures Vol. 5: Zana (22 mars 2017) de Christophe Bec et Aleksa Gajić

Découvrez l’Univers Carthago et explorez les confins du monde connu à la recherche de créatures aussi légendaires que dangereuses. PARUTION EN 5 VOLUMES — SÉRIE TERMINÉE. Une série d’histoires indépendantes, mettant en scène les personnages de la série Carthago. La Terre est loin d’avoir livré tous ses secrets. Découvrez l’Univers Carthago et explorez les confins du monde connu à la recherche de créatures aussi légendaires que dangereuses. A tout instant, le chasseur peut devenir la proie….

Chronique : En 2009, au terme du second tome, la série Carthago subit une pause forcée à cause du désistement de son premier dessinateur. Elle se voit alors dédoublée en 2011 d’un spin-off : « Carthago Adventures ». Ainsi, les lecteurs découvrent le premier tome de ce spin-off qui, succès aidant, appellera plusieurs suites ! et Voici le Tome 05.
Le concept de ce spin-off est le suivant : Nous revenons dans le passé afin de revivre les aventures de deux des personnages principaux de la série-mère : L’aventurier « London Donovan » et « Wolfgang Feiersinger », le fameux milliardaire surnommé le « centenaire des Carpates », toujours à la recherche des créatures mythiques cachées dans les coins les plus reculés de notre monde…
Voici une série qui ne manque pas de potentiel et dont l’idée de départ est plutôt excitante, car nous voilà soudain partis à la recherche de tous les monstres mythiques de notre planète, dans un mode réaliste fleurant bons les récits d’aventures rétro de l’époque des pulps. Le postulat permet ainsi d’établir un sympathique complément par rapport à la série-mère, tout en nous offrant l’opportunité de creuser un peu le passé de deux de ses figures principales.
Le ton est résolument réaliste, avec un suspense et une tension dramatique qui évoluent sans relâchement. Scénario et dessin témoignent d’une recherche documentaire rigoureuse, établie sur des bases historiques et géographiques solides.
Le script en lui-même demeure très classique, mais nous réserve tout de même quelques jolis retournements de situation.
Du début à la fin, Christophe Bec entretient le mystère des origines du « Bigfoot » et l’on referme le livre avec enfin la clef de ce mystère.
Les planches de Aleksa Gajić sont bien travaillées. Un dessin réaliste embelli par une mise en couleur en « peinture directe », qui offre de splendides décor plus vrais que nature et, au final, une belle immersion dans le récit à destination du lecteur.
Un très bon dernier tome qui offre une belle conclusion à ce récit.

Note : 9/10

  • Album: 56 pages
  • Editeur : Les Humanoïdes Associés (22 mars 2017)
  • Collection : HUMANO.HUMANO.

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