Ma bibliothèque de Contes de fées (1 octobre 2016) de Collectif et Muriel de Grey

Le Petit Chaperon rouge, Les Lutins et le cordonnier, Le Chat botté, Jack et le Haricot magique, Cendrillon : cinq grands classiques spécialement adaptés pour les jeunes enfants et réunis dans un joli coffret. Chaque livre, relié toile avec un ruban marque-pages, est magnifiquement illustré.
Cette édition de luxe réunissant dans un beau coffret cinq petits livres reliés toile avec tranchefile, dorure à la presse et ruban marque-pages, fera un très beau cadeau à transmettre de génération en génération.
Le petit format de chaque livre séduira les enfants.

Critique :De très beaux livre aux couleurs chatoyantes, avec un magnifique coffret son ranger les 5 histoires avec des couvertures en peau de pêche avec une illustration du conte qui est du plus bel effet. Niveau histoire les adaptations sont superbement bien faite ce qui permet de lire aux petits qui ne maîtrisent pas encore la lecture ou ceux qui connaissent déjà de ne pas être dérangé par un vocabulaire trop dur les histoires n’en restent pas moins savoureuses. Les illustrations sont très belles, les couleurs vives et la qualité des dessins nous permettent d’entrer dans l’ambiance de ses contes.
La qualité de la reliure, en fait un beau livre à offrir et le format bibliothèque est parfaite pour ranger, ses petites histoires, ce qui fait d’elles une lecture à piocher au fur et à mesure de nos envies et à lire sans modération.

Note : 10/10

 

  • Editeur : Usborne (1 octobre 2016)
  • Collection : HISTOIRES CONTE

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Beaujolais, la passion en partage (8 septembre 2016) de Georges DUBOEUF et Jean ORIZET

En 1964 – il a 31 ans –, Georges Dubœuf, né dans une famille de vignerons en Mâconnais depuis le XVIIe siècle, crée sa société  » Les vins Georges Dubœuf « . Cinquante ans plus tard, le fondateur a imposé son patronyme sur les tables du monde entier. Ce nom s’identifie aujourd’hui au beaujolais nouveau, qu’il propulse en fanfare, chaque troisième jeudi de novembre, mais aussi aux crus du Beaujolais comme du Mâconnais.

Critique : Plus une présentation des crus Beaujolais Dubœuf et du terroir qu’un guide de la région, cet ouvrage retrace la famille Dubœuf pour qui veut découvrir sommairement et de manière anecdotique, ce vin de la région lyonnaise et de cette famille. On sourit en découvrant les photos ponctuant ce livre, nous renvoyant à un autre temps.
En lisant ce livre, on prend connaissance du de cette famille etr de leurs importance sur le vins et . on découvre la vinification beaujolaise. Les machines à vendanger sont interdites dans cette région car on doit cueillir les grappes entières. La fougue et la passion avec lesquelles Georges DUBOEUF défend terroir et produits beaujolais jointes aux qualités de coeur dont il témoigne en toutes occasions font de lui un authentique humaniste.
Un  beau document à lire

Note : 8/10

 

  • Broché: 184 pages
  • Editeur : Le Cherche Midi (8 septembre 2016)
  • Collection : DOCUMENTS

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Barbapapa – Les vacances (19 mai 2016) de Alice Et Thomas TAYLOR

Les Barbapapa partent en vacances ! Rejoins-les pour une aventure haute en couleurs et pleine de surprises.
Et amuse-toi à reconstituer les quatre grands puzzles offerts !

Critique : Un super livre puzzle sur les Barbapapa cartonné, bien solide pour les enfants , 4 puzzles  avec les personnages du dessin animé.
Ce qui est bien avec ce livre c’est une histoire et que l’enfant peu s’amuser tout en lisant le récit, il construit l’illustration et comprend donc le texte qui lui est dit ce qui fait marcher sa motricité fine.
Un très bon livre puzzle qui tiens toute ses attentes.

Note : 9/10

 

  • Album: 10 pages
  • Editeur : Dragon D’Or (19 mai 2016)
  • Collection : BARBAPAPA
  • Prix : 8,95 euros

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Alice au pays des merveilles et autres histoires – Histoires pour les petits (23 juin 2016)

Alice au pays des merveilles, La Reine des neiges, Le rat des villes et le rat des champs, Casse-noisette : cinq histoires classiques, superbement illustrées, que les tout-petits ne se lasseront pas d’écouter et que les plus grands seront fiers de lire seuls.

Critique : Ce livre nous propose cinq contes connus de tous avec des textes courts, il n’y a pas de détails, juste les grandes lignes de l’histoire ce que l’on apprécié c’est qu’il y en a partout ! Dans différentes polices, en travers, en haut, en bas, au milieu. Grâce aux textes considérablement réduits, l’enfant est captivé pendant un bon laps de temps, ce n’est ni trop court  ni trop long.
Les illustrations attirent beaucoup le regard & la curiosité de l’enfant aussi ! Toutes les scènes sont parfaitement représentées & il peut donc suivre l’histoire sans aucune difficulté. le gros point fort c’est que ce n’est pas le même illustrateur pour toutes les histoires. de ce fait, nous trouvons des dessins avec des styles très variés mais toujours d’excellente qualité !
Le petit plus : un ruban servant de marque-page est très utile pour retrouver rapidement une histoire en particulier.
Un livre parfait pour les petits, pour leur faire découvrir les plus beaux contes qui ont bercé notre enfance, tout en les gardant captivé & en suscitant leur intérêt tant au niveau du graphisme que du texte.

Note : 10/10

 

  • Album: 135 pages
  • Editeur : Usborne (23 juin 2016)
  • Collection : HISTOIRES CONTE

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Retour a Ellinghurst (18 mai 2016) de Clark Clare

1910. Les enfants Melville grandissent dans le château familial d’Ellinghurst : Jessica rêve de haute société londonienne, sa sœur Phyllis d’études à l’université, leur frère Théo, héritier du domaine, éclipse déjà tout le monde autour de lui.Quand la Grande Guerre éclate, chacun tente de trouver sa place dans un monde en pleine mutation. C’est alors qu’Oscar Greenwood fait irruption dans leur vie pour la bouleverser à jamais et révéler des secrets de famille enfouis depuis longtemps. Dans une atmosphère à la Downton Abbey, Clare Clark met en scène de façon subtile et élégante le violent conflit entre tradition et modernité qui frappe la société anglaise d’après-guerre.

Critique : Un magnifique livre d’amour sous fonds historique qui ce lit d’une traite. Le prologue commence à un enterrement en 1920, est carrément déroutant qui entre dans l’action de l’histoire. Le lecteur est tout à fait impossible de déterminer qui sont tous les personnages de ce livre, qui fait écho à la série Downtown Abbey et va se demander comment ses personnages avec des questions de qui meurt et qui finiront avec qui et comment tout cela se répercutera dans tout le livre. Une fois passé les deux premiers chapitres, bien que le rythme s’accélérer rapidement, de sorte que l’on finit sans se rendre compte des 500 pages parcouru.

C’est un livre très dense à décrire par sa complexité de personnage mais l’émotion et les sensations vécues font que le livre nous arroche. L’histoire en elle-même ne porte pas de nombreux rebondissements en son sein, là n’est pas le but. Il s’agit d’un portrait de famille d’un pan de vie où les liens entre les êtres en réalité forgent le ciment de ce récit.

En définitive, un très beau roman envoûtant !

Note : 8,5/10

 

  • Broché: 450 pages
  • Editeur : FLAMMARION (18 mai 2016)
  • Collection : Littérature étrangère

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La Trahison de la reine (26 mai 2016) de Antonia Hodgson

Printemps 1728. On traîne un homme jeune, bien habillé, dans les rues de Londres, jusqu’à la potence de Tyburn. À son passage, la foule le raille, le traitant de meurtrier. Thomas Hawkins essaie de rester calme. Il est innocent. Et il doit le prouver avant que la corde ne lui serre le cou.
Il sait, bien sûr, que tout est de sa faute. Il était si heureux avec Kitty Sparks. Pourquoi s’est-il mis à fréquenter le criminel le plus dangereux de Londres ? Pourquoi avoir offert son aide à Henrietta Howard, la maîtresse du roi, dans sa lutte désespérée face à un mari brutal et impétueux prêt à tout pour servir ses intérêts ? Et, surtout, pourquoi avoir accordé sa confiance à la reine Caroline, cette femme pleine d’esprit, qui se révèle une redoutable calculatrice ?
Elle lui avait promis un pardon royal en échange de ses services. De grâce, pourtant, il n’y aura pas… Thomas Hawkins est conduit au gibet. Trahi. Mais pas seul. Kitty est là. Décidée à le sauver et à faire triompher la vérité.

Critique : Un bon livre historique qui auquel ont a du mal à débuter à cause des métaphores et les descriptions pesantesLe lecteur devra aller jusqu’au chapitre V pour que le livre débute réellement mais c’est aussi à ce moment que le roman prend une force et change son rythme afin qu’il devient intéressant et le personnage dit caricatural prennent de la forme et nous entraine dans ce très bon récit historique.
Ce roman est aussi la suite de « Le sourire du Diable » et comme son précédent livre tout est richement documenté.
Mais au-delà de l’ambiance très bien rendue, dans le contexte et le style de l’écriture, on pourrait être dans la même veine que les récits de Jean-François Parot mais l’ensemble se lit agréablement, nous avons bien affaire à une histoire policière sur fonds historique, bien menée et documentée. Avec son dernier roman on s’attendait dans l’ensemble un peu plus de frissons et d’aventure, et de diableries … Une très bonne lecture auquel on espère un tome 3 dans le futur.

Note : 8/10

 

  • Broché: 416 pages
  • Editeur : XO (26 mai 2016)

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L’argent (20 mai 2016) de Sophie Bellier et Sophie Ledesma

Oscar, un petit écureuil, trouve une pièce de monnaie en allant au marché avec sa maman. Que peut-on bien faire avec de l’argent se demande t-il ? Il va découvrir tout ce à quoi peut servir l’argent.

Critique : Rare livre pour enfants sur ce sujet. Un livre agréable à regarder, très coloré, les dessins sont simples, l’enfant identifie facilement les personnages de l’histoire. Toutes les pages sont plastifiées, une bonne chose car elles sont fines. Ici la notion de l’argent est hypothétique, elle n’est qu’un prétexte pour savoir comment le dépenser intelligemment . L’enfant s’identifie plus facilement si on a le livre qui lui correspond, et ce sont des sujets par souvent faciles à expliquer et avec un livre comme celui-ci c’est plus simple de lui expliquer. Un livre très bien écrit.

Note : 10/10

 

  • Editeur : Fleurus (20 mai 2016)
  • Collection : Ca sert à quoi ?

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La Reine et l’assassin (9 mars 2016) de David Morrell

La guerre de Crimée fait rage. L’incompétence de l’état major britannique provoque la chute du gouvernement en place. L’empire vacille.
C’est dans ce contexte troublé que le sulfureux opiomane Thomas de Quincey et son «équipe» (sa fille et leurs deux acolytes de Scotland Yard) affrontent un tueur d’un genre bien particulier. Ses victimes, toutes des membres de l’aristocratie, sont autant de jalons vers un objectif  ultime : l’assassinat de la reine Victoria elle-même.
Alors que de Quincey et sa fille se démènent pour protéger la reine, ils mettent au jour les secrets tragiques du passé d’un homme rongé par sa soif de vengeance

Critique : Un roman foisonnant, intéressant et très bien documenté que nous le découvrons. L’auteur mêle habilement faits réels et imaginaires. Il place son intrigue dans un contexte ayant existé et qu’il a soigneusement étudié. Les renseignements que l’auteur a rassemblés sont insérés avec intelligence au cœur des événements présentés et on croirait presque lire un roman  historique. L’ambiance de l’époque très bien retranscrite, les lieux, les événements ont la saveur et le vocabulaire du passé. On s’y croirait tant les personnages évoluent dans une atmosphère victorienne de cette période. Ce qui est parfaitement habile, c’est le fait que les situations s’intègrent dans le contexte sans qu’on le sente. L’auteur plante un décor historique  basé sur ce qu’il a glané et qu’il va petit à petit insérer des faits dans ce qu’il présente.mais la grande habilité est de démêler ce qui est de la fiction, du réel

Les personnages sont  en haut en couleurs , Thomas De Quincey est très présent dans les pages. Il apporte un regard plus fantaisiste sur ce qu’il observe et on accès au journal intime d’Emily, sa fille, qui offre un regard exacerbé sur ce qu’elle voit. Ils vont s’allier et aider d’autres protagonistes pour tout faire, ensemble, pour coincer le tueur et empêcher le plus possible de meurtres. C’est une course conte la montre qui s’engage. Il est intéressant de décomposer les raisonnements de Thomas De Quincey. Son esprit, qui pourrait être embrumé par la drogue, est relativement vif et ses déductions valent le détour. Avec lui, les faits s’enchaînent en suivant une logique qui lui est propre et qui paraît évidente lorsqu’il la présente.

C’est un roman  très surprenant où l’écriture complète et raffinée fait que  le style est de qualité et le contenu très complet.

Note : 9,5/10

 

  • Broché: 384 pages
  • Editeur : Marabout (9 mars 2016)
  • Collection : Marabooks

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Dark Vador (15 avril 2016) de Jacques Beaumont, Sabine Boccador

Dark Vador est l’un des principaux personnages de la saga Star War. C’est aussi l’un des plus complexes, partagé entre le bien et le mal. Grâce à cette grande imagerie l’enfant va découvrir le parcours d’Anakin Skywalker.

Critique : La collection imaginerie de chez Fleurus est une valeur sûre ! Chaque double page est consacrée à un protagoniste; ici le plus connu: Dark Vador et détaille son histoire, ses capacités, ses armes, ses principales caractéristiques et ses apparitions.
Les textes courts et précis vont à l’essentiel, tout en s’appuyant sur une mise en page colorée et de très belles photos tirées des différents films.
Plusieurs niveaux de lecture sont possibles ; les albums s’adressent donc à un large public.
Pas de vignettes découpables comme tous les autres titres de cette collection, MAIS : un poster à accrocher bien vite dans sa chambre -ou ailleurs !!!!
Un ouvrage complets et agréables à feuilleter qui séduiront autant les spécialistes de l’incroyable saga créée par George Lucas, à partir de 1977, que les novices !
Un guide incontournables pour découvrir le méchant le plus connue de histoire du cinéma. Pour tout fan de la saga, un livre à posséder dans sa bibliothèque.

Note : 10/10

 

  • Album: 32 pages
  • Editeur : FLEURUS (15 avril 2016)
  • Collection : Grande imagerie des super-héros

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Traqués sur la lande de Jean-Christophe Tixier

Août 1934, Belle-Île-en-Mer. Au bagne d’adolescents, un surveillant frappe trop fort… L’émeute éclate. Une centaine de garçons réussissent à fuir et gagnent la lande. Gab les yeux gris, le Râleur et quelques autres tentent de trouver des vêtements et un abri sûr pour échapper à la traque. Mais où chercher de l’aide ? Bientôt Gab croise la route d’Aël, qui connaît le coin comme sa poche et tente aussi d’échapper au destin que l’on a tracé pour elle…

Critique : Un beau roman sur belleÎle à Mer sous fond de guerre commene par une scène d’ouverture haletante où la rébellion commence au bagne où un de nos personnages arrive à réussir à s’enfuir avec certains de ses amis. Lesquels parviendront à s’échapper de l’île ? Un livre de course-poursuite qui fonctionne et ce lit d’une traite avec pour paysage Belle-Île avec son atmosphère si particulière. L’écriture s’adapte bien au récit et il se passe des aventures dans chaque chapitre ce qui nous fait face au destin des héros: Gab et Ael, auquel on s’attache rapidement et de nous représenter tous ceux qui étaient coincés à Belle-Île à cette époque-là, prisonniers d’une vie qui ne leur convenait pas. Le livre ce fini par une fin que l’on ne s’y attend pas, l’auteur nous surprend de plus belle. Bien dosée et joliment écrite elle diffère ce qui s’est réellement passé. Un très beau livre à lire.

Note : 9,5/10

 

  • Broché: 192 pages
  • Editeur : Rageot Editeur (16 mars 2016)
  • Collection : Hors collection

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