Effrontée, immorale et belle jusqu’à l’indécence, Maximilienne Amberville, dite Maxi, découvre à vingt-neuf ans que son aptitude à saisir tous les plaisirs de la vie n’a d’égale que son ardeur au travail. Justement, l’empire de presse fondé par son père adulé, récemment disparu, menace de s’écrouler. Et l’artisan de cette ruine programmée n’est autre que son oncle, Cutter Amberville, l’homme des menées obscures… Maxi décide de se lancer dans une entreprise risquée : faire revivre le premier journal lancé par son père. Elle a tout à apprendre du métier, mais son flair et son enthousiasme lui attirent des soutiens providentiels. Pourtant, sans l’aide de son premier mari, graphiste génial, elle a peu de chances de réussir. Après des années d’amour et d’incompréhension, les amants terribles sauront-ils enfin se parler ? Une fresque sur le pouvoir et la trahison, l’obsession érotique et l’amour vrai.
Critique : Un livre plutôt Jazz-y et retro, nous accompagne tout le long du livre dans l’univers du journalisme. Mais l’auteur à voulu nous faire un Nuance de Grey avec de la passion amoureuse plutôt rafraîchissante dont Maximilienne se voit progressivement prise avec un fond érotique. Les dialogues du livre sont assez simples et un peu moderne à notre époque pour une histoire des années 80, mais qui rend le livre certainement plus dynamique. Dans la même veine qu’une Danielle Steel, cette saga familiale et vraiment attachante est plutôt réussie mais terriblement années 80’s pour ce roman qui est dépasser son époque.
Note : 7/10
- Poche: 520 pages
- Editeur : Archipoche (5 octobre 2016)
- Collection : Roman étranger


