Famille à l’essai.com, Tome 1 : L’oncle Joseph (7 octobre 2016) de Zelda Zonk et Vincent Cordonnier

Coquelicot Ploum, dite Coki, a perdu tragiquement ses parents dans un accident d’avion. Pour unique famille, elle n’a plus qu’un vieil oncle, Joseph, inconnu au bataillon. Après un sinistre séjour dans un foyer d’accueil, la juge qui suit son dossier décide de la placer chez Joseph. Passionné par son travail d’ethnologue, le bonhomme, vieux célibataire bougon, n’a aucune idée de la façon de s’occuper de sa petite-nièce… La cohabitation s’annonce compliquée ! Pour avancer dans la vie, Coki peut seulement compter sur les préceptes de son aïeul, le colonel Isidore Ploum ; son doudou-chaussette Pépita, qui lui apporte du réconfort ; et ses échanges sur internet avec sa meilleure amie, Bernadette, partie vivre à Hong Kong. Malgré l’amélioration de sa relation avec Joseph, il est finalement décidé d’un commun accord que Coki ne peut pas rester avec lui. Il restera cependant son tuteur moral. La juge doit maintenant trouver où placer Coki. La petite fille lui suggère alors de suivre les conseils de son amie Bernadette : elle n’a qu’à aller sur le site famillealessai.com ! Tout comme les lecteurs, invités à choisir eux-mêmes la suite de l’histoire

Critique : Voici un livre destiné aux enfants mais que les parents peuvent également aimer tant l’histoire est touchante et bien écrite. On suit les aventure de Coki qui n’a pas une vie facile mais la grande force est que Zelda Zonk et Vincent Cordonnier  savent nous faire passer du rire aux larmes. .Le récit n’hésite pas non plus à parler d’énormément de sujets délicats comme le fait d’être orphelin, la dépression, la conscience de soi, les regrets. Cela en fait un roman réellement excellent.
Les personnages sont réellement agréables, ils ont chacun des qualités et des défauts qui les rendent naturels.  On se laisse porter par le récit et les différents protagonistes. le dénouement clarifie réellement les différentes situations et donne envie d’en savoir plus et de continuer avec les tomes suivants.

Note : 9/10

  • Broché: 160 pages
  • Tranche d’âges: 9 – 12 années
  • Editeur : Magnard Jeunesse (7 octobre 2016)
  • Collection : ROMANS PERLES

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Encore faut-il rester vivants (7 octobre 2016) de Anne Ferrier

Dans un monde dévasté par une éruption solaire, une étrange épidémie se répand parmi les décombres, interdisant le moindre contact entre les hommes. Julia, Shawn et Mouette, qui n’avaient jusque-là rien en commun, tentent de survivre ensemble. Ils doivent rester sur leurs gardes coûte que coûte pour éviter les mauvaises rencontres : en particulier les survivants devenus agressifs depuis qu’ils ont été contaminés par un mystérieux virus. Très vite, Julia, Shawn et Mouette décident de fuir loin des villes. Mais la menace est là, présente partout… Leur cauchemar ne s’arrêtera-t-il donc jamais ?

Critique: Un très bon livre post-apocalyptique où  nous avons affaire à un trio d’adolescent piégés dans la ville après une éruption solaire. Par chance, ils n’étaient pas dehors et n’ont pas directement était touchés par les radiations. Ceux qui n’ont malheureusement pas eu cette chance sont morts sur le coup ou transformés en zombies. On va donc les suivre durant tout le livre dans leur périple.
Avec un résumer on à peur d’avoir un mix entre 28 jours et Walking Dead mais l’auteur est bien intelligent et va nous faire entrer dans son univers sans temps mort avec beaucoup d’action. On est face à un turn over des plus appréciable ou chacun des enfants ne peut se toucher.On à donc de beau moment de confiance entre chacun pour avoir de la complicité dans les épreuves. Ils doivent s’adapter à ce qui leurs arrivent, on les aime tant qu’il sont avec nous, Anne Ferrier nous fait vibrer avec une  fin originale dans son exécution. On ne s’attend pas forcément à cela, mais on en appréciera que plus la tournure. On vous recommande cette plongée glaçante dans un monde qui pourrait être celui de demain.

Note : 9/10

  • Broché: 252 pages
  • Editeur : Magnard Jeunesse (7 octobre 2016)
  • Collection : M les romans

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Les cartographes: Livre 2 (26 octobre 2016) de S.E. Grove et Aurélien Police

1892. Un an s’est écoulé depuis que Sophia et Theo sont revenus à Boston. Après des mois de recherches, Sophia découvre que la clé pour retrouver ses parents se trouve dans un Âge lointain, en Europe, sous la forme d’un journal laissé par sa mère. La jeune fille part donc à l’aventure à travers les océans, guidée par une mystérieuse carte mémorielle de cet Âge. Mais à la dernière minute, Theo ne peut l’accompagner. Entre intrigues politiques et menace de guerre, il va devoir enquêter pour prouver l’innocence de Shadrack, l’oncle de Sophia, accusé de meurtre.

Critique : Voici la suite des Les cartographes qui est une série de fantasy jeunesse qui nous propose un univers original, produit d’un grand bouleversement inexpliqué. L’Est des Etats-Unis vivent toujours à la fin du dix-neuvième siècle, tandis que le Canada est retourné à la Préhistoire et que plusieurs âges se mélangent au Mexique. Du point de vue dramatique, les possibilités sont infinies. Dans cette suite on entre directement dans le sujet avec les différentes sortes de cartes, inscrites sur d’autres supports que du papier, s’activant à l’aide de certains éléments et pouvant être superposées pour obtenir une vision complète d’un endroit à un moment précis. Dans cette suite et l’histoire reprenant pas mal de poncifs du premier tome mais malgré ses 576 pages , l’auteur nous tient en haleine grâce à la richesse du monde et à un nouvel  antagoniste très intéressant, tant par sa nature tragique que son objectif finalement très compréhensible. Dans ce Tome Sophie est plus passive ce qui est un peu dommage mais qui laisse sa place à Théo qui lui deviens de plus en plus intéressant au fils des pages.On à hâte de lire un tome 3 de cette très bonne suite.

Note : 9/10

  • Broché: 576 pages
  • Editeur : Nathan (6 octobre 2016)
  • Collection : GRAND FORMAT DI

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Rouge bonbon (6 octobre 2016) de Cathy Cassidy et Anne Guitton

Lorsque Scarlett, 12 ans, est à nouveau exclue d’un collège, sa mère l’envoie vivre chez son père, en pleine campagne irlandaise.
Scarlett est folle de rage. Depuis que son père a quitté sa mère, elle refuse de lui parler. Alors vivre avec lui ! Sans compter qu’elle devra aussi cohabiter avec une belle-mère et une demi-sœur…
Scarlett va-t-elle mourir d’ennui et tout détruire autour d’elle, comme elle sait si bien le faire ? Peut-être que Kian, un mystérieux garçon, pourra l’aider à trouver la réponse…

Critique : Un roman pour ados qui ce lit avec grand plaisir avec cette histoire de fille rebelle qu’est Scarlett aux cheveux rouge et qui ne fait que des bêtises à cause du divorce de ses parents. Étant aller trop loin sa mère l’envoie en Irlande avec sa belle-famille.
On passe un agréable moment en compagnie de cette famille recomposée. Parfait pour décompresser, on s’attache à la belle-mère qu’est Claire et à sa fille Holly fan de Scarlett et prête à faire tout pour lui ressembler.
Les filles vont être touchées par Scrarlett qui, avec ses petits mensonges tentés de masquer sa souffrance, puis par Kian, qui derrière son sourire et son cheval se cache un garçon sensible et finalement très seul.
On se laisse porter sans mal par cette touchante histoire qui se savoure avec plaisir en cette rentrée.
Une bonne écriture est une histoire bien écrite pour ce roman de Cathy Cassidy.

Note : 9/10

 

  • Broché: 240 pages
  • Editeur : Nathan (6 octobre 2016)
  • Collection : GRAND FORMAT DI

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Le mariage de Ya foufou (26 mai 2016) de BOUTSINDI PATRICK SERGE

Dans un village du Congo-Brazzaville vivait Ya foufou. Ce jour-là, Ya foufou était fou de joie, car il allait bientôt se marier. Il alla en informer tous ses camarades, un par un, et les invita à l accompagner lors de la remise de la dot, qui concrétise le mariage coutumier. La dot demandée était excessive, comment Ya foufou allait-il pouvoir la payer ? Ma-Tchétché le Lièvre pense pouvoir l aider, mais est-il vraiment sincère ?

Critique : Un livre jeunesse sur un auteur du congo et c’est une belle decouverte  sur la suggestion d’aller consulter un « Nganga » (féticheur) qui va jeter un mauvais sort à la femme de Ya Foufou pour qu’elle ne puisse pas enfanter durant deux ou trois ans , et qu’il réclame la moitié de la dot à la belle famille, tout en restant marié avec sa femme va aboutir ?  L’auteur nous présente comment ce déroule un mariage coutumier dans le peuple Kongo.. Un ouvrage très intéressant.

Note : 8,5/10

 

  • Broché: 62 pages
  • Editeur : Editions L’Harmattan (26 mai 2016)
  • Collection : Jeunesse
  • Prix : 12,50 euros

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Déserteur (17 août 2016) de Boris Bergmann

Qui se cache derrière le « je » de ce journal intime aux allures de fable postmoderne, nous l’ignorons. Il nous ouvre néanmoins les yeux jusqu’à en frôler la brûlure. « Je » est avant tout un jeune homme en quête d’engagement et d’action mais incertain quant à son ancrage dans un monde informe. Génie de l’informatique, il met son talent au service d’une pensée radicale, utilisant son clavier comme arme pour hacker les actions de l’État et de ses suppôts. Une déconvenue amoureuse va cependant le faire basculer idéologiquement : pour contrarier l’être aimé, il s’engage dans l’armée française. Son savoir-faire plaît et il se voit aussitôt confier la programmation des drones qui survolent nos conflits, les ratissant « cliniquement ». Après avoir passé quelque temps derrière un écran parisien à manier à distance les armes du futur, il est envoyé en mission sur le terrain. Le voilà alors propulsé vers une base militaire du Moyen-Orient, aux côtés de jeunes soldats dont la ferveur se fissure vite face à l’inaction de leur fonction. Les drones mènent désormais la guerre à leur place ; la chair à canon n’a plus lieu d’être. Ils errent dans l’ennui en espérant la blessure, alors que notre « je », ostracisé, pianote à l’infini la défense d’un pays qui déshumanise le combat pour mieux tuer.

Critique : Boris Bergmann a un style et sait écrire, c’est indéniable.En nous plongeant dans les entrailles d’une jeunesse aux causes floutées, Boris Bergmann nous livre un roman aussi dompté qu’agile. Une lecture ardente servie par un style vif et ingénieux qui nous transporte dans une fascinante expérience de terrain où le sol ne fait que se dérober. Déserteur signe le retour fracassant d’un jeune prodige, et l’arrivée d’un grand roman dessinant les nouveaux contours de l’engagement et de la résistance. Ainsi, les points positifs sont nombreux, c’est un sans faute concernant le scénario. Pour ce qui est de l’écriture, il n’y a aucune lourdeur, le style de Bergmann reste simple, rythmé et efficace. Aucun de ses personnages n’est stéréotypé, chacun a ses ambiguïtés, là aussi le travail est époustouflant.Quant aux décors et aux descriptions, on n’est pas déçu, on visualise les scènes.Mais ce n’est pas tout, impossible de révéler un des gros rebondissements de l’histoire, mais il nous fait basculer dans une autre dimension, tel un triller paranoïaque, il nous fait vibrer et nous questionner encore plus.Le livre est un vrai turn-over, on le dévore d’une traite, pour assécher cette soif de savoir qui nous conduit vers la fin.Un super roman à lire, où on ne s’ennuie jamais.

 Note : 9/10

  • Broché: 278 pages
  • Editeur : Calmann-Lévy (17 août 2016)
  • Collection : Littérature Française
  • Prix : 17 euros

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Cet été-là (19 mai 2016) de Sarah Ockler

D’après Frankie, la meilleure amie d’Anna, rien ne vaut les plages de Californie pour rencontrer des garçons. Et si elles en rencontrent au moins un par jour, il y a toutes les chances pour qu’Anna vive (enfin !) une première histoire d’amour.
Mais Anna, elle, n’a aucune envie de passer l’été à flirter en bikini… Parce qu’en réalité, elle a DÉJÀ vécu une première (et secrète) histoire d’amour : avec le grand frère de Frankie, un an plus tôt… juste avant qu’il ne meure brutalement, laissant sa famille et Anna anéantis.

Critique : Ce roman jeunesse mélange des thèmes très légers de l’adolescence comme les amours de vacances ou l’amitié avec des thèmes beaucoup plus fort comme le deuil qui est le thème principal. C’est une manière sympa d’aborder les sujets délicats de la vie sans tomber dans le trop triste.Si toutes les pages sont empreintes de la tristesse que ressent Anna, tout le roman n’est pas triste non plus. Mais il résume parfaitement bien le deuil. Peut-être oublier ? A-t-on le droit d’être de nouveau heureux ? Est-ce une trahison de penser à un autre alors que Matt n’est plus là ? Et s’il était là ? Tout est résumé en ces quelques mots « Et s’il était là ? ». Que dirait-il ? Que ferait-il ?
La mort de Matt a anéanti sa famille entière. Ses parents ne savent plus que faire et sa petite soeur, Frankie, s’est créée une carapace de fille sur-maquillée, sautant au cou de garçons qu’elle ne connait pas. Si on ressent parfaitement bien la peine de Frankie et sa volonté de se démarquer pour que ses parents se rappellent de son existence, c’est aussi et surtout à la peine d’Anna que l’on compatis.
Car Anna est celle qui se tait. Celle qui, si elle est triste, n’a pas le droit d’être aussi triste que Frankie qui a perdu un frère. Celle qui se doit d’être forte pour aider sa meilleure amie à surmonter sa peine. Celle qui doit cacher que, encore plus que son « meilleur ami sans e », c’est son amoureux qu’elle a perdu. Son amoureux qui ne l’a jamais été officiellement et qui ne le sera jamais. Son amoureux secret qui a emporté la vérité avec lui.C’est donc un voyage aussi intérieur pour la jeune héroïne qui doit apprendre à écouter son corps et son cœur.

Un livre Intéressant avec des passages émouvants.

Note : 8,5/10

 

  • Broché: 352 pages
  • Editeur : Nathan (19 mai 2016)
  • Collection : GRAND FORMAT DI
  • Prix : 16,95 euros

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Alice au pays des merveilles et autres histoires – Histoires pour les petits (23 juin 2016)

Alice au pays des merveilles, La Reine des neiges, Le rat des villes et le rat des champs, Casse-noisette : cinq histoires classiques, superbement illustrées, que les tout-petits ne se lasseront pas d’écouter et que les plus grands seront fiers de lire seuls.

Critique : Ce livre nous propose cinq contes connus de tous avec des textes courts, il n’y a pas de détails, juste les grandes lignes de l’histoire ce que l’on apprécié c’est qu’il y en a partout ! Dans différentes polices, en travers, en haut, en bas, au milieu. Grâce aux textes considérablement réduits, l’enfant est captivé pendant un bon laps de temps, ce n’est ni trop court  ni trop long.
Les illustrations attirent beaucoup le regard & la curiosité de l’enfant aussi ! Toutes les scènes sont parfaitement représentées & il peut donc suivre l’histoire sans aucune difficulté. le gros point fort c’est que ce n’est pas le même illustrateur pour toutes les histoires. de ce fait, nous trouvons des dessins avec des styles très variés mais toujours d’excellente qualité !
Le petit plus : un ruban servant de marque-page est très utile pour retrouver rapidement une histoire en particulier.
Un livre parfait pour les petits, pour leur faire découvrir les plus beaux contes qui ont bercé notre enfance, tout en les gardant captivé & en suscitant leur intérêt tant au niveau du graphisme que du texte.

Note : 10/10

 

  • Album: 135 pages
  • Editeur : Usborne (23 juin 2016)
  • Collection : HISTOIRES CONTE

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Pinocchio et autres histoires – Histoires pour les petits (23 juin 2016)

Pinocchio, Sous la terre, Au château, Les habits de l’empereur , Le petit bonhomme de pain d’épice : cinq histoires, superbement illustrées, que les tout-petits ne se lasseront pas d’écouter et que les plus grands seront fiers de lire seuls.

Critique : Les éditions Usborne présente  5 contes classiques que tout le monde connait et aujourd’hui ils reviennent dans un livre adapté pour les plus petits. le texte est très court ce qui permet aux enfants de bien suivre jusqu’au bout car pas facile quand on est petit d’écouter une longue histoire. Celles-ci sont parfaites pour le soir par exemple. Il y a un illustrateur pour chaque histoire, ce qui fait que niveau illustrations c’est très variés. Elles sont toutes très jolies et il y a un style bien particulier dans chaque histoire.
Le petit plus comme dans la plupart des livres des éditions Usborne, il y a un marque-page intégré. C’est très pratique !
Alors si vous avez envie de faire découvrir ces célèbres contes à vos petits, n’hésitez pas !

Note : 10/10

 

  • Album: 135 pages
  • Editeur : Usborne (23 juin 2016)
  • Collection : HISTOIRES CONTE

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Ast : Tome 3 (4 mai 2016) de CED et Jean-Philippe Morin

Dans ce tome 3, nous retrouvons notre minuscule et redouté Apprenti Seigneur des Ténèbres (A. S. T.) qui, ayant vaincu l’infââââme Stéaras (voir tome 2), ayant jeté le roi dans les oubliettes, est enfin monté sur le trône ! Il est désormais le seul, unique et incontesté Maître des Ténèbres. D’ailleurs, tout irait pour le mieux, si ses sujets ne le trouvaient pas… si mignon ? Quoi ? Mignon ??!! Lui, A. S. T. ? Déprimant. Il trouve alors LA solution, et après avoir rendu sa couronne au roi, il part à la recherche d’une relique qui devrait l’imposer définitivement aux yeux de tous comme le plus terrible tyran de tous les temps. Accompagné de ses fidèles compagnons, Gonzague gobelin bossu et stupide (quoique), de Slurp monstre aussi sympathique que doux, et de la fille du roi (son amie), le voyage ne sera pas de tout repos et surtout, la fin de l’album réserve une conclusion absolument renversante…

Critique : Affublé d’une paire de compagnons aussi débiles qu’il est malchanceux, les débuts difficiles d’un petit bonhomme qui dans ce tome est désormais Seigneur des Ténèbres, Maître du Mal total et absolu. Chaque protagoniste apporte son caractère, ses manies, et sa touche désopilante à cette conquête ! Les péripéties que ces antihéros malchanceux vous offriront d’irrésistiblement moments marquants et parfois d’actualité.
Les illustrations en couleurs sont exceptionnelles sur les expressions des personnages, du fait du trait caricatural, ce qui nous a valu des crises de fous rires !
Si vous souhaitez conquérir le monde, intéressez-vous d’abord à ce trio mal assorti qui vous montrera ce qu’il vous attend…
Vous avez soif de mésaventures… euh, d’aventures très marrantes avec des personnalités complètement décalées, cette bande dessinée est pour vous !

Note : 9/10

 

  • Editeur : Editions Sarbacane (4 mai 2016)
  • Collection : BD JEUNESSE

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