Test Blu ray : Fast & Furious 8 (16 août 2017) de F. Gary Gray avec Vin Diesel, Dwayne Johnson

Maintenant que Dom et Letty sont en lune de miel, que Brian et Mia se sont rangés et que le reste de l’équipe a été disculpé, la bande de globetrotteurs retrouve un semblant de vie normale. Mais quand une mystérieuse femme entraîne Dom dans le monde de la criminalité, ce dernier ne pourra éviter de trahir ses proches qui vont faire face à des épreuves qu’ils n’avaient jamais rencontrées jusqu’alors.

Film: Après le décès tragique de Paul Walker lors du tournage de l’épisode 7, on se demandait bien comment la saga allait rebondir. Et puis on nous a annoncé une nouvelle (et dernière ?) trilogie avec l’épisode 8 de la saga la plus rapide du cinéma.  Alors certes, le scénario est assez prévisible (en même temps ça n’a jamais été la grande force des Fast and Furious) mais c’est toujours aussi fun et divertissant de suivre Toretto et sa bande. Dans cet opus, Toretto, poussé par la sublime et énigmatique Cypher, se retourne contre sa famille afin de commettre des délits pour le compte de cette dernière. Bien sûr, on comprendra le pourquoi du comment durant le film. La réalisation est vraiment propre. F. Gary Gray assure une mise en scène fluide et lisible. De plus, les scènes d’action sont vraiment excellentes et celles de New York et de la base marine sont assez jouissives. Côté acteurs, ces derniers connaissent bien leur rôles depuis le temps donc aucun problème de ce côté là. Avec une dose d’humour entre le personnage de Dwayne Johnson et celui de Jason Statham (bien mieux que l’humour un peu gamin de Tyrese Gibson qui devient un peu lourd à la longue) et on sent malgré tout que l’esprit de Paul Walker/Brian O’Conner plane sur ce film. Enfin, et c’est le gros point fort du film, Charlize Theron est juste excellente en méchante vraiment méchante. Elle a un charisme hors du commun et est indéniablement la méchante la plus badass de la saga. Fast and Furious 8 est un excellent divertissement dans la droite lignée des opus précédents. Si vous êtes fans de la saga vous ne pourrez qu’apprécier ce huitième film.

Note : 8/10

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Test Blu ray:

Vidéo: Grâce à quelques modifications sous le capot, la huitième édition de la franchise de grande envergure gronde dans les rues avec un incroyable magnétisme. Tourné avec un trio de caméras allant de la qualité de résolution le transfert fraîchement découpé apparaît légèrement plus détaillé montrant des lignes de rasoir dans les différentes voitures, les bâtiments de plusieurs lieux et l’intérieur de L’avion de chiffrement. Le lettrage dans les panneaux, les fenêtres et les voitures est également un peu plus lisible et clair, même si la caméra s’améliore, et le plus petit objet de la distance est clairement visible en tout temps. Des téléspectateurs plus astucieux peuvent même distinguer l’imperfection la plus négligeable dans les véhicules, et les fragments de collisions et d’épave raide restent extraordinairement détaillés au cours des séquences les plus vulgaires de l’action. Les visages du casting sont également plus révélateurs, exposant les plus petits pores, les taches et les perles individuelles de sueur tout en conservant des teintes saines et réalistes pour la plupart. La palette globale comprend un peu plus de pop et d’intensité, en particulier les rouges et les bleus des différents véhicules. Les scènes à la Havane et à New York sont des exemples fantastiques pour montrer les différences entre les deux formats. L’écran s’allume avec un kaléidoscope de couleurs qui dynamise l’action et anime le ridicule des cascades à un autre niveau d’absurdité et d’excitation. Les nuances secondaires ont également une forte amélioration, rendant ces scènes à La Havane un peu plus colorées et flamboyantes en raison de la diversité des pastels dans les vêtements et certains bâtiments.  Les cristaux de glace dans la neige de l’Arctique russe sont un peu plus fort , et les nuages ​​moelleux dans le ciel ont plus de détails et de réalisme. Les noirs sont également légèrement plus riches avec des niveaux de luminosité qui sont absolument exceptionnels: un saut massif avec des détails plus fins dans les ombres les plus sombres restent clairement visibles en tout temps, offrant à l’image une qualité tridimensionnelle appréciable et un bel attrait cinématographique.

Son: Les moteurs rugissent avec une fureur intimidante et les voitures se déplacent dans toutes les directions avec la même bande de son très satisfaisante assurant de donner à votre système sonore une excellente séance d’entraînement. À partir de la séquence de course à la traîne d’ouverture, les auditeurs sont accueillis dans ce monde de voitures musculaires, de double croisements et de hors-la-guerre d’espionnage alors que Dom courses dans les rues de La Havane dans un incendie. Avec un équilibre et une séparation excellents, les véhicules circulent de manière fluide entre les trois canaux avant, les bruits se déplacent de manière convaincante en arrière-plan et les moteurs échoient sur l’écran entier. Une grande partie de cette activité se propage également dans les hauteurs du front, générant une muraille de son de la moitié du dôme. Les environnements et les haut-parleurs arrière sont également souvent employés, élargissant la folie sur le haut dans toute la pièce et plongeant les spectateurs juste au milieu de l’action. Parfois, les voitures volent dans l’air et un hélicoptère vers la fin circule un Dom piégé, en utilisant les frais généraux avec une excellente efficacité. Grâce à tout le carnage de véhicules et au chaos destructeur, le milieu de gamme reste cristallin avec une excellente distinction et une clarté entre les différents bruits, fournissant une précision étonnante. Chaque conversation et toute interaction sont discrètes et inconnues, jamais submergées par l’intensité auditive du reste de l’action.

Bonus :

Commentaires audio : Le réalisateur F. Gary Gray joue seul sur cette lecture de commentaire décemment intéressante où le cinéaste répond à plusieurs des défis, son processus de réflexion lors de la prise de vue d’une action plus folle et partage ses pensées sur la motivation du personnage qui, par moments, vient plus comme une narration.

L’Esprit cubain (HD, 8 min): après une brève introduction de Michelle Rodriguez, la pièce emmène les téléspectateurs à la tournée de La Havane, avec des interviews de casting et d’équipe et des tonnes de séquences BTS de certaines caméra.

Dans la famille (HD): Quatre-partie caractéristique en discutant les personnages, les motivations et les points d’intrigue spécifiques.

 

Culture automobile (HD): pièce en trois parties sur les différentes voitures et leur importance pour les personnages et l’intrigue.

 

Tout sur les cascades (HD): Une autre caractéristique en trois parties qui regarde les effets pratiques et le travail de cascade.

 

Scènes de combat étendues (HD, 5 min): le titre suggère, mais se concentre sur deux scènes spécifiques.

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  • Acteurs : Vin Diesel, Jason Statham, Elsa Pataky, Kristofer Hivju, Scott Eastwood
  • Réalisateurs : F. Gary Gray
  • Audio : Français (DTS 5.1), Espagnol (DTS 5.1), Arabe, Grec, Anglais, Norvégien, Néerlandais, Islandais, Finnois, Suédois, Danois
  • Sous-titres : Espagnol, Islandais, Danois, Portugais, Arabe, Norvégien, Grec, Néerlandais, Français, Suédois, Finnois
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 2.40:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Universal Pictures France
  • Date de sortie du DVD : 16 août 2017
  • Durée : 135 minutes

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Test DVD : Ghost In The Shell (31 juillet 2017) de Rupert Sanders avec Scarlett Johansson, Pilou Asbæk

Le Major est une humaine unique en son genre : sauvée d’un terrible accident et dotée de capacités cybernétiques, elle est devenue un agent à la tête d’une unité d’élite, chargée de mettre les plus dangereux criminels hors d’état de nuire. Face à une menace d’un nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits humains, le Major est la seule capable de l’anéantir. Alors qu’elle s’apprête à affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti. Rien ne l’arrêtera dans sa recherche de vérité sur son passé.

Chronique : Ghost in the shell est une agréable surprise. Pour commencer sur le défaut du film, le scénario est assez classique. Pourtant, la simplicité de l’histoire lui permet aussi une certaine cohérence et laisse le temps au film de camper des personnages émouvants : celui du docteur joué par Juliette Binoche, bien que secondaire, se voit offrir une belle place par la mise en scène. Mais le vrai point fort du film, c’est le fantastique travail visuel. Pour la première fois, la 3D est  justifiée d’un point de vue cinématigraphique : au-delà du gadget immersif, elle se met ici au service d’une ambition artistique. Chaque plan, littéralement, semble façonné avec attention, comme les plongées dans les abimes d’une sorte de Tokyo futuriste, jouant sur les perspectives et les textures, ou encore la délicatesse d’un visage humain. Le visuel évoque aussi quelques belles métaphores, notamment l’image récurrente de cet acharnement du personnage principal à « briser la coquille », en pénétrant dans l’esprit d’un autre ou en se déchirant pour ouvrir le toit d’une machine de guerre.

Note : 9/10

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Test DVD :

Image : Paramont fait un super travail sur ce dvd avec des détails supérieurs, des couleurs vives, un fort contraste et une absence de bruit, des bandes Ou d’autres artefacts. Des portions substantielles se jouent dans des intérieurs sombres, non seulement dans la base, mais aussi les d’extérieurs. Alors que le manque d’illumination dans de telles scènes peut provoquer des plaintes erronées d’écrasement, un examen minutieux révèle que l’absence de détail dans certaines parties du cadre est intentionnelle. L’éclairage révèle les éléments essentiels du design visuel d’une scène, en utilisant la noirceur et l’ombre à la fois pour diriger l’oeil et pour créer de l’atmosphère. La séquence de bagarre final face à la machine comporte de la lumière et des tons riches en terre.

Son : Le mixage audio 5.1  sans perte, continue de profiter pleinement de la matrice surround, ce qui place l’environnement et les effets spécifiques dans les canaux arrière pour une immersion complète dans les scènes d’actions la gamme dynamique est large, l’extension des graves est profonde et le dialogue est clairement rendu.

Bonus : Deux bonus avec un making off qui nous parle du film avec son réalisateur de sa création, ses ambitions, les inspirations et les différents rôles des personnages.

  • Acteurs : Scarlett Johansson, Pilou Asbaek, Takeshi Kitano, Juliette Binoche, Michael Pitt
  • Réalisateurs : Rupert Sanders
  • Format : PAL
  • Audio : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
  • Audio description : Anglais
  • Sous-titres : Finnois, Norvégien, Danois, Suédois, Néerlandais, Français
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Région 2
  • Rapport de forme : 1.78:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Paramount Pictures
  • Date de sortie du DVD : 31 juillet 2017
  • Durée : 102 minutes

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Test Blu ray : Fences ( 27 juin 2017) de Denzel Washington avec Denzel Washington, Viola Davis

L’histoire bouleversante d’une famille où chacun lutte pour exister et être fidèle à ses rêves, dans une Amérique en pleine évolution. Troy Maxson aspirait à devenir sportif professionnel mais il a dû renoncer et se résigner à devenir employé municipal pour faire vivre sa femme et son fils. Son rêve déchu continue à le ronger de l’intérieur et l’équilibre fragile de sa famille va être mis en péril par un choix lourd de conséquences…

Chronique Film: Adapté d’une pièce de théâtre, Fences est un long-métrage porté sur un sujet important, même inspirant et des interprétations superbement dirigés par le comédien et vétéran Denzel Washington. Celui-ci tient des rôles majeurs au cinéma depuis longtemps, très longtemps et prouve avec ce film l’immensité de son talent. Il est l’âme de la production ! Il avait d’ailleurs joué sur scène en 2010 au côté de l’actrice Viola Davis en incarnant les mêmes rôles. Denzel incarne un père insatisfait en créant de multiples conflits envers sa famille. Un être à la fois charismatique et violent qu’on suit au fil des minutes et des heures. Le parfait antihéros ! Tout simplement, épatant dans sa prestation d’acteur. En tant que réalisateur, la mise en scène se veut conventionnelle pour cause de quelques longueurs. Ce qui compte, ce sont les échanges verbeux entre les interprètes – mention spéciale à Viola Davis qui est aussi incroyable dans la peau de cette femme dévouée pour satisfaire les siens – pas étonnant qu’elle a reçu le prix de la meilleure actrice dans un second rôle lors des Golden Globes 2017. Dans Fences, il est question de racisme et de problèmes sociaux, ces thèmes qui sont amenés avec ces métaphores. Le film ne manque pas d’émotion ! C’est poignant et les scènes sont de plus en plus intenses ; c’est une oeuvre qui cherche à provoquer le public sur des sujets qui touchent, sur la vie de tous les jours

Note : 9/10

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Test Blu ray :

Image : L’image a été tournée sur le film plutôt que sur le numérique, et la présentation de Paramount offre une richesse de texture qui manque souvent à plusieurs reprises numériques. Il y a un sentiment d’ordre organique, réel, vécu dans tout le film, en particulier dans l’arrière-cour. La brique rouge de la maison, les anciennes chaises, les planches de bois, les feuilles et toutes sortes de cotes et de fins donnent des détails incroyables qui ne révèlent pas simplement des éléments mais plutôt invitent et attirent le public dans l’emplacement, critiques pour vraiment apprécier comment l’environnement forme le film. Les gros plans faciles sont également complexes. Les pores, les rides, les cheveux, même un peu de maquillage de Rosie sont très bien définis au niveau intime tout en restant ferme à distance moyenne. Le film prend une palette très neutre et très agréable. Jamais trop punchy ou terne. Les niveaux noirs sont bien profonds, les plus visibles lorsque Troy crie au ciel nocturne pluvieux dans l’un des moments clés du film. Les tons de chair semblent exacts au teint naturel des acteurs. Aucune source évidente immédiatement ou les défauts de codage ne sont apparents. Il s’agit d’une présentation Blu-ray intelligente et satisfaisante.

Son : La bande sonore sans perte du  DTS-HD Master Audio 7.1 est bonne mais les besoins sonores du film sont plutôt maigres. La musique est utilisée est peu présente mais claire et aérée et se propage sans effort à travers les scène et livre des notes bien définies et réalistes si nécessaire. L’atmosphère légère du quartier aide à préparer le terrain et à renforcer l’heure et le lieu du film. Quelques collisions, hits et autres effets lumineux sont bien présentés. La piste n’a pas besoin d’effets majeurs; Tout est plutôt réservé mais traité avec précaution. Le dialogue, sans surprise, donne les racines du film, domine le paysage sonore.

Bonus :

  • Un plus grand public : Du théâtre au cinéma (HD, 9 min.) – Le réalisateur / producteur / star Denzel Washington est sur place pour parler de l’histoire qui a fait le saut de la scène (où il l’a joué, aux côtés de la plupart des acteurs de Ce film) au grand écran. Sont également inclus les commentaires de Kenny Leon, qui a dirigé la version Broadway Denzel a joué; Constanza Romero Wilson, veuve d’août; Et les étoiles Viola Davis, Russell Hornsby, Stephen McKinley Henderson et Mykelti Williamson.
  •   La troupe de Fences (HD, 9 min.) – Un regard sur la distribution du film, qui, à l’exception des deux enfants du film, faisait partie de la version 2010 de Broadway.
  • La création de Fences : Denzel Washington (HD, 7 min.) – Le réalisateur / producteur / star parle de ses efforts pour apporter ‘Fences’ au grand écran.
  •  Dans son rôle : Rose Maxson (HD, 7 min.) – Star (et maintenant lauréat du Prix de l’Académie) Viola Davis parle de son rôle dans le film.
  • August Wilson : Le district de Hill (HD, 6 ½ min.) – Denzel et d’autres membres du casting et de l’équipe parlent de tirer le film dans et autour du Hill District à Pittsburgh, en Pennsylvanie.

 

 

  • Acteurs : Denzel Washington, Viola Davis, Stephen McKinley Henderson, Jovan Adepo, Russell Hornsby
  • Réalisateurs : Denzel Washington
  • Audio : Japonais (DTS 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1), Espagnol (DTS 5.1)
  • Sous-titres : Néerlandais, Norvégien, Allemand, Suédois, Français, Finnois, Italien, Japonais, Espagnol, Danois
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 2.39:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Paramount Pictures
  • Date de sortie du DVD : 27 juin 2017
  • Durée : 139 minutes

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Test Blu-ray : xXx : Reactivated ( 30 mai 2017) de D.J. Caruso avec Vin Diesel, Donnie Yen

Xander Cage, sportif de l’extrême devenu agent d’élite, sort de l’exil qu’il s’était imposé, pour affronter le redoutable guerrier alpha Xiang et son équipe. Il entre dans une course impitoyable afin de récupérer une arme de destruction massive connue sous le nom de Boîte de Pandore. Recrutant une toute nouvelle équipe d’experts accros à l’adrénaline, Xander se retrouve au coeur d’une conspiration menaçant les gouvernements les plus puissants du monde.

Chronique Film : Xander Cage reprend du service et apparemment il veut que ça se sache ! Tu prends « XXX » et tu mets plus de cascades, plus de punchlines, plus de nanas, plus de tout en fait, et tu obtiens « XXX reactivated ». Le réalisateur D.J. Caruso fait fort concernant les scènes d’action ! C’est du grand n’importe quoi du début à la fin, à tel point d’ailleurs que l’on perd le côté un petit peu sérieux du premier opus pour virer quasiment dans la parodie. Et Vin Diesel , malin comme il est, nous refait le coup de « Fast and Furious », une fine équipe, des grands méchants, des vannes et de l’action non stop. En revanche et contrairement à la saga FF, la réalisation connait ici quelques ratés qui ce qui est difficilement acceptables à ce niveau là. Donnie Yen, une fois encore au top et qui apporte un vrai plus, à l’instar de Tony Jaa qui se lâche gentiment ici.. Clairement, l’ambiance a changé mais le spectacle est largement au rendez-vous et pour peu que l’on sache se détendre, le moment est bien agréable quoique très prévisible.  Ce Nouvelle épisode est dans la continuité des deux premiers points de l’action, de l’humour par moment aussi rendre le film relativement agréable à regarder.

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 Test Blu-ray :

Image : L’image est belle est très propre ce qui donne au  film un aspect un peu plus en phase avec l’action Les couleurs sont un peu délavés mais prennent un éclat surprenant et bien dosé dès lors que l’on rentre dans l’action. Les ambiances sont parfaitement retranscrites et le support se révèle d’une grande efficacité. Les contrastes donnent un volume et une profondeur à l’image à la hauteur de l’ensemble

Son : Les effets sonores du film envahissent les différents canaux, avec beaucoup de précision et de dynamique. Par contre, les dialogues manquent parfois de volume et se laissent déborder par des effets sonores parfois envahissants surtout au moment de la scène final  . La musique fait vibrer l’installation et plonge le spectateur dans une violence de scènes d’action .

Bonus : Côté Bonus, les making of sont intéressants ce qui qui nous permet de découvrir de l’intérieur la création du film, les difficultés du réalisateur et surtout ses impressions au fur et à mesure que le tournage progresse. Du très bon travail

Bêtisier
« Jamais deux sans trois » : le retour de Xander Cage
« Je ne vis que pour ça ! » : Cascades
« Des rebelles, des tyrans et des fantômes » : le casting
« Ouvrir la boîte de Pandore » : sur le tournage

  • Acteurs : Vin Diesel, Donnie Yen, Deepika Padukone, Kris Wu, Ruby Rose
  • Réalisateurs : D.J. Caruso
  • Audio : Japonais (Dolby Digital 5.1), Italien (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1), Hindi (Dolby Digital 5.1), Espagnol (Dolby Digital 5.1), Anglais
  • Sous-titres : Suédois, Français, Néerlandais, Norvégien, Italien, Japonais, Finnois, Hindi, Danois, Espagnol
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 2.40:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Paramount Pictures
  • Date de sortie du DVD : 30 mai 2017
  • Durée : 106 minutes

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Test Blu-ray : Monster Cars (2 mai 2017) de Chris Wedge avec Lucas Till, Jane Levy

Monster Cars nous embarque pour vivre l’incroyable aventure d’un garçon ordinaire, Tripp, se liant d’amitié pour un adorable monstre, Critch

Chronique Film: Pas le grand film de l’année mais une comédie bien sympathique et qui ne se prend pas la tête. On découvre dans ce film une toute nouvelle espèce, pleine d’intelligence, extrêmement attachante et surtout irrésistiblement drôle. Cependant, il faut également noter le parallèle qui est fait, avec la réalité que vivent certaines espèces animales en danger de nos jours. Ce film aborde les problèmes que l’industrie peut engendrer sur l’environnement, favorisant consciemment ou non, la disparition entière ou partielle de certains animaux.  Malgré le côté jeunesse de ce film réussi à donner beaucoup de qualités et surtout un véritable cachet avec un scénario classique avec beaucoup de courses-poursuites et qui viendront amener le rythme parfait à cette petite intrigue sans prétention. Il faut souligner que c’est une véritable comédie avec un duo Lucas Till/Jane Levy qui interprètent leurs rôles à la perfection. Un film qui se veut familial, drôle, super mignon, il saura pourtant nous surprendre par ses qualités visuelles et par les émotions qui s’en dégagent.

Note : 8,5/10

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  • Acteurs : Lucas Till, Jane Levy, Thomas Lennon, Barry Pepper, Rob Lowe
  • Réalisateurs : Chris Wedge
  • Audio : Japonais (Dolby Digital 5.1), Italien (Dolby Digital 5.1), Allemand (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1), Espagnol (Dolby Digital 5.1), Anglais
  • Audio description : Anglais
  • Sous-titres : Danois, Néerlandais, Norvégien, Allemand, Suédois, Français, Finnois, Italien, Japonais, Espagnol
  • Sous-titres pour sourds et malentendants : Anglais
  • Région : Toutes les régions
  • Rapport de forme : 1.78:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Paramount Pictures
  • Date de sortie du DVD : 2 mai 2017
  • Durée : 104 minutes

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