Les supers pouvoirs de l’art – Album dès 5 ans de Pedro Calleja et Brianda Fitz James Stuart | 3 octobre 2019

Une aventure pleine de péripéties, pour découvrir 12 artistes de tous les temps en pleine action dans leur atelier, leur époque, et leurs œuvres majeures.

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Chronique : Tout amoureux d’art se doit d’avoir ce livre. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas d’un guide. C’est un ouvrage présentant un excellent survol de l’histoire à travers les « super pouvoir » des artistes du point de vue  de la peinture.
C’est une excellente approche de l’histoire de l’art où l’on apprend plein de choses sans s’ennuyer, et, surtout sans difficulté, y compris par les lecteurs découvrant la peinture et son histoire .
Le tout est écrit dans un style agréable, limpide, clair.

Note : 9,5/10

Extrait :

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  • Album : 48 pages
  • Tranche d’âges: 5.0 années et plus
  • Editeur : Nathan (3 octobre 2019)
  • Collection : Mosquito
  • Langue : Français
  • ISBN-10 : 2092590197

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Test DVD : Spider-Man: Far From Home (13 Novembre 2019) de Jon Watts avec Tom Holland, Jake Gyllenhaal

L’araignée sympa du quartier décide de rejoindre ses meilleurs amis Ned, MJ, et le reste de la bande pour des vacances en Europe. Cependant, le projet de Peter de laisser son costume de super-héros derrière lui pendant quelques semaines est rapidement compromis quand il accepte à contrecoeur d’aider Nick Fury à découvrir le mystère de plusieurs attaques de créatures, qui ravagent le continent !

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Chronique : Spider-Man est le cadeau qui continue à donner. Et Disney veut une plus grosse part de ce cadeau. Sony et Disney se sont disputés le partage des revenus des films Spider-Man de Sony et le destin du personnage au sein de l’univers cinématographique. Mais si c’est le chant du cygne de Spider-Man dans le cadre de l’empire MCU de Disney, il en vaut la peine. Le film explore Spider-Man à la suite de ce qui s’est passé dans les deux Avengers : Infinity War et Avengers : Endgame (et son intrigue est construite autour d’événements majeurs des deux films). Le film traite de la foi de Spider-Man en lui-même et de la foi que d’autres ont placée en lui tout en combattant un méchant qui veut prendre le manteau de Spider-Man a été donné. Le film traite des concepts de foi, de confiance, de perception et de devoir qui suscitent la réflexion, forçant le personnage-titre à grandir dans les pouvoirs qui lui ont été donnés, et non seulement à grandir autour d’eux.

L’histoire est conçue pour explorer les luttes de Peter Parker avec son identité, son but et ses capacités. Dans le film, le regretté Tony Stark lui confie un pouvoir et une technologie incroyables, mais il croit qu’il est incapable, et donc aussi peu disposé, à exercer autant de pouvoir. Il a pris la décision d’y renoncer rapidement et sans beaucoup de réflexion ou de consultation sérieuse. Il le laisse tomber sur la première personne qu’il trouve qui est prête à l’accepter, la première personne en qui Peter juge digne de prendre le manteau, d’assumer le fardeau qu’il veut si désespérément abandonner. Bien sûr, l’individu à qui il l’accorde n’est que trop heureux de l’accepter. Mysterio n’est pas du tout celui qu’il prétend être, et il est en fait tout le contraire de Peter : il cherche le pouvoir, la gloire, la responsabilité, qu’il croit être tout à fait à lui. Le film explore quelques secrets qui façonnent son passé et enhardissent ses motivations, mais le film se concentre uniquement sur le choc entre le héros réticent et le méchant malavisé et ce qui sépare leurs poursuites et définit véritablement l' »héroïsme ». C’est un concept intéressant que le film explore avec satisfaction à l’intérieur des grandes fractures qui en résultent.

Certes, le film ne laisse pas passer trop longtemps sans divers extravagances visuelles pour rappeler à tous qu’il s’agit d’un film de super-héros, pas seulement d’une étude de personnage contemplative avec plus que quelques nuances qui donnent à réfléchir. Spider-Man n’échappe pas au film sans passer par la sonnerie physique. Les batailles sont de grande envergure et conçues de façon unique, en grande partie grâce aux motivations du méchant et à la façon dont il atteint ses objectifs. Les combats sont à la fois à grande échelle et intimement définis, et Spider-Man se retrouve non seulement à combattre la méchanceté, mais aussi à se battre pour sauver ceux qu’il aime ; ses camarades de classe sont en danger perpétuel, y compris une fois, dans une des meilleures et plus drôles scènes du film, plus ou moins par inadvertance de sa propre main (ou commande vocale suivant le cas). Le film regorge d’effets qui s’intègrent parfaitement dans les composantes de l’action en direct. C’est un spectacle moderne à l’apogée de ce que la technologie actuelle peut offrir, et les cinéastes utilisent cette technologie pour compléter plutôt que définir le film, même s’il est d’une telle ampleur et fait intimement partie intégrante des histoires plus grandes et plus humaines.

Note : 9/10

Vidéo :  Le Spider-Man : Far from Home, photographié numériquement, s’affiche sur dvd avec un transfert 1080p pratiquement parfait. L’image est claire, riche et pousse le format à ses limites. Chaque détail est précis, bien défini et complexe. Les composants de base sont toujours à la pointe du progrès : les détails de la peau sont intimement précis, les tissus vestimentaires (y compris les différents tissus Spider-Man et autres costumes) révèlent facilement leur complexité inhérente, et de nombreux sites européens sont vivants avec une précision extrême et des détails fins jusqu’aux plus petites saveurs locales et aux besoins du bâtiment. Les couleurs éclatent avec une saturation impressionnante et une plénitude tonale. Certes, le rouge et le bleu Spider-Man et le bleu et le vert Mysterio sont parmi les points forts, mais les fans de Blu-ray peuvent s’attendre à des vêtements, des tons de peau et des niveaux de noir impressionnants. Le bruit est presque inexistant et il n’y a pas d’autre source ou d’autres défauts d’encodage à noter.

Audio : Avec Spider-Man : Far from Home il n’y a aucune lacune technique à signaler dans cette présentation. C’est tout à fait l’écoute avec tout en bon état de fonctionnement, y compris des scènes d’action robustes, basses lourdes qui ne veulent jamais de tonnerre bas de gamme mais qui ne cherchent jamais à équilibrer ce contenu sonore prodigieux avec des détails fins et des éléments fluides. Les scènes d’action sont robustes et pleinement efficaces, combinant une large couchette avant extensible, une intégration surround précise et sans effort, et une sortier en harmonie. La bande-son est régulièrement et délicieusement précise dans tous les domaines, y compris les détails de remplissage de l’environnement, comme les effets sonores de martèlement parfaitement placés dans l’hôtel en construction dans lequel séjourne la classe de Peter à Venise ou le tintamarre de la foule générale lorsqu’il est en déplacement dans les lieux animés de la ville. La musique est énergique, large, profonde et vraie. La clarté est parfaite et la fluidité et le placement sont sans défaut. Le dialogue est clair et bien hiérarchisé tout en étant ancré dans un lieu naturel et avant-centre.

 

  • Acteurs : Tom Holland , Samuel L. Jackson, Jake Gyllenhaal, Marisa Tomei, Jon Favreau
  • Réalisateurs : Jon Watts
  • Format : Couleur, PAL
  • Audio : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
  • Sous-titres : Français
  • Région : Région 2
  • Rapport de forme : 2.40:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Sony Pictures
  • Date de sortie du DVD : 13 novembre 2019
  • Durée : 125 minutes

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Test Dvd : Guardians (26 juillet 2017) de Sarik Andreasyan avec Stanislav Shkilnyi, Vyacheslav Razbegaev

Durant la Guerre Froide, une organisation secrète nommée « Patriot » réalise des expériences génétiques sur des cobayes humains pour créer une armée de super-héros. 30 ans plus tard, un ennemi surpuissant aux pouvoirs mystérieux surgit avec un seul objectif : contrôler le monde. Toutes ces années, ces surhumains ont dû cacher leur identité, mais les voilà de nouveau rassemblés pour combattre celui qui les a créés et sauver le monde de la destruction…

Chronique : Guardians – Защитники »(2017) est un petit film de super-héros russe assez étonnant à défaut d’être percutant.
Les personnages manquent de personnalité, ils sont mal développés et leurs capacités sous-utilisées. Ils sont à l’image de cette histoire qui est tout sauf originale et dont les enjeux sont aussi basiques qu’inintéressants. Visuellement, le film est, par contre, réussi, les effets spéciaux sont bons malgré quelques ratés, les personnages ont de la gueule et l’ensemble plutôt solide surtout pour un budget de seulement 5M. C’est vraiment dommage que le film soit si superficiel, car il y avait tout pour faire un bon film alors que là, on a juste un divertissement correct.

Note : 8/10

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TEST DVD :

Image :Une image au piqué affuté, extrêmement détaillée et aux couleurs profondes. Belle tenue des noirs.  Les ambiances sont parfaitement retranscrites surtout lors des scénes de combats et le support se révèle d’une grande efficacité. Les contrastes donnent un volume et une profondeur à l’image à la hauteur de l’ensemble

Son : Le son bénéficie d’une grande qualité sonores.Les effets sonores du film envahissent les différents canaux, avec beaucoup de précision et de dynamique.

Bonus :  Côté Bonus, le making off est intéressant ce qui qui nous permet de découvrir de l’intérieur la création de ce film et le point de vue du réalisateur .

  • Acteurs : Anton Pampushnyy, Sanzhar Madiyev, Sebastien Sisak, Alina Lanina, Stanislav Shirin
  • Réalisateurs : Sarik Andreasyan
  • Format : PAL
  • Audio : Russe (DTS 5.1), Français (Dolby Digital 2.0), Français (DTS 5.1)
  • Sous-titres : Français
  • Région : Région 2
  • Rapport de forme : 1.85:1
  • Nombre de disques : 1
  • Studio : Wild Side Video
  • Date de sortie du DVD : 26 juillet 2017
  • Durée : 88 minutes

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Le club des super-héros (Tome 1) – Justice Académie (30 mars 2017) de Derek Fridolfs et Dustin Nguyen

Moi, c’est Bruce Wayne et je suis nouveau au collège Ducard. Une bande de clowns à moitié cinglés erre dans les couloirs, un type nommé Bane veut ma peau et Hugo Strange, le conseiller pédagogique, est, disons, plutôt étrange. Avec mes deux amis, Clark et Diana, on a décidé de mener l’enquête pour découvrir qui se cache derrière tout ça!
BD, rapports de profs, tchats, journal intime… Découvrez les années collège de Batman, Superman et Wonder Woman.

Chronique : comme la plupart des parents, il est toujours du de demander à son enfant de lire plus. Les enfants préfère regarder la télévision ou jouer à des jeux vidéo. La plupart des petits connaissent les héros de bande dessinée. mais ce livre est pour eux et il risque de le dévorer. Il s’agit d’un livre pour enfants approprié à l’âge consistant en un mélange de croquis en noir et blanc, d’écritures de journal et d’autres textes variés. Pourtant, le livre est une lecture facile et amusante pour tous les jeunes fans de superhéros.
Bruce Wayne s’inscrit dans la mystérieuse Ducard Academy et commence immédiatement à soupçonner  qu’il ce passe quelque chose de mal. Il rencontre ses collègues Clark Kent et Diana Prince et les trio enquêtent sur la directive inhabituelle de l’école. Le livre est rempli de visages familiers de l’univers DC (Joker et Harley Quinn qui sont les clowns de l’école, Bane est l’intimidateur de l’école, etc.) et leurs caractéristiques de signature sont exagérées pour un effet comique. Quelques plaisanteries ont souleve des sourires.
La première aventure de Fridolfs et Nguyen dans le monde des livres pour enfants est réussie. Le Club des Super Heros est une excellente façon pour les enfants de profiter de ces personnages classiques et qui aidera les enfants à apprécier la lecture.

Note : 9/10

 

  • Broché: 176 pages
  • Tranche d’âges: 9 – 13 années
  • Editeur : Gallimard Jeunesse (30 mars 2017)

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Super Loup fait un super rêve (25 août 2016) de Prisca Le Tandé et Jean Leroy

Même les rêves de Super Loup sont super ! Cette fois, Super Loup va pouvoir montrer ses forces…dans l’espace ! Car la terre est devenue trop petite pour ses exploits…

Critique :Un nouveau tome de Super Loup qui n’a peur de personne et va ici se prendre pour un super héros intergalactique.
Un texte court, rythmé et répétitif qui nous permet, à la suite de Super Loup, de vouloir faite des exploits; on croisera Giga Souris, des Martiens etc. Et puis de l’humour tout simple et qui fait du bien… Les illustrations enfantines très colorées enrichissent le texte en en développant les points forts. Super Loup le fanfaron a des mimiques irrésistibles en toutes circonstances. Un moment plaisir dont il serait dommage de se passer.

Note : 9/10

  • Album: 28 pages
  • Editeur : Editions Frimousse (25 août 2016)
  • Collection : Tralala Itou

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Recherche super héros (23 juin 2016) de Orianne Lallemand et Eric Gasté

Les habitants de la planète Ploutos ont besoin d’un nouveau héros pour protéger leur planète. Si tu es prêt à relever le défi, passe les tests en jouant avec les animations !
1 test par double page et une « belle » récompense à la fin.

Critique : Au fil des pages, le petit lecteur va passer les tests qui feront de lui un super-héros,  le lecteur est invité à « postuler »pour le rôle avec un livre animé très drôle, dans la lignée de « Recherche super princesse », à mettre entre toutes les mains des petits fans de super-héros et d’extraterrestres.L’album est animé et le tout se passe sous forme de jeu, avec des rabats à soulever, des défis à relever, des actions à réaliser. Orianne Lallemand et Eric Gasté  nous offrent une histoire rigolote et super sympa à partager avec les enfants.
Cet album rempli pleinement sa mission : le jeune lecteur s’amuse ! Et les parents aussi d’ailleurs :

Note : 9,5/10

 

  • Album: 16 pages
  • Editeur : Nathan (23 juin 2016)
  • Collection : AU SECOURS
  • Prix : 14,90 euros

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WonderPark – Libertad & Mégalopolis (2 juin 2016) de Fabrice Colin et Antoine Brivet

À l’école, Jenn et son frère, Mervin, ont fait la connaissance d’une fille au nom étrange : Orage. Son père est le concepteur de WonderPark, un parc d’attractions mystérieux et désaffecté. Quand leur nouvelle amie leur propose de visiter l’endroit, Jenn et Mervin sont ravis. Mais à peine sont-ils entrés dans le parc que Zoey, leur petite sœur, disparaît. Les enfants découvrent alors que WonderPark est le portail de mondes magiques et pourtant bien réels. Sans hésiter, Jenn, Mervin et Orage s’engouffrent dans Libertad, le monde des pirates, où la traîtrise est un art et le courage une nécessité.

Critique : Wonderpark, qui s’annonce comme une longue aventure, nous emmène sur les traces d’un inventeur de génie. Ce dernier, père de l’énigmatique Orage, a créé en son temps un parc d’attraction appelé Wonderpark sorte de portail vers des mondes magiques peuplés de personnages hauts en couleur et en terreur.Une bonne série de fantasy rempli pour ses tomes 1 et 2 de pirates et de superhéros avec des personnages attachants, ayant chacun son caractère, ses qualités et ses défauts. lecteur est happé vers la suite de ces aventures rythmées et très bien illustrées par Antoine Brivet qui nous offre des images proche d’une BD muette . Le suspense mis en place par Fabrice Colin est bien distillé pour qu’on accroche et qu’on veuille lire la suite, ce qui ce passe arrivé à la fin de Mégalopolis  on à qu’une hâte c’est d’aller visiter Cyclos.

Note : 9/10

 

  • Broché: 128 pages
  • Editeur : Nathan (2 juin 2016)
  • Collection : GF 8 10 ANS
  • Prix : 9,95 euros

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